Alain Delon
Nom de naissance | Alain Fabien Maurice Marcel Delon |
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Naissance |
Sceaux (France) |
Nationalité |
Française Suisse (à partir de 1999) |
Décès |
(à 88 ans) Douchy-Montcorbon (France) |
Profession |
Acteur Réalisateur Producteur |
Films notables | Voir filmographie |

Alain Delon ⓘ, né le à Sceaux (Hauts-de-Seine) et mort le à Douchy-Montcorbon (Loiret), est un acteur, réalisateur, chanteur et producteur franco-suisse.
Parmi les acteurs du cinéma européen les plus célèbres de son temps, Delon est l’un des acteurs français les plus reconnus et influents du XXe siècle.
Rare star internationale du cinéma français, un grand nombre de films dans lesquels il a joué sont devenus des classiques du cinéma, parmi lesquels Plein Soleil, Rocco et ses frères, Mélodie en sous-sol, Le Guépard, L'Insoumis, Le Samouraï, La Piscine, Le Clan des Siciliens, Le Cercle rouge, Borsalino, Un flic, Monsieur Klein ou Notre histoire. Son image, ses rôles et interprétations ont inspiré de nombreux cinéastes et artistes contemporains.
Durant sa carrière, ses films attirent plus de 136 millions de spectateurs dans les salles françaises, auxquels s’ajoutent des dizaines de millions d’entrées à l’étranger. Il n'a jamais souhaité faire carrière à Hollywood malgré de nombreuses propositions et une nomination au Golden Globe de la révélation masculine de l'année. Il obtient de nombreuses récompenses dont le César du meilleur acteur en 1985 pour son rôle dans Notre histoire et une Palme d'honneur lors du festival de Cannes 2019 pour l'ensemble de sa carrière.
Biographie
Origines, enfance et adolescence (1935-1953)
Famille
Alain Fabien Maurice Marcel Delon[a],[1],[2] naît le , à 3 h 25 du matin[3], à Sceaux, dans le département de la Seine (actuellement les Hauts-de-Seine). Fils de Fabien Delon (1904-1977[4]), projectionniste au cinéma de Bourg-la-Reine (Hauts-de-Seine), « Le Régina Palace », et d'Édith Arnold (1911-1995), employée dans la pharmacie Martin-Lavigne dans la même ville. Il est né dans une famille de la petite bourgeoisie[b].
Les Delon sont originaires de Saint-Vincent-Lespinasse, en Tarn-et-Garonne. Leur généalogie remonte à Jean Delon, né au XVe siècle. L'arrière-grand-père paternel d'Alain Delon, Fabien Delon (Saint-Vincent-Lespinasse, - Figeac (Lot), ), fait chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur le [5], est ingénieur des ponts et chaussées. Sa grand-mère paternelle, Marie-Antoinette Evangelista (née en 1867 à Prunelli-di-Fiumorbo)[6], est corse ; dans sa commune d'origine, elle épouse le le grand-père Jean-Marcel Delon, alors percepteur au même endroit (nommé en Corse en 1886)[6],[7]. D'après Jean-Louis Beaucarnot, la légende familiale veut que la famille Evangelista soit apparentée aux Bonaparte[8]. Mais les jeunes mariés doivent quitter l’île[c]. De mutation en mutation, ils finissent à Craponne-sur-Arzon (Haute-Loire)[c]. Deux enfants y voient le jour : François Fabien — qui n’utilisera dans la vie courante que son second prénom — et Jeanne Lucidor[c].
Cette branche des Delon cultive un goût prononcé pour le mouvement[c]. Fabien (le petit-fils) ne fait pas exception : il quitte l’Auvergne pour s’installer près de Paris, où il devient directeur de cinéma, une industrie en plein essor[c]. Passionné par le cinématographe, il commence par la production avant de se tourner vers l’exploitation[c]. En novembre 1929, il participe au tournage du court-métrage Sans histoire, en tant qu’administrateur, chargé des finances[c]. Mais il arrive trop tard : le cinéma parlant impose de nouveaux standards techniques. Fabien abandonne donc la production pour se concentrer sur la diffusion[c]. Le 17 juin 1935, il épouse Édith Arnold au Plessis-Robinson. Elle a 24 ans, fille d’un cavalier de manège et d’une couturière. Le couple s’installe dans une petite maison au 5 avenue Jules Gravereaux, à L’Haÿ-les-Roses, en proche banlieue parisienne.
Divorce
En 1939, Alain Delon a 4 ans lorsque ses parents divorcent, le 26 décembre 1940[3],[9]. Le divorce restera pour lui une blessure d'enfance jamais cicatrisée[10]. Ni son père ni sa mère ne se sentent en mesure de s’occuper de lui[11]. François-Fabien Delon, mobilisé, sert comme secrétaire militaire et se déplace souvent[11]. Édith reprend son ancien métier de préparatrice en pharmacie[11].
Famille d'accueil
Le jeune Alain est alors confié à une famille d’accueil, les Nérot, qui résident rue de la Terrasse, non loin de la Centre pénitentiaire de Fresnes[12]. Le père, ancien gardien, conserve des liens avec ses collègues et leurs enfants[12]. Les plus jeunes, Alain compris, jouent parfois dans l’une des cours du centre pénitentiaire[12]. C’est là, dans ce lieu peu ordinaire, que se déroule une grande partie de son enfance[12]. Les Nérot prennent soin de lui avec attention et tendresse[12]. Alain les considère plus tard comme ses parents adoptifs[12].
Loin d’être maltraité, Alain grandit dans un foyer modeste mais bienveillant[12]. Mais le climat général se dégrade[12]. Les Allemands occupent Paris et prennent rapidement le contrôle des prisons, y compris celle de Fresnes[12]. Les gardiens restent d’abord en poste, mais passent sous autorité nazie[12]. La population carcérale change : résistants, opposants, futurs déportés remplissent désormais les cellules[12]. Les tortures et exécutions deviennent monnaie courante[12]. Les enfants ne peuvent plus jouer librement[12]. En 1943, la prison passe sous commandement allemand direct, et la terreur s’installe[12]. Le 25 août 1944, tout bascule[12]. Depuis le débarquement allié en Normandie, les Français vivent dans l’attente et suivent la progression des troupes[12]. L’espoir revient, mais à mesure que Paris approche, l’inquiétude grandit et les combats deviennent violents[12]. Le colonel Warabiot, de la division Leclerc, choisit de contourner les positions allemandes en passant par Fresnes[13]. Ses unités se retrouvent prises sous un feu nourri devant la prison, où les nazis ouvrent le feu[13]. La bataille ne s’achève qu’en début de soirée, vers 19 heures[13]. Les chars de Leclerc finissent par vaincre et les habitants accourent pour acclamer, féliciter et embrasser les soldats français[13]. Parmi eux, Alain Delon[13]. Les gardiens de prison retrouvent leur poste et les collaborateurs prennent désormais la place des résistants dans les cellules[13]. Dans ce climat encore tendu, Alain n’assiste pas, mais entend parler avec insistance de l’exécution de Pierre Laval, fusillé derrière la prison[13].
Sous la protection des Nérot, Alain poursuit son enfance[13]. On veille à ce qu’il suive un enseignement catholique, qui le mènera à faire ses deux communions[13]. Quand on l’interroge sur son avenir, il répond sans hésiter : il veut être motard[13]. Mais les années de guerre ont épuisé M. Nérot, ancien gardien de prison[13]. Il meurt en 1946[13]. Sa femme le suit de près, incapable de supporter l’idée de vivre sans lui[13]. Alain se retrouve à nouveau sans repères familiaux solides, presque orphelin[13].
Retour au foyer familial
Sa mère, Édith, surnommée affectueusement Mounette, ne l’a pourtant jamais totalement délaissé[13]. Elle prend régulièrement de ses nouvelles[13]. Remariée depuis le 19 mai 1941 avec Paul Boulogne, elle a eu une fille, Paule-Édith, née en 1943[13]. Elle reprend Alain auprès d’elle, le partageant avec son ex-mari Fabien, revenu à Bourg-la-Reine après de longues années d’errance[14]. Ce dernier s’est lui aussi reconstruit une famille, avec un fils, Jean-François, bientôt suivi d’un autre garçon[14]. Dans ces familles recomposées, Alain peine à trouver sa place[14]. Il se sent de trop, comme un étranger parmi les siens[14]. Ni d’un foyer ni de l’autre, il doit composer avec deux beaux-parents, sans jamais pouvoir s’enraciner[14]. Ce contexte nourrit chez lui un sentiment de rejet, qui l’isole davantage[14].
Un cadre stable devient une urgence. Alain est donc placé en pensionnat[14]. Ou plutôt, en succession de pensionnats, car il s’avère indiscipliné, rebelle, plus provocateur que réellement violent[14]. Il se décrit lui-même plus tard comme un « petit monstre »[14]. Alain fréquente des écoles religieuses, tenues par des pères ou des abbés, où règnent règles sévères, discipline stricte et enseignement dogmatique[14]. Il se fait renvoyer six fois des écoles qu'il fréquente[15].
Parcours scolaire
- Il commence son parcours scolaire au collège Saint-Nicolas d’Issy-les-Moulineaux, dirigé par les frères des Écoles chrétiennes[16]. Ils y encadrent près d’un millier de garçons[16]. Comme dans la plupart des établissements religieux de l’époque, le port de l’uniforme est imposé : un costume bleu anthracite[16]. Les élèves dorment dans d'immenses dortoirs de 250 lits, surveillés de près par des éducateurs intransigeants[16]. Dans ce contexte rigide, Alain fait rapidement parler de lui[16]. Son tempérament indocile et son refus de se plier aux règles font de lui un élève à part[16]. Les réprimandes glissent sur lui sans effet[16]. Finalement, les frères lui demandent de quitter l’établissement[16].
- On l’envoie alors au collège Saint-Nicolas de Buzenval, qui se trouve non pas à Buzenval mais à Rueil-Malmaison[16]. L’école est installée dans l’ancienne propriété de la duchesse de Cadore, léguée aux frères en 1883[16]. Leur mission : offrir une éducation aux enfants de la classe ouvrière[16]. Le domaine, vaste, comprend une ferme, des vergers, des ruches[16]. En théorie, les jeunes y vivent en quasi-autarcie[16]. Là encore, le jeune Delon ne passe pas inaperçu[16]. Son caractère, déjà bien trempé, entre en friction constante avec l’autorité[16]. Il ne reste pas longtemps[16].
- Les frères le dirigent vers un autre établissement : Saint-Gabriel à Bagneux[16]. Alain ne s’y adapte pas plus[16].
- Il est placé ensuite dans le pensionnat catholique de Saint-Nicolas d'Igny (Essonne), où il passe toute sa jeunesse avec l'un de ses meilleurs amis, Gérard Salomé[17].
Delon décrit sa scolarité comme un enfer[18]. Obéir lui semble impossible[18]. Chaque rentrée devient pour lui un supplice, d’autant plus qu’elle rime souvent avec changement d’établissement et solitude nouvelle[18]. En pension, ses semaines sont rythmées par les billets de consigne, synonymes de sanctions, qui l’empêchent de rentrer chez lui le samedi[18]. C’est justement à Fresnes, sa ville, qu’un premier amour illumine son adolescence :
« Elle s’appelait Reine. Reine Husset. Je l’ai connue à Fresnes. Pas à la prison, en ville. Elle avait un joli prénom. Ça a été ma première histoire d’amour, j’avais 11 ans. On a fait notre première communion ensemble et ça a été un peu comme un mariage, avec nos costumes de communiants. Ce jour-là, j’étais persuadé d’avoir commis un péché mortel : pour me faire briller à ses yeux, j’avais été voler des dragées pour elle, à la sacristie… Mon premier amour a duré deux ans, c’était merveilleux. Elle s’appelait Reine. Reine Husset. »[18].
Quelques instants de plaisir...
C’est hors du cadre scolaire qu’Alain trouve ses véritables instants de bonheur[19]. Son père, Fabien, reste passionné de cinéma et emmène son fils voir des films au Cinéac-Montparnasse[19]. Il découvre notamment le serial américain The Lone Ranger[19]. Le cinéma le fascine aussi à travers les revues spécialisées[19]. Il développe un véritable culte pour Michèle Morgan et pour Ava Gardner, dont l’apparition dans Les Tueurs le marque profondément[19]. Il admire aussi Madeleine Lebeau, actrice française installée à Hollywood, qui a déjà partagé l’affiche avec Errol Flynn (Gentleman Jim) et Humphrey Bogart (Casablanca)[19]. Côté musique, lorsqu’il en a l’occasion, il se laisse porter par Charles Trenet et Édith Piaf[19].
Fugue et retour au pensionnat
À l'âge de 14 ans, accompagné par son camarade de pension, Daniel Salvadé, il fait une fugue dans le but d'aller vivre à Chicago[20]. Un oncle de Daniel, installé aux États-Unis, possède soi-disant une usine à cochons et leur propose un emploi dans son entreprise[20]. Ils montent alors un plan de fugue pour rejoindre un port de la côte Atlantique, probablement Bordeaux, pour embarquer vers le Nouveau Monde[20]. L’oncle, lui, n’a pas prévu de venir les accueillir[20]. Sac sur le dos, Alain et Daniel s’échappent au petit matin du pensionnat de Saint-Nicolas d’Igny[20]. Un maraîcher, intrigué par leurs propos vagues, accepte de les prendre à bord de sa fourgonnette, mais finit par les déposer à la gendarmerie de Châtellerault, pris de doute[20],[21],[22],[23]. Les forces de l’ordre ne mettent pas longtemps à découvrir la vérité : deux mineurs en fugue,. On les place en garde à vue temporaire[24]. C'est son beau-père, Paul, qui vient le chercher au commissariat[24]. Une fois l’épisode raconté, les deux garçons sont renvoyés au pensionnat, sanctions comprises[24]. Pour occuper son esprit, Alain rejoint une chorale[24]. Le chef de chœur le trouve doué, mais cela ne suffit pas à éveiller en lui une vocation artistique[24]. Pas plus que le cinéma à ce moment-là[24].
De figurant à charcutier
À l'âge de 14 ans, il a l'occasion de tourner le rôle d'un voyou dans Le Rapt, un court métrage muet de 22 secondes[25] réalisé par Olivier Bourguignon[26],[27]. Alain y incarne un malfrat chargé d’enlever une jeune femme. L’opération échoue, et son personnage finit tué[28].
Mais pour l’heure, les études sont définitivement derrière lui[28]. Il n’a ni le goût ni la capacité à poursuivre une scolarité classique[28]. Aucune école ne veut plus de lui[28]. On le rend donc à sa mère, Édith[28]. Sa mère, qui a épousé en secondes noces Paul Boulogne, un commerçant boucher-charcutier de Bourg-la-Reine, dans les Hauts-de-Seine, lui ménage une place dans le domicile familial. Alain passe un certificat d'aptitude professionnelle de charcuterie[29] et travaille à la charcuterie de son beau-père qui compte seize employés[30].
Avec son avenir professionnel semblant assuré, Alain consacre son temps libre au sport[31]. Il s’enthousiasme pour les grands noms du cyclisme : René Vietto, Jean Robic et Roger Lapébie[31]. Un jour, pour impressionner les filles dans le parc de Sceaux, Alain tente quelques figures acrobatiques à vélo[31]. La dernière figure tourne mal : il chute violemment, menton le premier sur le bitume[31]. Il saigne, se fait recoudre, et garde une cicatrice visible sur le visage[31]. Motivé, il rejoint la section cycliste de l’US Métro de Croix de Berny[31]. Il se met à rêver d’un avenir de champion, et participe à des compétitions au Vélodrome d’Hiver[31]. Dans ce lieu, il fait la connaissance d’un autre passionné, André Pousse, qui deviendra acteur et restera son ami[31].
De retour à ses obligations, Alain obtient son certificat d'aptitude professionnelle de charcutier-traiteur, à l’École du jambon français[29]. Il travaille à la charcuterie de son beau-père et brièvement dans deux autres charcuteries : l’une à L’Haÿ-les-Roses, chez Madame Durand, l’autre rue Saint-Charles à Paris[note 1],[32]. Il est compétent, mais il sent qu’il n’est pas à sa place[32].
Armée et errances (1953-1957)
La Marine
En quête de sens, il hante les rues de Paris, jusqu’au jour où une affiche attire son attention[33]. Le message est clair : « Jeunes gens de 18 à 26 ans, l’Armée de l’Air vous appelle ! »[33]. Promesse de vols en avion à réaction, d’un entraînement en France et en Afrique du Nord, et d’une prime d’engagement[33]. Il en parle à son père, qui trouve l’idée excellente : Alain déteste l’école, et s’il devance son appel, il réduit son service militaire de six mois[33]. Son père l’accompagne donc au Secrétariat d’État à l’Air, boulevard Victor, dans le 15e arrondissement[33]. La déception tombe : Alain n’a pas encore 18 ans, et le dernier contingent vient de partir[33]. Le prochain départ est fixé dans six mois : il refuse d’attendre et opte pour la Marine[34]. Toujours accompagné de son père, il se rend au Secrétariat d’État à la Marine[34]. Le 22 janvier 1953, étant encore mineur, c’est son père qui signe à sa place un engagement de trois ans[34]. Il touche une prime de 1 520 francs, une somme importante pour un adolescent sans le sou[34].
Avant de prendre la mer, le jeune matelot Delon prépare ses affaires[35]. Il met met fin à sa relation avec Mick, une jeune femme qu’il a un temps envisagé d’épouser[35]. Il doit d’abord effectuer ses classes[35]. Le 21 janvier 1953, entouré de nombreux jeunes recrues, Alain monte dans un train pour Rennes[35]. À leur arrivée, les conscrits sont immédiatement encadrés par des marins aguerris, embarqués sans tri dans des camions militaires[35]. Une quinzaine de kilomètres plus loin, ils arrivent au centre d’incorporation, surnommé « Tahiti »[35]. La vie militaire commence et Alain devient officiellement le matelot 3e classe n°1203 T 53, sans spécialité[35]. Il rejoint ensuite, avec ses camarades, le baraquement qui sera son lieu de vie pendant quatre mois[35]. Dès le lendemain, il prend part à la cérémonie des couleurs, dans la cour d’honneur face au château[36]. Désormais, il appartient à la Marine nationale[36]. Alain s’initie à la godille, à l’aviron sur des baleinières, au matelotage, au tir, apprend à laver son linge, faire les corvées, monter la garde[36]. Surtout, il apprend à obéir, à résister à l’effort, à marcher au pas, à devenir un soldat[36]. Il se sent enfin intégré, comme membre d’une grande famille, mais l’absence de sa mère lui pèse[37].
L'Indochine
Les mois passent, l’été approche, et la période de formation touche à sa fin[37]. Un choix se présente : rester en métropole ou partir pour une destination qui fait l’objet de tous les débats — l’Indochine[37]. Autour de lui, nombreux sont ceux qui rêvent de ce lointain théâtre d’opérations[37]. Pour partir, il doit signer une prolongation d’engagement de cinq ans[37]. Mais étant encore mineur, ses parents doivent donner leur accord[37]. Leur réponse, rapide et sans question, le sidère et le blesse[37]. Pour lui, ils l’envoient à la guerre comme s’il s’agissait d’une formalité :
« C’est peut-être ce qui m’a le plus marqué dans ma vie. Je n’ai jamais pu l’admettre ni le comprendre. Je sais que je n’enverrai jamais à la guerre un gosse de 18 ans qui a plus besoin d’avoir un livre entre les mains qu’un fusil. »[38].
Son contrat court désormais jusqu’au 22 janvier 1958 — une échéance lointaine[38]. En échange, il perçoit une nouvelle prime d’engagement, qui lui est précieuse[38]. Avant de s’envoler pour l’Asie, Alain doit suivre une nouvelle étape[38]. Le 1er juin, il monte dans un train avec les autres engagés[38]. Deux jours de trajet sont nécessaires pour atteindre l’école des transmissions des Bormettes, à La Londe-les-Maures, près de Toulon[38]. Le lieu ne ressemble en rien à une caserne : ancien château avec vue sur la mer, l’endroit évoque plutôt une retraite paisible qu’un centre de formation militaire[38]. Ici, il suit un apprentissage technique pour devenir radio[38]. On lui enseigne le morse et les bases de la radiophonie[38]. Sur place, ils s’entraînent dans de longues baleinières grises, enchaînant les séances d’aviron jusqu’à l’épuisement[38]. Bien qu’il apprécie la camaraderie, Alain reste discret, renfermé, souvent seul[38]. Il ne se confie jamais, évite les grands discours[38]. Le soir, il erre parfois en solitaire, direction Toulon, et fait escale au Bar des Marsouins, dans la rue des Savonnières[38]. Ce quartier, tout proche du port, a la réputation sulfureuse du Petit Chicago[38]. Là, marins, voyous, filles de joie et mauvais garçons se croisent dans une ambiance électrique[38]. Le patron de l'établissement, Charles Marcantoni, impose sa loi avec autorité, épaulé par son épouse Rita[39]. Delon se lie d’amitié avec le couple Marcantoni[39]. Ils lui ouvrent une ligne de crédit – chose rare dans cet endroit – et le traitent comme un fils[39]. Un nouveau foyer se dessine pour lui[39].
Aux Bormettes, il est accusé de vol de matériel radio, donc de matériel militaire[40]. Il a en réalité fourni des pièces à un ami qui construit un poste radio personnel, en les prélevant discrètement dans les stocks de la Marine[39]. Pris sur le fait, il est incarcéré[41]. C’est son deuxième séjour en cellule, et il n’a même pas encore vingt ans[39]. Malgré ces ennuis, Alain continue d’apprécier l’atmosphère militaire[39]. La formation radio terminée, Alain et ses camarades sont transférés à l’arsenal de Toulon[39]. Alain est affecté comme radio sur le Gustave Zédé, un navire ravitailleur de sous-marins[39]. Il embarque à bord le 20 mars 1954 pour une mission de quatre mois et onze jours, sillonnant la Méditerranée[39]. Souffrant du mal de mer, Delon se garde d’en parler à ses supérieurs[39]. Depuis son incorporation, il accumule punitions et remontrances, son comportement rebelle attirant l’attention des officiers[39]. À son retour, le 1er août, le Gustave Zédé accoste à Toulon[39]. Delon, déjà dans le collimateur, est immédiatement placé sous les verrous[42]. Vingt jours d’arrêt, en guise de sanction[42]. Il ne sort de prison que pour embarquer vers l’Indochine[42].
C’est à bord du paquebot Henri Poincaré qu’il quitte la France[42]. Le trajet dure vingt et un jours, au cours desquels Alain confirme qu’il n’a pas le pied marin[42]. Il sera donc affecté à un poste sur la terre ferme[42]. Le 11 septembre, il débarque pour la première fois en Indochine[42]. Le Viêt Nam est désormais divisé en deux zones, séparées par le 17e parallèle[42]. La mission des troupes françaises consiste désormais à protéger les positions et préparer le repli[42].
« Je suis arrivé en Indochine après Diên Biên Phu. Il n’y avait plus que des combats de rue… Mais je serais tombé en pleine guerre, j’aurais aimé ça aussi. Ce sentiment que tout peut arriver… Cette sensation de se trouver en face de ce qu’on croit être des responsabilités. En fait, on n’en a aucune, bien sûr. On n’est rien. Un gamin, un gosse. Mais on se sent un homme, bien qu’on ne le soit pas du tout. On joue les hommes, on a un fusil. »[42].
Il est affecté à une unité de protection, chargée de défendre la caserne Francis-Garnier à Saigon[42]. Les soldats français patrouillent dans les rizières, à l’écoute du moindre bruit[43]. La peur de la mort ne semble pas paralyser Delon[43]. Il se sent épanoui dans cette fraternité militaire[44]. Il parlera plus tard de cette période comme de la plus belle de sa vie[44]. Mais il reste indiscipliné, provocateur, rétif aux ordres et retourne régulièrement derrière les barreaux pour insubordination[44]. Quand il n’est ni en cellule ni en service, il sort dans Saigon, comme le font la plupart des soldats[44]. Il fréquente la rue Catinat, célèbre artère coloniale que certains surnomment les « Champs-Élysées de l’Indochine »[44]. Dans cette même rue, se trouvent des cinémas[44]. Parfois, Alain s’y rend. Un film le marque tout particulièrement : Touchez pas au grisbi, de Jacques Becker[45].
Le 15 décembre 1954, il obtient son brevet élémentaire, ce qui lui permet d’accéder au grade de matelot de 2e classe[46]. Pour célébrer cette promotion, il décide de prendre une jeep – sans autorisation – et de partir en virée avec deux camarades[46]. Il espère passer inaperçu, mais le véhicule finit sa course dans un arroyo en périphérie de Saigon[46]. L’un des passagers est sérieusement blessé et la hiérarchie militaire s’en mêle[46]. Delon est immédiatement emprisonné[46]. Son cas devient préoccupant pour le commandement[46]. On lui retire son poste à l’arsenal, et il est envoyé sans ménagement à la caserne Courbet, un centre de repos et de rééducation pour marins situé à Đà Lạt, à 300 kilomètres de Saigon, sur les hauts plateaux[46]. En attendant, l’enquête suit son cours, notamment sur les circonstances de l’accident[46]. Le 21 mai, la sanction tombe : le commandement de la Marine décide de renvoyer Delon en France[46]. Son contrat de cinq ans est annulé, il revient à son engagement initial de trois ans, ce qui signifie qu’il sera libéré le 22 janvier 1956[46]. Il évite un procès ou une peine plus lourde[46]. La Marine veut étouffer l’affaire pour ne pas exposer l'existence d’éléments incontrôlables dans ses rangs[46]. Il est également interdit de séjour en Indochine[46]. Il doit embarquer sur le prochain paquebot pour Marseille[46]. En plus, on lui demande de rembourser la prime d’engagement correspondant aux deux années non effectuées[46]. C’est sa mère, avec qui il garde une correspondance régulière, qui prend cette charge à sa place[46]. De plus, Delon est rétrogradé[40]. On lui retire son grade de matelot pour le réduire à celui de mousse, le plus bas échelon[47]. Il est embarqué sur le Florida : la traversée vers la France dure 26 jours[47]. Alain souffre encore du mal de mer[47]. Il a passé 1 195 jours sous l’uniforme, soit trois ans et trois mois[48]. Une expérience qui le transforme en profondeur[48]. Pendant son service, Delon accumule 14 punitions, totalisant près d'un an de prison sur trois ans[41].
Retour en France
Le 17 juin 1955, il foule de nouveau le sol français[49]. À Marseille, la police militaire l’intercepte : il transporte une arme non déclarée, achetée à un trafiquant à Saigon[50]. Comme beaucoup, il voulait ramener un « souvenir »… mais celui-ci lui vaut 45 jours de prison, à purger au fort Lamalgue à Toulon[49]. Il pense désormais toucher à la fin de son service, mais il découvre que ses nombreux jours de prison prolongent son incorporation de cent jours supplémentaires[49]. Sa libération prévue au 22 janvier est repoussée au 1er mai 1956 et ne peut pas quitter la caserne[49]. C’est dans ce contexte qu’il passe son vingtième anniversaire, seul, le 8 novembre 1955[49]. L’heure est venue pour lui de dresser un premier bilan : « Sur le moment, ce n’était pas très drôle, dira-t-il plus tard. Mais avec du recul, c’est un bon souvenir. J’en suis revenu libre, avec l’avenir devant moi. Et j’ai appris à me défendre seul »[51].
Le , il est enfin libéré[51]. Aucun certificat de bonne conduite ne lui est remis – conséquence directe de ses états de service[51]. Il ne touche pas non plus la prime de libération qui va avec[51]. Il est RCA – radié des contrôles de l’activité[51]. Il repart avec peu de choses : une médaille commémorative de la campagne d’Indochine, sa seule décoration, mais à ses yeux un souvenir important[51]. Sa mère explique a posteriori avoir usé de ses relations pour faire expurger le livret militaire de son fils afin de ne pas pénaliser son avenir : le document ne mentionne ainsi plus que « sept jours pour mauvaise conduite » au lieu des quatorze punitions reçues et de la quasi-année entière cumulée derrière les barreaux[50].
Officiellement, il doit rejoindre l’adresse de son père à Bourg-la-Reine, mais il préfère retourner chez les Marcantoni, à Toulon, ses amis fidèles[51]. Lui qui rêvait d’être pilote se retrouve ancien prisonnier militaire[51]. L’armée ne veut plus de lui[51]. La seule alternative, ce serait la Légion étrangère, mais il n’en veut pas[51]. Un camarade lui propose de devenir gardien de la paix, mais Delon refuse[51]. Avec ses antécédents, il sait que ce n’est pas réaliste[51]. Très vite, il réalise qu’il n’a aucune perspective à Toulon ni à Marseille. S’il veut se construire un avenir, quel qu’il soit, il doit monter à Paris.
Vie instable à Paris
Ni son père ni sa mère ne savent qu’il est rentré en France[52]. Alain a rompu les liens : il lui faudra des années pour les renouer[52].
Le tumulte de Paris l’étouffe :
« J’étais complètement transformé. J’avais même peur de traverser la rue. Les voitures qui filaient à toute vitesse dans la grande ville étaient pires que des balles. J’avais une sensation d’angoisse. Tous ces gens, ces automobiles, ce flot d’êtres humains sans contrôle… c’était pire que la jungle vietnamienne. »[52].
Dans sa poche, il garde l’adresse de Lucien Lejeune, un ancien quartier-maître et chef de compagnie[52]. Cet ex-militaire, loin de mener grand train, loge dans une petite chambre de l’hôtel Regina, au 94 boulevard de Rochechouart, non loin du Moulin Rouge[52]. Apprenant qu’Alain est sans logement, il lui propose de partager son espace exigu[52]. À cette époque, Pigalle est un haut lieu de la prostitution[52]. Des femmes de tous âges arpentent les trottoirs[52]. Certaines remarquent Alain, attirées par sa beauté magnétique[52]. Elles lui font des propositions : devenir leur protecteur, un rôle entre l’amant et le garde du corps[52]. Son avenir semble alors se diriger vers celui de souteneur[53]. Mais Delon préfère une voisine de palier, dans l’immeuble modeste qu’il occupe désormais rue Jean-Mermoz, à proximité des Champs-Élysées[54]. Elle s’appelle Yolanda Gigliotti. Encore inconnue en France, elle a été élue Miss Égypte en 1954. Sa silhouette élégante et sa voix singulière la destinent à la chanson. Tous deux se soutiennent, partagent leurs rêves et leurs débuts difficiles[54]. Ce lien sentimental et complice ne durera pas éternellement, mais chacun d’eux deviendra célèbre : lui sous le nom d’Alain Delon, elle en devenant Dalida[54]. En attendant, Alain doit gagner de l’argent : il enchaîne les petits boulots[54]. Il travaille d’abord aux Halles, aux marchés généraux, où il charge et décharge des caisses de fruits, légumes ou viandes dès l’aube[54]. Le soir, il change de tenue : serveur dans un café chic proche des Champs-Élysées, le Colisée[note 2]. L’établissement bénéficie d’un bon emplacement, mais la structure rigide de son personnel l’agace. Il tient un mois, puis jette l’éponge[54].
En février 1957, il tire dans la vitrine d'un marchand de couleurs de Saint-Germain-des-Prés avec une arme automatique 9 mm[50]. Il est condamné à deux mois de prison ferme mais est amnistié en 1959, lors du changement de régime, sa peine étant réduite à une amende de 10 000 francs[50].
Pigalle, puis Saint-Germain...
Malgré sa vie instable, Alain reste ouvert, curieux, et jamais aigri[54]. Ses séjours en prison ont nourri une faim de vivre intense[54]. Sa beauté attire les regards, facilite les rencontres, et lui ouvre bien des portes[54]. Il aime sortir, faire la fête, séduire[54]. Et il ne s’en prive pas[54]. Avec son ami Lucien, ils fréquentent régulièrement le Canada Bar, un établissement de Pigalle sans lien avec le pays mais conçu pour attirer les touristes américains[54]. À part Pigalle et les Champs-Élysées, il ne connaît pas grand-chose de Paris[55]. La découverte de Saint-Germain est une révélation[55]. À plusieurs reprises, il tombe sur une bande d’excentriques, d’anciens du Conservatoire[55]. Le plus remuant d’entre eux s’appelle Jean-Paul[55]. Ils se sont déjà croisés, non loin de l’Arc de Triomphe :
« La première fois que j’ai rencontré Belmondo, j’en m’en souviens très bien. C’était en 1957. Il avait un agent qui était près des Champs-Élysées, en face du Fouquet’s. Et c’est là que je l’ai rencontré. […] On s’est retrouvés souvent tous ensemble par la suite. On avait même l’habitude, je crois, d’aller jouer au baby-foot sous le théâtre Montparnasse. On se réunissait aussi dans les cafés de la rue Saint-Benoît. On se croisait, on faisait les fous, on draguait les filles, on buvait des coups, on riait... »[55].
Devenir acteur par accident (1957-1958)
Introduction dans le milieu du cinéma
À ce moment-là, Delon ne pense toujours pas à devenir acteur[55]. Il aime aller au cinéma, mais reste simple spectateur. Il vit au jour le jour, sans plan précis, porté par le hasard des rencontres. Il fait connaissance avec "Zizi", de son vrai nom Monique Aïssata[56]. Elle présente Alain à ses amis du milieu, l’introduisant sans le savoir dans les cercles du cinéma français[56]. Parmi eux : Brigitte Auber, comédienne remarquée au théâtre puis au cinéma[56]. Hitchcock l’a récemment dirigée dans La Main au collet, aux côtés de Grace Kelly et Cary Grant. Elle n’est pas une star internationale, mais jouit déjà d’une certaine notoriété[56]. Un soir, alors qu’elle se trouve dans la cave du Club Saint-Germain, des amis lui soufflent qu’un jeune homme l’attend dans un café, juste en face :
— Qu’est-ce qu’il me veut ? demande-t-elle.
Ses amis :
— Peu importe. Il est mince, brun, les yeux bleus qui brillent ![56].
Brigitte ne donne pas suite[57]. Le lendemain, le jeune homme attend encore[57]. Le surlendemain, elle cède à la curiosité[57]. Elle traverse la rue, s’approche de lui, et comprend l’enthousiasme de ses amis :
« Certes, il était beau mais il était surtout complètement bourré, se souvien dra Brigitte. Histoire qu’il dessoûle, nous avons fait quelques pas dans le quar tier. Quand il a enfin retrouvé ses esprits devant un café noir bien fort, il a tenu à me raccompagner chez moi. Comme mon père venait de décéder, qu’il y avait de la place dans mon appartement, je lui ai alors proposé de rester dormir. Et, dans la nuit, il s’est passé ce qui devait arriver… »[57].
Très vite, ils emménagent ensemble, dans un petit appartement rue du Pré-aux-Clercs, dans le 7ᵉ arrondissement[57]. Alain confie qu’il veut devenir célèbre, sans savoir encore dans quel domaine[57]. Il a renoncé au cyclisme, délaissé la boxe[57]. Souvent, il va retrouver Brigitte au théâtre de la Madeleine, où elle joue L’Amour fou[57]. Dans les coulisses, il croise un jeune homme venu chercher sa mère, l’actrice Odette Joyeux. Alain sympathise avec lui et l’entraîne dans ses virées. Ce garçon, qui ne sait pas encore qu’il deviendra acteur, s’appelle Claude Brasseur[57]. Delon suit Brigitte dans ses déplacements professionnels[57]. Aubert lui glisse un conseil : aller à Cannes[57]. Vu son physique, il pourrait y nouer de bons contacts[57]. En mai 1957, elle lui prête sa MG verte décapotable[57]. Il file droit vers la Croisette[57].
Incursion au festival de Cannes
Le festival de Cannes 1957 bat son plein, plus flamboyant que jamais. Elizabeth Taylor est là pour soutenir Le Tour du monde en 80 jours, produit par son mari Mike Todd. Brigitte Bardot attire l’attention, tout comme Romy Schneider. Côté masculin, on croise Henry Fonda, Curd Jürgens, Yul Brynner… Chaque jour, une pluie de stars illumine la Croisette. Picasso fait même une apparition pour saluer Jean Cocteau, président du jury cette année[58].
Au milieu de tout ce tumulte, Alain Delon, parfait inconnu, se fait pourtant remarquer[58]. Sur la plage, il s’amuse avec un groupe de nouveaux camarades. C’est là que Jean-Claude Brialy, étoile montante de la Nouvelle Vague, l’observe avec curiosité[58]. Delon déborde d’énergie, et Brialy veut en savoir plus[58]. Leur premier échange est tendu : Alain l’envoie promener[58]. Mais Brialy finit par établir le contact en faisant rire Delon[58]. Leur amitié naît sur le sable de Cannes et durera jusqu’à la mort de Brialy[58].
Avec quelque chose d’insolent, voire d’inquiétant, un caractère bien trempé, cassant, capricieux, que sa beauté et sa générosité faisaient oublier. »[58]. Très vite, les deux jeunes hommes deviennent inséparables[58].
Ensemble, ils tentent de s’infiltrer dans le Palais pour assister aux projections officielles[58]. Mais chaque fois, on les repousse. Delon lance en partant : « Vous vous souviendrez de nous, on reviendra ! »[58]. Ils se rabattent sur les projections gratuites, où ils découvrent notamment Tahiti ou la Joie de vivre, un film dans lequel apparaît Georges de Caunes[58]. Ce dernier se rappelle :
« La projection a eu un grand succès. Un jeune homme a trouvé une façon originale de se faire photographier : il se promène au volant d’une voiture de sport en affirmant qu’il ressemble à James Dean ; il se fait appeler Alain Delon. »[58].
Comme l’avait pressenti Brigitte Auber, les propositions commencent à tomber[58]. La plus sérieuse vient de Henry Willson, célèbre agent hollywoodien, connu pour avoir lancé Rock Hudson, alors qu’il s’appelait encore Roy Harold Scherer[58]. Willson est toujours à la recherche du prochain visage prometteur. Pendant que Hudson tourne L’Adieu aux armes à Rome, sous la houlette de David O. Selznick, Willson passe par Cannes[59]. Il fait un détour par le Whisky-à-gogo, une boîte de nuit de Juan-les-Pins[59]. Il y repère immédiatement Delon, accompagné comme toujours de Brialy[59]. Il les aborde en affirmant être l’agent artistique de Rock Hudson[59]. La discussion se déroule surtout entre lui et Brialy, car Delon ne manifeste guère d’intérêt[59]. L’agent est clair : ce n’est pas Jean-Claude qu’il veut signer, mais Alain[59]. Celui-ci refuse[59].
Willson lui donne sa carte et Alain la glisse dans sa poche, puis retourne à la fête[59]. Il recroise Willson plusieurs soirs de suite[59]. Intrigué, il finit par lui poser des questions. L’agent lui explique qu’il peut l’amener à Rome, à la rencontre de Selznick… à condition d’y aller à ses frais[59]. Delon accepte, mais à une condition : tout doit lui être payé. Willson doit convaincre Selznick[59]. Il l’appelle et lui vend Delon comme le nouveau Louis Jourdan, ce French lover qu’il connaît bien, ayant travaillé avec lui[59]. Il glisse aussi que Delon est en couple avec Brigitte Auber et proche de Brialy — deux noms familiers pour Selznick[59]. Seul bémol : Delon ne parle presque pas anglais. « Aucune importance tranche Selznick. »[59].
De premiers essais
Alain Delon continue de profiter pleinement des plaisirs qu’offre la Côte d’Azur[59]. Il se lie même d’amitié avec Philippe Erlanger, haut fonctionnaire au ministère des Affaires étrangères et véritable initiateur du Festival de Cannes, dont il est le délégué général[59]. Personnage influent, bien introduit dans les milieux politiques, théâtraux et cinématographiques, Erlanger prend Delon sous son aile[60]. Il lui promet de le mettre en contact avec des personnalités susceptibles de favoriser une éventuelle carrière dans le cinéma[60]. Henry Willson ne lésine pas sur les moyens[60]. Il convainc Rock Hudson en personne de venir accueillir le jeune Français à son arrivée[60]. La star américaine l’emmène directement à Cinecittà, sur le plateau du film qu’il tourne actuellement[60]. Le soir, ils partagent un dîner en compagnie du producteur David O. Selznick et de sa compagne, Jennifer Jones, vedette de L’Adieu aux armes. Selznick, séduit par l’apparence d’Alain, accepte de lui faire passer un bout d’essai[60]. Willson, toujours stratège, informe aussitôt un journaliste du Hollywood Reporter, qui publie dès le lendemain une brève : « Henry Willson signed to agent Brigitte Auber’s husband… Jimmy Dean type named Delon. »[60].
Pour la première fois, Delon se retrouve face à une caméra de cinéma[60]. Détendu, presque amusé, il prend l’exercice à la légère[60]. Un assistant lui propose une scène simple : rentrer chez lui et découvrir une lettre de sa femme annonçant qu’elle le quitte pour son meilleur ami[60]. Il doit enchaîner plusieurs émotions – surprise, colère, douleur, vengeance, tristesse[60]. Delon s’en sort bien[60]. Ce test, plus que pour juger son jeu, permet surtout d’évaluer sa photogénie et son aisance face à l’objectif[60]. L’assistant, intrigué, engage ensuite une longue discussion avec lui. Selznick, après visionnage du bout d’essai, se déclare prêt à signer un contrat de sept ans[60]. Mais Delon, méfiant, demande quels rôles concrets on lui propose[60]. « Aucun », lui répond-on[60]. Malgré tout, Delon accepte de suivre des cours d’anglais, financés par Selznick, auprès de Madame Guyot[60].
De retour à Paris, il retrouve Brigitte Auber, toujours bien introduite dans le monde du spectacle[60]. Elle, désormais plus tournée vers le théâtre, s’étonne de voir Alain s’intéresser au cinéma[60]. Elle lui suggère alors de prendre des cours avec Simone Jarnac, actrice d’âge mûr vue notamment dans Casque d’or et Rendez-vous de juillet[60]. Mais après seulement trois séances, Delon abandonne[61]. Dans leur petit appartement de la rue du Pré-aux-Clercs, il aime recevoir des amis, comme Jean-Claude Brialy[61]. Un soir, après un dîner à trois, Delon propose d’aller boire un dernier verre à l’extérieur[61]. Tout le monde se prépare mais après un échange tendu entre Delon et Auber, celle-ci refuse de lui prêter sa voiture[61]. Peu importe. Arrivé dehors, Delon ouvre la voiture sans difficulté, en dénudant les fils sous le volant[61]. Il démarre le véhicule comme s’il avait l’habitude[61]. La soirée se transforme en virée festive, prolongée jusqu’à l’aube[61]. Ce soir-là marque aussi le déclin de sa relation avec Brigitte Auber[61]. Elle part bientôt en tournée en Afrique du Nord[61]. À Marseille, surprise : Alain la rejoint[61]. Inquiet pour sa sécurité en raison des tensions croissantes dans la région, il lui propose de lui confier un pistolet[61]. Brigitte refuse. Alain remonte dans le train, direction Paris. Leur histoire prend fin sur le quai de la gare Saint-Charles[61].
Rencontre avec Michèle Cordoue et Yves Allégret
Au fil des soirées et des rencontres, Alain Delon fait la connaissance de Michèle Cordoue[61]. Celle-ci s’intéresse très vite à Alain[62]. Cette comédienne blonde aux yeux gris, âgée de 35 ans, a commencé sa carrière au cinéma grâce à son second mari, Yves Allégret. Elle a notamment joué aux côtés de Gérard Philipe dans La Meilleure Part et Les Orgueilleux. Bien implantée dans le milieu, elle dispose d’une réelle influence grâce à sa proximité avec Allégret[62]. Entre Michèle et Alain, une liaison débute[62]. Le jeune homme, attiré par les femmes plus âgées, y voit une expression de la féminité à son apogée[62]. Michèle, fascinée par son charme et sa beauté, le pousse à envisager sérieusement une carrière d’acteur[62]. Michèle insiste auprès de son mari, qui prépare alors un polar inspiré d’un roman de la Série Noire intitulé Quand la femme s’en mêle[63]. Il recherche des jeunes hommes solides pour des seconds rôles de truands[62]. Il a déjà recruté Bruno Cremer, tout juste sorti du Conservatoire, mais il lui manque encore l’acteur pour incarner Jo, l’un des acolytes du chef de gang Riton[62]. Les producteurs proposent Gil Vidal, récemment vu avec Annie Girardot dans L’Homme aux clés d’or[62]. Allégret hésite[62]. Sous l’influence de Michèle, il accepte finalement de rencontrer Alain[62]. Plutôt que de lui faire passer un essai, il engage la conversation. Alain raconte son enfance difficile, son service militaire, son passage à Cinecittà et l’offre de Selznick à Hollywood[62]. Ce récit séduit Allégret, mais il met le jeune homme en garde : à Los Angeles, il ne sera qu’un visage parmi tant d’autres[64]. Il l’incite à tenter sa chance en France, où il pourrait rapidement se distinguer[64]. Il se dit même prêt à lui confier un rôle de voyou dans son film[64]. Alain hésite. Il veut réussir, devenir célèbre, mais n’est pas encore convaincu que le cinéma soit la voie[64]. Toutefois, face à la ténacité d’Allégret et à la persuasion douce de Michèle, il finit par céder[64]. Plus par reconnaissance que par réelle envie, il accepte le rôle[64].
Peu après, il contacte Henry Willson pour lui annoncer qu’il renonce à partir aux États-Unis[64]. L’agent hollywoodien tombe des nues : c’est la première fois qu’un jeune Français refuse un contrat de sept ans avec un grand producteur américain[64]. Sans regret, Delon admet :
« Si je n’avais pas rencontré Yves Allégret, je ne sais pas ce qu’il serait advenu de moi et de ma carrière. Je serais effectivement parti aux États-Unis lié à un contrat de sept ans. Et je ne sais pas du tout la carrière que j’aurais pu y faire. »[64].
Quand la femme s'en mêle : la révélation
Yves Allégret donne finalement son accord : Alain Delon incarne Jo, un gangster séduisant dans Quand la femme s'en mêle[65]. Mais plusieurs obstacles demeurent : Delon ne se montre toujours pas pressé de devenir acteur[65]. À l’image de Lino Ventura quelques années plus tôt, qui ne franchit le pas que grâce à la présence de Jean Gabin dans Touchez pas au grisbi, Delon n’accepte de tourner Quand la femme s’en mêle que parce que le projet est entouré de grands noms[65]. Le film promet d’être une œuvre sérieuse, bien produite, loin d’une quelconque série B[66]. Et pour finir, Alain touche un cachet de 400 000 francs, somme confortable pour un débutant[66]. Yves Allégret décide de faire confiance à l’instinct d’Alain, sans répétitions. Delon raconte :
« Je ne savais rien faire. Allégret m'a regardé comme ça et il m'a dit : « Écoute-moi bien, Alain. Parle comme tu me parles. Regarde comme tu me regardes. Écoute comme tu m'écoutes. Ne joue pas, vis ». Ça a tout changé. Si Yves Allégret ne m'avait pas dit ça, je n'aurais pas eu cette carrière »[67].
Le tournage débute le 8 juillet dans les studios de Boulogne-Billancourt[66]. La toute première scène d’Alain paraît simple en apparence : il doit sortir d’une pâtisserie avec Sophie Daumier, qui porte un petit paquet de gâteaux[66]. Mais l’ambiance n’est pas anodine : une imposante caméra, des projecteurs, une équipe de techniciens braquée sur lui… Le défi est réel. Pourtant, Delon ne se laisse pas envahir par le trac[66]. Il se sent détendu, à sa place. Son naturel fait mouche. La scène est tournée sans difficulté[66]. De jour en jour, Delon prend goût à son nouveau métier :
« Je ne connaissais rien de ce métier-là. Tout ce que je connaissais du cinéma c’était Jean Gabin, Michèle Morgan, Jean Marais. Et je ne me sentais pas capable, je ne savais pas dans quoi j’allais me fourrer… Quinze jours après avoir commencé je suis tombé amoureux de mon métier, c’est-à-dire amoureux de la caméra. »»[66].
Autour de lui, l’étonnement est général[68]. La presse commence à s’intéresser à ce nouveau venu et le magazine Cinémonde publie deux articles[68].
Sur le plateau, le charisme d’Alain Delon opère pleinement[69]. Il incarne un tueur à gages, chargé par Henri Godot dit Riton (interprété par Jean Servais) d’éliminer les gêneurs[69]. Sa première apparition à l’écran le montre assis en face de son patron, aux côtés d’un autre homme de main, joué par Jean Lefebvre. Le choix du polar n’est pas anodin[69]. Delon est déjà fasciné par ce genre, auquel il restera fidèle tout au long de sa carrière[69]. Son personnage de Jo esquisse déjà les contours de ce qu’on appellera plus tard les héros deloniens[69].
Quand la femme s’en mêle sort en salles le 15 novembre 1957, Delon vient de fêter ses 22 ans[70]. Son nom figure seul à l’écran (juste après celui de Jean Lefebvre), signe de la confiance qu’Yves Allégret lui accorde[70]. À ce moment-là, son père, Fabien Delon, découvre par hasard une affiche[70]. En passant devant un cinéma, il croit reconnaître la silhouette de son fils. Il s’approche et, au bas de l’image, lit : Alain Delon. Son fils est devenu acteur. Le film ne dépasse pas le million d’entrées[70]. Le public préfère des films spectaculaires comme Le Pont de la rivière Kwaï, ou romantiques, tels que ceux où triomphe Romy Schneider en Sissi[70].
Malgré tout, plusieurs journalistes repèrent Delon[70]. Un constat s’impose : Alain Delon possède un vrai don, ou du moins une présence unique, ce qui est déjà beaucoup au cinéma[71].
Delon, lui, pense n’avoir signé que pour un coup d’essai[71]. Il accepte Quand la femme s’en mêle comme une expérience unique, avant de reprendre sa route[71]. Trop tard : le virus du cinéma l’a contaminé. Edwige Feuillère l’encourage vivement à continuer et elle lui présente même son agent, Olga Horstig, qui représente déjà Danielle Darrieux, Michèle Morgan et une étoile montante : Brigitte Bardot. Alain Delon devient pleinement acteur[71].
Feuillère le pousse à tenter un rôle important : celui de l’amant d’Yvette Maudet, voleuse et meurtrière bientôt jugée aux assises, dans En cas de malheur, le prochain film de Claude Autant-Lara[72]. Delon en rêve mais le rôle lui échappe[72].
Notoriété grandissante
Alain ne reste pas longtemps sur la touche. Yves Allégret, impressionné par sa performance, en parle à son frère Marc Allégret, également cinéaste, qui cherche de nouveaux visages pour son prochain film : Sois belle et tais-toi. Il s’agit d’une comédie policière portée par Henri Vidal, l’ex-mari de Michèle Cordoue. Le titre, volontairement provocateur, correspond à la dernière réplique du film. Marc décide d’engager Alain Delon en même temps qu’un autre jeune acteur fraîchement sorti du Conservatoire : Jean-Paul Belmondo.
Grâce à son agent Olga Horstig, Delon obtient un cachet de 600 000 francs, soit 50 % de plus que pour son film précédent. L’histoire du film met en scène une bande de jeunes mêlés à un trafic d’appareils photo… qui dissimulent en réalité des bijoux. Un fringant inspecteur de police vient dénouer l’affaire. Pour Marc Allégret, l’objectif est surtout de valoriser les deux vedettes principales : Henri Vidal et Mylène Demongeot. Cette dernière hérite d’un rôle que le scénariste Roger Vadim destinait initialement à sa fiancée : Brigitte Bardot. Lors du tournage, il emprunte la Renault 4CV de Pascal Jardin, le second assistant du réalisateur, contre l'avis du propriétaire du véhicule. Dans le tunnel de Saint-Cloud, la voiture empruntée effectue cinq tonneaux[73]. Le véhicule est détruit et Alain Delon s'en sort avec une cicatrice sous le menton qui deviendra caractéristique de son image[74].
Delon incarne Loulou, un petit caïd[75]. Il participe à plusieurs scènes musclées : poursuite en voiture, bagarre contre Henri Vidal, escalade, maniement d’arme… et même un coup de feu[76]. Côté critique, sa performance est remarquée[76].
Sois belle et tais-toi sort en mai 1958 et approche les deux millions d’entrées[76]. Le public lui préfère cependant les jeunes des Tricheurs de Marcel Carné[76]. Le nom de Delon est d’ailleurs brièvement envisagé pour Les Tricheurs, il passe une audition mais Marcel Carné lui préfère Jacques Charrier[77].
En mai 1958, Alain Delon profite de sa notoriété grandissante pour revenir au Festival de Cannes, où il est cette fois pleinement admis dans le monde du cinéma[77]. Les photographes l’immortalisent au bras de plusieurs comédiennes en vogue, parmi lesquelles la mystérieuse Bella Darvi, avec qui il fait du bateau — même s’il déteste la mer —, et la blonde Estella Blain, qu’il accompagne en smoking à une projection officielle[77]. Bella, de sept ans son aînée, multiplie les avances[77]. Déjà maîtresse du redoutable producteur Darryl F. Zanuck, elle n’hésite pas à déclarer être « folle de lui »[77]. Delon, absorbé par ses nouvelles obligations, ne trouve pas le temps de voir Sissi face à son destin, qui représente l’Allemagne cette année-là au festival[77]. Il passe pourtant à côté du charme de la jeune actrice principale[77]. De retour à Paris, il entame une liaison avec la danseuse Rita Cadillac du Crazy Horse, célèbre cabaret dirigé par Alain Bernardin, un ami de Delon[77].
À la fin de l’année, la presse publie une photo rassemblant les nouveaux espoirs du cinéma français, millésime 1958[78]. Y figurent Jean-Claude Brialy, Pierre Brice, Alain Saury, Jacques Charrier, Maurice Sarfati, Georges Poujouly, et bien sûr Alain Delon. Tous ne connaîtront pas le même destin[78].
Naissance d’un couple mythique
Alain Delon réside désormais au 3 quai Malaquais, face à la Seine, dans un quartier paisible voisin de l’Institut de France[79]. Il loge chez Georges Beaume, un journaliste qu’il a rencontré lors du Festival de Cannes 1957. Grand lettré et cinéphile, il travaille pour Cinémonde et mène parallèlement une carrière d’écrivain, critique d’art, producteur et agent artistique[79]. Grâce à sa parfaite connaissance des arcanes du monde cinématographique, Georges devient un précieux conseiller pour Alain[79]. Il lui indique les bonnes personnes à rencontrer, les projets à privilégier, les soirées où se montrer, mais aussi les pièges à éviter pour un jeune premier[79]. Car Delon déborde déjà de propositions, certaines farfelues comme Père et mère inconnus ou Le Bouc étourdi, d’autres plus sérieuses comme Le Jugement de Salomon que prépare un temps André Michel, avant de se tourner vers l’adaptation de Sans famille[79]. Georges Beaume préfère guider son protégé vers des voies plus solides[79].
Convaincu qu’un tel charisme ne suffit pas, Beaume incite Alain à approfondir son art[79]. Il l’encourage à se cultiver davantage, car Delon connaît encore peu de films[79]. En quelques semaines, ce dernier devient un véritable cinéphage[80]. Il se passionne pour des acteurs aussi divers que Gary Cooper, Gérard Philipe, Montgomery Clift, Burt Lancaster et James Dean, mais sa préférence reste au tourmenté John Garfield, mort d’une crise cardiaque à 39 ans[80].
Pendant ce temps, Michel Safra, producteur, perçoit le succès des romances en uniforme et développe un projet ambitieux : Christine, adaptation de la pièce Liebelei d’Arthur Schnitzler, transposée dans la Vienne de 1806[80]. L’univers d’aristocrates et de militaires séduit le public, porté par la vague des films Sissi. Pour ce rôle féminin principal, Safra engage Romy Schneider, déjà star adulée dans toute l’Europe.
Reste à trouver son partenaire masculin. Plusieurs candidats passent : Gérard Blain décline, peu séduit par l’idée d’un uniforme de lieutenant[80]. Jacques Charrier, encore méconnu, refuse également[80]. Louis Jourdan, envisagé un temps, est écarté en raison de son âge (37 ans)[80]. C’est alors que Georges Beaume et Olga Horstig saisissent l’occasion pour défendre la candidature de Delon[80]. Le producteur objecte qu’il est certes très photogénique, mais qu’il n’a joué que des rôles de voyous, et que son passé militaire ne fait pas de lui un officier autrichien convaincant[80]. Malgré tout, il accepte de lui faire passer des essais dans les costumes des Grandes Manœuvres, romance en uniforme avec Gérard Philipe et Michèle Morgan[81]. Parmi les autres postulants figurent Jean Piat, Paul Guers et Jacques Toja. Les bandes d’essai sont envoyées en Allemagne, où Romy Schneider doit trancher. Elle choisit Delon[82]. À peine engagé, Alain demande que le rôle de son meilleur ami dans le film soit confié à Jean-Claude Brialy[82]. Ce dernier n’en revient pas : il est impressionné par la capacité de persuasion de Delon[82].
Tout commence le 10 avril, Alain reçoit pour mission d’accueillir Romy Schneider à l’aéroport d’Orly[82]. La production orchestre la rencontre dans les moindres détails. Il doit lui tendre un bouquet de fleurs et afficher son plus beau sourire[82]. L’événement attire la presse : c’est la première fois que la star allemande – forte de plus de 18 millions d’entrées en France avec la trilogie Sissi – vient travailler à Paris[82]. Ni l’un ni l’autre ne se montre vraiment à l’aise[82]. Pour tous les deux, cette rencontre a des allures de corvée[82].
L’avion atterrit, la porte s’ouvre, Romy apparaît, accompagnée de sa mère, la comédienne Magda Schneider. Elle aperçoit un jeune homme impeccable qui s’approche[82]. Plus tard, Romy confiera avoir trouvé ce jeune Français trop parfait, presque surfait : trop beau, trop jeune, trop bien coiffé, trop bien habillé[82]. La mise en scène entière lui paraît artificielle[82]. À cela s’ajoute la barrière linguistique. Alain ne parle pas allemand, Romy ne parle pas français[83].
La journée de Romy est entièrement planifiée : essayage de costumes, présentation aux techniciens, rendez-vous médiatisé le soir même au Lido, en présence des photographes[83]. Au cabaret, ils dansent. Alain tente un mot d’allemand : Ich liebe dich. « Je t’aime. »[83]. Un peu prématuré… La soirée reste aussi fade que la cérémonie d’Orly et chacun rentre de son côté[83]. Le lendemain, Romy repart pour Ibiza se reposer[83]. Alain lui adresse une lettre enthousiaste où il se réjouit de leur prochaine collaboration[83]. Elle lui répond poliment, l’échange reste très convenu[83]. Sur le tournage de Christine, Romy est l’incontestable vedette[83]. Son cachet atteint 75 millions de francs, contre 400 000 pour Delon, qui a accepté un gros rabais pour obtenir le rôle[83]. Le 22 mai, à l’occasion du bal d’inauguration du Festival du Film de Bruxelles, la production envoie le « couple vedette » pour assurer la promotion[83]. Romy, accompagnée de sa mère, voyage en avion ; Alain, moins choyé, prend le train[83]. La réception, organisée dans le cadre de l’Exposition universelle, est somptueuse[83]. Mais les deux jeunes acteurs dînent séparément : elle à la table allemande, lui à la table française[83]. Après quelques danses, Alain propose à Romy de l’accompagner à sa table[84]. Alain suggère qu’ils rentrent ensemble en train et Romy accepte[84]. Pendant le trajet, l'ambiance s’allège[84].[84]. Peut-être les prémices d’une idylle ? Romy, en tout cas, montre une volonté nouvelle de s’affranchir de l’emprise maternelle[84]. Début juin, après un court séjour en Allemagne, elle revient à Paris pour les essayages de costumes, de perruques, de maquillage, et participe à des répétitions de valse dans un studio à Pigalle[84].
À Neuilly, Delon et Brialy s’entraînent à l’équitation à la viennoise[84]. Le tournage commence, d’abord à Paris et Versailles[84]. Romy découvre alors un Delon bien différent de l’image lisse qu’elle avait perçue[84].
Quelques jours après le début du tournage, incident : en conduisant trop vite, Alain coince sa voiture entre deux rames de tramway et la circulation est bloquée[85]. Les acteurs n’arrivent pas sur le plateau : la production, furieuse, envisage de les remplacer[85]. Gaspard-Huit s’y oppose fermement[85]. Fin juillet, l’équipe se rend à Vienne pour les extérieurs. L’atmosphère se détend[85]. Alain découvre la popularité folle de Romy, quasi impériale[85]. Pour éviter la foule, elle entre par une porte de service mais reste d’une ponctualité et d’une simplicité exemplaires[85].
La presse flaire l’idylle[86]. Elle apprend que Romy rejoint Alain à l’hôtel Sacher : sa mère entre dans une colère noire[86]. Les week-ends, le trio part en virée, partageant les frais[86]. Alain, cependant, se montre très généreux avec Romy, ce qui agace un peu les autres[86]. Un dimanche, ils prennent la route vers Salzbourg : Romy, de son côté, reste exigeante[86]. Elle sait que le succès du film repose sur elle[86]. Son nom apparaîtra au-dessus du titre, celui d’Alain en petit, en bas[86].
Le 30 août, le tournage s’achève[87]. Alain s’apprête à quitter l’Autriche[87]. À l’aéroport, Romy l’accompagne : avant d’embarquer, il l’embrasse tendrement[87]. Elle rentre chez elle en larmes[87]. Dans l’avion, Delon se sent aussi bouleversé et confie son trouble à Georges Beaume[87].
Le lendemain, Romy retourne à l’aéroport, censée s’envoler pour Cologne[87]. Mais elle change d’avis au comptoir : elle achète un billet pour Paris[87]. Elle choisit la liberté : elle appelle Alain et il vient aussitôt la chercher à Orly[87].
Ils s’installent quai Malaquais[87].
Très vite, les journalistes s’emparent de l’histoire[87]. Le couple Delon-Schneider devient l’un des plus médiatisés du moment : beaucoup les surnomment déjà « Les fiancés de l’Europe »[87]. Romy n’a que 20 ans, Alain 23[87]. Leur carrière les accapare et les contrats s’enchaînent[87]. Romy tourne dans Éva ou les Carnets secrets d’une jeune fille, un film sans grand intérêt qui l’ennuie[87]. Alain, de son côté, accepte Faibles femmes, une comédie légère dans laquelle il ne se reconnaît pas[87]. Il retrouve Mylène Demongeot et partage également l'affiche avec d'autres jeunes premières, Pascale Petit et Jacqueline Sassard[88].
Mais au quotidien, la pression est forte : les paparazzis les traquent[87]. La presse allemande réclame le retour de sa star au pays[87]. Et la famille Schneider, solidaire, tente de soustraire Romy à l’emprise du sulfureux Delon[89]. Appels téléphoniques incessants, lettres critiques, rumeurs… Tout est bon pour discréditer le jeune Français[89]. Romy, prise dans cette tempête, lutte tant bien que mal[89]. Pour retrouver un peu de paix, le couple se réfugie à Tancrou, en Seine-et-Marne, à environ 70 km de Paris[89]. Alain y achète un ancien prieuré, conseillé par son ami Georges Beaume[89]. La demeure se situe rue de l’Église, près d’une église désaffectée, au bord de la Marne[89]. La maison blanche, entourée de verdure, devient leur havre[89].
Le film Christine sort dans les salles le 24 décembre 1958, en pleine période de fêtes[89]. La concurrence est rude et le film est accueillie avec tiédeur : on lui reproche d’être une simple bluette viennoise[89]. Mais la province adhère, et le film atteint près de 3 millions d’entrées, même si cela reste deux fois moins que les chiffres de Sissi[89]. En Allemagne, l’accueil est beaucoup plus froid[89]. Les critiques de la presse allemande sapent peu à peu la popularité de Romy[90]. Christine chute à la 28e place du box-office, loin des sommets atteints par ses précédents succès[90]. Fait rare pour l’époque : Christine sort simultanément dans une cinquantaine de grandes villes européennes[90]. La critique, en revanche, souligne la transformation d’Alain Delon dans son rôle[90].
Delon, jeune premier du cinéma européen
Alain Delon est en pleine ascension[91]. Alors que Christine n’est pas encore sorti, il enchaîne déjà un quatrième tournage, avec encore une fois un rôle principal. La comédie romantique Faibles Femmes lui permet d’endosser le rôle d’un homme à femmes qui fait chavirer le cœur de trois jeunes héroïnes : Agathe (Pascale Petit), Sabine (Mylène Demongeot) et Hélène (Jacqueline Sassard)[91]. Il lui faudra en choisir une, qu’il épousera finalement... après avoir suscité des élans criminels chez chacune. Le film est mis en scène par Michel Boisrond, ancien assistant de René Clair et de Jean Cocteau. Le scénario est signé Annette Wademant, son épouse. Le tournage débute le 8 septembre 1958[91]. Dès les premières heures, l’ambiance se dégrade : Delon se retrouve malgré lui impliqué dans un conflit entre le réalisateur et le producteur, Paul Graetz[91]. Le premier souhaite confier le rôle d’Hélène à Agnès Laurent, tandis que le second lui préfère Jacqueline Sassard[91]. Le désaccord remonte jusqu’au directeur du Centre du cinéma, organisme de tutelle des productions[91]. C’est ainsi qu’Alain découvre les coulisses tendues du cinéma[92]. Il comprend que s’imposer dans ce milieu requiert parfois de défendre âprement ses choix : une leçon qu’il retiendra[92].
Dans ce climat apaisé, le tournage reprend. Dans une séquence, Delon doit affronter ses trois partenaires lors d’une bagarre chorégraphiée[93]. Son énergie débordante l’amène à oublier de retenir ses coups, et Mylène Demongeot en garde quelques bleus[93]. Son vrai clash est avec Pascale Petit[93]. Elle n’est pas charmée par lui, le jugeant « fade » et lui préférant Pierre Mondy, « plus chaleureux »[93]. Elle l’accuse également d’arriver constamment en retard à cause de ses virées nocturnes[93]. Un jour, ses retards provoquent un incident. Les actrices, nues pour leur séance de maquillage-bronzage avant la scène de piscine, ferment la porte à clé. Pascale va ouvrir : il entre brusquement, la renverse et son peignoir s’ouvre[93]. Furieuse, elle lui flanque une gifle : Delon réplique avec une claque plus violente qui lui tuméfie la joue gauche[93]. Pascale quitte le plateau, refuse de tourner, puis a[93]ccepte de revenir à condition qu’Alain s’excuse. Il refuse et elle tourne tout de même[93]. Un jour, alors qu’elle est dans sa loge, Delon y entre pour la première fois[94]. Il dit regretter leur dispute et confie être amoureux d’elle : Delon propose même de l’épouser[94]. Elle refuse[94].
Faibles Femmes sort le 11 février 1959. Les critiques sont partagées[94]. D’autres voix sont plus enthousiastes et le public suit : plus de 2,3 millions de spectateurs en France[94]. Le film cartonne aussi au Japon, où la popularité de Delon commence à prendre racine[94].
Alain aurait pu continuer à camper des séducteurs[95]. Jean-Pierre Mocky pense à lui pour Les Dragueurs, mais le rôle revient à Jacques Charrier[95]. Delon ne tient pas à se retrouver piégé dans ce type de personnage et veut explorer des rôles plus variés[95].
Son prochain projet est lancé : Le Chemin des écoliers, avec Bourvil dans le rôle de son père, et Lino Ventura à l’affiche[95]. Y figurent aussi Françoise Arnoul, Jean-Claude Brialy et Pierre Mondy. Même ambiance, même auteur (Marcel Aymé), mêmes scénaristes (Aurenche et Bost). Delon y joue un adolescent de 17 ans, puceau et amoureux : pas de scène forte pour lui, les rôles clés reviennent aux adultes[95]. Alain se lie avec Ventura grâce à leur passion commune pour le sport[96].
Le 8 mars 1959, sur le plateau, Alain annonce ses fiançailles avec Romy[97]. Deux semaines plus tard, les fiançailles officielles ont lieu en Suisse, au bord du Lac de Lugano[97].
Le Chemin des écoliers sort en septembre 1959 : plus de 2,5 millions d’entrées[97].
En moins d’un an, Delon a enchaîné trois succès : Christine, Faibles Femmes et Le Chemin des écoliers[97]. Il est devenu un acteur incontournable[97]. Mais le risque d’enfermement dans le rôle de jeune premier est réel[97]. Un projet de Jacques Becker, aux côtés d’Orson Welles et Brialy, tombe à l’eau[97]. C’est finalement René Clément qui lui offrira une nouvelle voie[97]. Lui, deux fois oscarisé, prépare un thriller solaire tourné en pleine Méditerranée.
Années 1960 : consécration professionnelle

René Clément choisit d’adapter The Talented Mr. Ripley, un roman de Patricia Highsmith. Dans Monsieur Ripley, trois personnages centraux s’entrelacent : Philippe Greenleaf, héritier riche et désinvolte, sa compagne Marge, et Tom Ripley, jeune homme sans ressources, missionné par le père de Philippe pour le convaincre de revenir à San Francisco, moyennant une somme de 5000 dollars. Ce triangle relationnel conduit à un crime : Ripley assassine Greenleaf et prend son identité, dans le but de s’approprier ses biens. Le projet change de nom en cours de route, passant de Monsieur Ripley à Plein soleil. Au début de l’année 1959, le scénario est achevé[98]. Reste une question essentielle : qui incarnera les trois rôles principaux ? Clément souhaite des acteurs jeunes, au physique avantageux, car il veut que l’apparence des personnages masque leurs tensions intérieures[98].
Alain Delon ne fait pas tout de suite partie de ses choix[98]. Sur les conseils de Georges Beaume, Clément visionne Faibles Femmes : il trouve Delon maladroit, mal assuré, mais reconnaît en lui un indéniable pouvoir de séduction[98]. Il décide alors de le rencontrer, et lui propose d’interpréter Philippe Greenleaf[99]. Delon a alors 23 ans. Clément choisit également Jacques Charrier, qu’il a remarqué dans Les Tricheurs[99]. Le rôle féminin est attribué à Alexandra Stewart, actrice canadienne de 19 ans déjà apparue dans deux films[99]. Le casting principal est ainsi constitué[99].
Le 28 février, Le Monde annonce officiellement le film[99].
Clément démarre le projet avec les frères Hakim comme producteurs : les contrats sont signés le 7 juillet et le tournage débute peu après[100]. Delon est convié chez le réalisateur pour finaliser les choses, en présence de Bella Clément et des frères Hakim[101]. Mais un revirement survient[100].
Clément lui annonce :
– « Nous sommes heureux de vous confirmer que nous vous proposons le rôle de Philippe. »[100].
Delon, après avoir étudié le scénario, refuse : il veut incarner Ripley, pas Greenleaf[100]. Robert Hakim explose :
– « Comment osez-vous ? Vous n'êtes qu'un petit con ! Vous devriez nous payer pour jouer dans ce film. »[100].
Finalement, Bella tranche :
– René chéri, le petit a raison[100].
Clément cède et convainc les producteurs : Delon incarnera donc Ripley[102]. Il touchera un cachet de 35 millions de francs, identique à celui de Chemin des écoliers, mais cette fois en tête d’affiche[102]. Reste à remplacer Charrier, qui se désiste[102]. Maurice Ronet, qui s’est illustré dans Ascenseur pour l’échafaud, le remplace. Quant à Alexandra Stewart, elle aussi devient indisponible[102]. Après plusieurs tentatives infructueuses (Audrey Hepburn, Jean Seberg, Elsa Martinelli), le rôle féminin revient à Marie Laforêt, 19 ans, encore débutante.
Le tournage a lieu du 3 août au 2 octobre 1959, principalement dans le sud de l’Italie[102]. Delon séjourne à l’« Joli Hôtel », près d’une morgue, accompagné de sa chienne Gala[103]. Il y recueille aussi une chienne blessée, qu’il nomme Nina[103]. Delon se montre très impliqué dans son rôle[103].
Très vite, Delon et Clément développent une relation quasi filiale[104].
Des scènes difficiles, comme celle du meurtre sur le bateau, sont filmées dans des conditions météorologiques extrêmes[105]. Delon s’entend bien avec Ronet et Romy Schneider, qui fait une apparition non créditée dans le film[106]. Il entame aussi une liaison avec le mannequin Nico[106].
Plein soleil sort le 10 mars 1960, en pleine guerre d’Algérie[107]. L’affiche met en avant Delon, torse nu, sur fond de ciel bleu[107]. La critique est élogieuse[107]. Le film attire 2,4 millions de spectateurs et Patricia Highsmith apprécie le jeu de Delon[107]. Le succès est aussi international et Delon devient une star mondiale[108],[109].
C’est une période où de nouveaux talents émergent, où de jeunes comédiens attirent l’attention[109]. Cela se vérifie notamment lors du casting du Classe tous risques, premier film de Claude Sautet. Celui-ci recherche un jeune acteur crédible pour donner la réplique à Lino Ventura, dans le rôle d’un gangster en fuite. Les noms de Gérard Blain, Laurent Terzieff et Alain Delon sont proposés[109]. Toutefois, soutenu par Ventura, Sautet maintient son choix et impose Belmondo[109].
De son côté, le cinéma italien commence à s’intéresser à Delon[109]. Mauro Bolognini envisage de lui confier le rôle d’Antonio dans Le Bel Antonio mais les producteurs choisissent finalement Marcello Mastroianni, plus populaire en Italie[109].
Triomphe en Italie
Olga Horstig continue de gérer les intérêts d'Alain Delon[110]. Dotée d’un impressionnant carnet d’adresses, elle compte parmi ses proches de nombreuses figures influentes du milieu, notamment Luchino Visconti[110]. Déjà reconnu pour Senso, le cinéaste italien souhaite explorer un sujet qui lui est personnel[110]. Pour mettre en scène le destin de cinq frères – Rocco, Vincenzo, Simone, Ciro, Luca – et de leur mère Rosaria, Visconti s’appuie sur un roman existant[110]. Famille modeste, leurs conditions les poussent à envisager une carrière dans la boxe pour Rocco et Simone. Autour d’eux, gravite Nadia, jeune prostituée et compagne de Simone. Mais lorsque Rocco revient du service militaire, il retrouve Nadia et noue une relation avec elle. En l’apprenant, Simone, ivre de jalousie, viole Nadia sous les yeux de son frère. Rocco retourne à la boxe, Nadia à la prostitution. Simone, incapable de supporter cette situation, la tue. Rocco tente de le soutenir, mais la cellule familiale est irrémédiablement brisée[110].
Ce récit intense est à la hauteur des ambitions de Visconti, et nécessite une distribution solide[110]. Parlant parfaitement le français et partageant sa vie entre Paris et Rome, le réalisateur cherche ses acteurs des deux côtés des Alpes[110]. Il pense à Jeanne Moreau pour le rôle de Nadia : elle refuse[110]. Il se tourne alors vers Annie Girardot, moins connue à l’époque, qu’il a déjà dirigée au théâtre. Elle accepte[111]. Pour incarner Simone, il choisit Renato Salvatori, au physique robuste de boxeur[111]. Mais pour Rocco, aucun nom ne lui vient[111].
Olga lui demande alors une description aussi précise que possible du personnage. Visconti lui expose en détail le physique et la psychologie de Rocco[111]. Peu après, elle accompagne Alain Delon à Londres pour assister à la première de Don Carlos de Giuseppe Verdi, mise en scène par Visconti au Covent Garden[111]. À l’issue de la représentation, Delon est présenté au réalisateur[111]. Visconti se contente de l’observer et déclare :
— « Vous êtes Rocco. J'ai vu Plein soleil, Rocco ce sera vous ! »[111].
Une simple poignée de main scelle cet accord[111]. Des essais concluants à Rome confirment l’engagement de Delon début mars 1959, près d’un an avant le début du tournage[111]. Visconti ne laisse aucune place au doute :
« Alain Delon est Rocco. Si on m'obligeait à prendre un autre acteur, je renoncerais à faire le film. J'ai écrit le rôle pour lui, il est le personnage central de l'histoire. »[111].
Pour incarner au mieux son personnage de boxeur, Delon se plonge dans un entraînement physique intense[112]. Parallèlement, Alain s’exerce aussi avec Jacques Villedieu, un ami amateur éclairé de boxe[112].

Le tournage débute le 22 février 1960 à Milan, la ville natale de Visconti[113]. Comme c’est souvent le cas en Italie, le film est tourné sans prise de son directe[113]. Delon parle la plupart du temps en français, surtout face à Annie Girardot, mais il échange aussi en italien avec les autres acteurs[113]. S’il avait été impressionné par l’attention au détail de René Clément, Delon découvre ici un degré supérieur d’exigence[113]. Visconti veille à tout : Delon devient rapidement le favori du cinéaste, bénéficiant d’une grande liberté, alors que Salvatori, lui, subit une pression constante, devenant le souffre-douleur du tournage[113]. Les spéculations vont bon train sur la nature exacte de la relation entre Delon et Visconti[113]. Pourtant, les rumeurs ne seront jamais confirmées[113].
Rocco e i suoi fratelli, déjà auréolé d'une réputation sulfureuse, est projeté à travers toute l'Italie[114]. À la fin de sa diffusion, le film de Visconti se classe en deuxième position des productions italiennes de l'année, juste derrière La Dolce Vita de Federico Fellini[114]. Le personnage incarné par Delon, devient un symbole de cette jeunesse désemparée : l’acteur réalise une prestation magistrale qui marquera sa carrière[114]. La France devra attendre le 10 mars 1961 pour découvrir le film polémique[114]. Moins virulent qu’en Italie, Rocco continue pourtant de susciter de vives passions et donne naissance à de nouvelles tentatives de censure[115]. Le public veut juger par lui-même, et plus de 2 millions de spectateurs se pressent dans les salles[115].

Des projets à foison
Si Visconti en sort grand gagnant, Delon tire également profit de ce film et devient un acteur recherché[116]. Sa carrière prend une dimension internationale :
- Durant le tournage de Rocco e i suoi fratelli, Luchino Visconti le présente au réalisateur américain Vincente Minnelli, de passage à Rome[116]. Ce dernier, connu pour ses succès comme Un Américain à Paris et Tous en scène, prépare une grande production pour la Metro-Goldwyn-Mayer, Les Quatre Cavaliers de l'Apocalypse, une fresque se déroulant pendant la Seconde Guerre mondiale, mettant en scène une famille riche déchirée entre le côté nazi et le côté allié[116]. Vincente est en quête d'acteurs pour étoffer son casting international. Visconti organise un dîner entre Minnelli et Delon[116]. L’Américain est conquis, et informe aussitôt la MGM qu'il a trouvé la perle rare[116]. À Hollywood, une enquête rapide aboutit cependant à une double conclusion : la célébrité de Delon se limite au marché européen et son accent français est trop marqué[116]. Delon est écarté.
- Mais Minnelli n'est pas le seul à remarquer Delon[116]. La Warner a l’idée un peu étrange de produire un remake de la célèbre trilogie de Marcel Pagnol, avec des acteurs français jouant en anglais[116]. Il s'agit en réalité de l'adaptation de Fanny, une comédie musicale à succès de Broadway. Alain Delon est évoqué pour incarner Marius ,mais le réalisateur Joshua Logan choisit finalement Horst Buchholz[116].
- Simultanément, les producteurs britanniques prennent également en considération Delon pour un projet où il partagerait l'affiche avec Marlène Dietrich, Le Visage du plaisir (The Roman Spring of Mrs. Stone), d'après un roman de Tennessee Williams[116]. Le projet ne verra le jour qu'en 1962 et sans Delon[117].
- Par ailleurs, l'Américain Anatole Litvak projette de porter à l'écran le roman français Aimez-vous Brahms… de Françoise Sagan[117]. Yves Montand signe ensuite pour l’un des rôles, et comme l’action se déroule à Paris, de nombreux comédiens français sont sollicités[117]. Alain Delon est alors envisagé pour incarner le jeune amant de la séduisante Paula, mais c’est finalement Anthony Perkins qui décroche le rôle[117].

Ainsi, bien que Delon n’ait pas encore trouvé sa place dans ces productions américaines, son nom commence à circuler, et ce n’est que le début de son ascension[117].
Poursuite du succès
La jeune star joue ensuite dans un sketch romantique face à Brigitte Bardot dans Les Amours célèbres, un film en costumes inspiré des bandes dessinées de Paul Gordeaux, tourné par Michel Boisrond[118]. La même année, Alain Delon commence une carrière d'homme d'affaires en achetant dans le Vieux-Nice, le restaurant La Camargue[119].

L'acteur s'éloigne des compositions légères de ses débuts. De fait, ni la comédie anarchiste de René Clément, Quelle joie de vivre, ni le sketch de Le Diable et les Dix Commandements réalisé par le vétéran Julien Duvivier (où il séduit Danielle Darrieux), pas plus que Les Amours célèbres ne figurent parmi ses films marquants[120],[121]. En 1962, il joue aux côtés de Monica Vitti dans L'Éclipse de Michelangelo Antonioni[122],[123]. Le film obtient le Prix spécial du jury du Festival de Cannes et est inclus dans la liste 2018 de la BBC des 100 plus grands films en langue étrangère[124].
En 1963, il apprend qu'un projet avec Jean Gabin, son idole, se met en place sous la direction de Henri Verneuil, Mélodie en sous-sol. Il insiste pour en faire partie et, face aux réticences des producteurs en raison de son salaire trop élevé, il propose de jouer gratuitement en échange des droits au Japon, en URSS et en Argentine[125]. Une fois le film terminé, il le fera sous-titrer en japonais, ira au Japon et trouvera une distribution locale, ce qui lancera sa célébrité dans ce pays[126]. Le film est un succès et est récompensé aux États-Unis par le Golden Globe du meilleur film en langue étrangère. Delon gagnera beaucoup d'argent avec ses droits de production. Gabin n'en reviendra pas et clamera que Delon a alors gagné dix fois plus que lui[125]. La même année, il retrouve Luchino Visconti pour jouer le rôle de Tancrède dans Le Guépard, en compagnie de Claudia Cardinale et de Burt Lancaster ; le film obtient la Palme d'or au festival de Cannes et restera comme l'un de ses plus grands rôles, achevant de faire d'Alain Delon un acteur majeur du grand cinéma européen[127],[128]. Il fait également une courte apparition dans Carambolages[129].
Cette succession de succès est considérée comme une suite de chefs-d'œuvre[130]. Dans un autre genre, Alain Delon s'impose aussi en héros de film d'aventures dans La Tulipe noire, de Christian-Jaque, avec Virna Lisi[131]. Le film connaît un certain succès à l'échelle mondiale, notamment en Union soviétique où il cumule 47 millions d'entrées[132]. En Hongrie, il se classe sixième de l'année avec 1 470 000 entrées[133].
Dans la foulée du Guépard, Delon s'essaie au théâtre sous la direction de Visconti, dans une pièce de l'élisabéthain John Ford, Dommage qu'elle soit une putain, donnant la réplique à Romy Schneider et Daniel Sorano[134],[135].
En 1964, il s'essaie à la production, dans le registre du film d'auteur engagé, avec L'Insoumis d'Alain Cavalier aux côtés de Georges Géret et Lea Massari[136],[137]. La même année, le , un an après sa rupture avec Romy Schneider (leur liaison dure depuis cinq ans), il épouse Francine Canovas (mère d'une petite fille née d'un premier mariage, Francine débutera au cinéma en 1967, sous le nom de Nathalie Delon dans le film de Jean-Pierre Melville Le Samouraï)[138]. Leur fils Anthony naît le , à Hollywood, où l'acteur a signé un contrat de longue durée, car il veut y faire carrière[139]. Déçu par la qualité des films, il résilie son contrat[140].
Sa carrière s'internationalise. Il travaille au Royaume-Uni pour un sketch de La Rolls-Royce jaune d'Anthony Asquith, avec Shirley MacLaine et George C. Scott et pour La Motocyclette de Jack Cardiff d'après André Pieyre de Mandiargues avec Marianne Faithfull[141]. À Hollywood, il tourne avec Ann-Margret, Van Heflin et Jack Palance le thriller Les Tueurs de San Francisco, Texas, nous voilà, un western parodique avec Dean Martin et le film de guerre Les Centurions de Mark Robson avec Anthony Quinn et George Segal[142]. René Clément lui donne en 1966 le rôle de Jacques Chaban-Delmas dans Paris brûle-t-il ?[143]. Devenu une valeur sûre du cinéma français, l'acteur côtoie ses pairs : Lino Ventura dans Les Aventuriers de Robert Enrico, Senta Berger dans le thriller Diaboliquement vôtre de Julien Duvivier et Brigitte Bardot pour la seconde fois dans un sketch des Histoires extraordinaires, d'après Edgar Allan Poe, réalisé par Louis Malle[144],[145],[146].
En juillet et août 1967, Alain et Nathalie tournent ensemble dans Le Samouraï, le classique de Jean-Pierre Melville[147].
L'année suivante, Delon revient au théâtre pour une pièce de Jean Cau, mise en scène par Raymond Rouleau, Les Yeux crevés[148]. Durant la décennie, Delon retrouve son maître Clément pour le film à suspense Les Félins, où il est le prisonnier de Jane Fonda et Lola Albright[149].
Delon affronte en 1968 Charles Bronson dans le film policier Adieu l'ami, écrit par Sébastien Japrisot et réalisé par Jean Herman, connu également comme écrivain sous le pseudonyme de Jean Vautrin[150]. Toujours en 1968, Delon monte sa propre société de production, Adel Productions[151]. Son premier film produit est Jeff, également réalisé par Herman[152]. Pour ce film, il propose à Mireille Darc de jouer avec lui. Alain Delon clôt la décennie avec deux classiques du film noir : La Piscine, qui est l'occasion de retrouvailles spectaculaires avec Romy Schneider devant la caméra de Jacques Deray et Le Clan des Siciliens, retrouvailles avec Verneuil, Gabin et Ventura[153],[154].
Pendant ce temps, éclate l'affaire Marković, du nom de son garde du corps, Stevan Marković, retrouvé mort dans une décharge à Élancourt (Yvelines)[155]. François Marcantoni, un ami de Delon, est accusé de l'assassinat[156]. Alain Delon est interrogé par la police, en dépit du fait que l'assassinat ait vraisemblablement eu lieu en Île-de-France alors qu'il se trouve à cette période à Ramatuelle (Var), lieu de tournage du film la Piscine ; sa compagne Nathalie Delon est également interrogée par les enquêteurs[157]. Sept années plus tard, le , la chambre d'accusation rend un arrêt de non-lieu en raison d'absence de preuves suffisantes[158].
En 1969, il fonde un haras à Aix-en-Provence, avec Mireille Darc et le parrain du milieu marseillais Jacky Imbert[159].
Un célèbre inconnu pour la Nouvelle Vague
Devenu un acteur de premier plan, Alain Delon n'a quasiment pas collaboré avec les réalisateurs de la Nouvelle Vague, tels que François Truffaut, Éric Rohmer, Claude Chabrol, Jacques Rivette, Alain Resnais ou Jacques Demy[160],[161],[162]. Ces cinéastes cherchaient à rompre avec le cinéma dit « de qualité » des années 1950, qu'ils jugeaient trop académique et artificiel[163],[164]. Aux yeux de ces réalisateurs, Delon représentait justement cette industrie traditionnelle et n'était pas souhaité dans les distributions[165]. Son ascension personnelle coïncidait pourtant avec l'émergence du mouvement de la Nouvelle Vague, né à la fin des années 1950 et qui a duré jusqu'à la fin des années 1960[166],[167]. C'est bien après que Delon est sollicité par un réalisateur phrare de la mouvance : Jean-Luc Godard[168]. Celui-ci lui propose en 1990 un rôle dans Nouvelle Vague et explique cette collaboration tardive : « On a vécu la même industrie cinématographique française chacun de son côté. Pendant longtemps, ça ne s'est pas passé, et puis là, j'avais un rôle dans lequel je ne voyais que lui »[169]. Le résultat est mitigé[170]. En 1995, Delon joue son propre rôle dans Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma d'Agnès Varda, cinéaste proche du mouvement dit « Rive Gauche » contemporain de la Nouvelle Vague. En plus d'être un échec au box-office, le film reste inconnu de la filmographie de Delon[171]. L’acteur exprimera à plusieurs reprises des regrets quant à ce rendez-vous manqué : « (...) Tous ces films que je fais en France et en Italie, avec Visconti, Clément, c’est ce que la Nouvelle Vague n’aime pas. J’essaie, à l’époque, de tourner avec certains. Mais ils ont une telle aversion à mon égard… Le Delon de Rocco et ses frères, ce n’est pas pour les cinéastes de la Nouvelle Vague. Ils ont tellement cette conviction d’être le nouveau, le vrai et le seul cinéma que, pour eux, je suis un passéiste (...) »[172],[173]. Alors que Delon admirait Truffaut et souhaitait tourner sous sa direction, celui-ci aurait confié à l'acteur français : « J'ai toujours aimé votre manière de jouer, si je ne vous ai jamais contacté, c'est que vous me faisiez peur »[174].
Années 1970 : poursuite des succès

En 1970, Alain Delon tourne Borsalino dans lequel il est acteur et producteur[175]. C'est en lisant Bandits à Marseille, un livre d'Eugène Saccomano que l’idée du film lui vient[176]. Il en confie le scénario à Jean Cau, Claude Sautet et Jean-Claude Carrière et la réalisation à Jacques Deray[177]. L’histoire est celle de deux malfrats dans le Marseille des années folles. Borsalino marque la première collaboration avec Jean-Paul Belmondo, son unique rival : « Nous avons toujours été amis et rivaux. Ça fait plus de soixante ans que nous courons le 100-mètres ensemble. Un coup c’est lui, un coup c’est moi qui remporte la médaille. Mais nous ne nous sommes jamais quittés. Heureusement qu’il était là. Ni l’un ni l’autre n’aurait fait la même carrière sans l’autre. Il y avait une compétition mais aussi une sorte de stimulation entre nous. Ça m’aurait vraiment emmerdé qu’il ne soit pas là. Qu’est-ce que j’aurais foutu sans lui pendant cinquante ans ? C’est moi qui ai voulu qu’il soit là dans “Borsalino” et je ne l’ai jamais regretté. »[178]. Le long métrage rencontre un important succès avec plus de 4,7 millions de spectateurs en France et plus de 6,5 millions en Italie[179]. Il a donné lieu à une suite, Borsalino and Co.
En 1970 et 1972, il tourne de nouveau avec un de ses maîtres, Jean-Pierre Melville, Le Cercle rouge, face à Bourvil (son père dans Le Chemin des écoliers onze années plus tôt) et Un flic qui marque sa rencontre professionnelle avec Catherine Deneuve et Richard Crenna[180],[181]. Durant la décennie, il développe et pousse à l'extrême deux aspects essentiels de son personnage cinématographique : le fétichisme du vêtement (chapeau et imperméable) et le professionnalisme[162]. On retrouve cet aspect dans Le Cercle rouge, Un flic et Borsalino and Co.… Tournée en 1974, la suite de Borsalino se fait sans Belmondo (son personnage étant mort dans le précédent film), mais avec Jacques Deray[182]. La même année, il accepte le rôle principal de Zorro réalisé par Duccio Tessari[183]. Si Zorro n'est pas un succès retentissant en France, le film engrange plus de 50 millions d'entrées en URSS[132]. C’est aussi l’un des premiers films occidentaux à être projeté en République populaire de Chine, après la Révolution culturelle. Plus de 70 millions de téléspectateurs l’ont vu, un chiffre considérable à l’époque[184].
Dans les années 1970 et au début des années 1980, Alain Delon apparaît dans un grand nombre de films d'action, en majorité des polars, où il interprète des personnages de héros, ou d'anti-héros, parfois tragiques : la comédie Doucement les basses avec Nathalie Delon et Paul Meurisse, Flic Story (rôle de Roger Borniche), Le Gang d'après Borniche, Trois Hommes à abattre aux côtés de l'actrice italienne Dalila Di Lazzaro, d'après Jean-Patrick Manchette, tous de Jacques Deray[185],[186],[187],[188],[189]. Le Gitan avec Bernard Giraudeau et Renato Salvatori, son frère dans Rocco de Visconti et Comme un boomerang, aux côtés de Charles Vanel, mis en scène par José Giovanni, Mort d'un pourri de Georges Lautner, sur un scénario de Michel Audiard adapté de Raf Vallet (Jean Laborde), avec Ornella Muti et Klaus Kinski[190],[191]. À la même époque, Delon tourne le western Soleil rouge du Britannique Terence Young, où il interprète « Gotch », rivalisant avec Charles Bronson, Toshirō Mifune et Ursula Andress[192]. Il tentera de nouvelles incursions dans le cinéma américain en tenant l'un des rôles principaux du thriller Scorpio réalisé par Michael Winner, aux côtés de Burt Lancaster, Paul Scofield et Gayle Hunnicutt et du film catastrophe Airport 80 Concorde aux côtés de Sylvia Kristel et Robert Wagner, qui ne remporte pas un grand succès commercial[193],[194].
L'année 1971 marque sa première rencontre avec Joseph Losey pour L'Assassinat de Trotsky, où il se confronte à Romy Schneider et Richard Burton[195]. Quelques années plus tard, Monsieur Klein, chef-d'œuvre de Losey, dont Delon est l'acteur principal et le producteur, repart bredouille du festival de Cannes 1976, mais s'avère être un beau succès critique[196]. En 1977, lors de la 2e cérémonie des César, le film remporte le César du meilleur film.
Alain Delon tourne deux fois avec Simone Signoret dans La Veuve Couderc de Pierre Granier-Deferre et Les Granges brûlées de Jean Chapot et se mesure une dernière fois à Jean Gabin dans le tragique Deux Hommes dans la ville de José Giovanni[197],[198],[199]. Alain Jessua offre également à l'acteur deux rôles, dans Armaguedon et dans Traitement de choc[200],[201].

Alain Delon et Mireille Darc travaillent ensemble pour Madly, Les Seins de glace de Lautner et L'Homme pressé d'Édouard Molinaro d'après Paul Morand[202].
En , il connaît un succès international dans le monde musical aux côtés de son amie Dalida avec le duo Paroles... Paroles.... Le single se classe au Mexique et au Portugal en 3e position des ventes, en 10e position en France, à la 17e position en Turquie et à la 28e position au Japon. En , il est placé à la 10e position du back-catalogue en région flamande[204].
Il produit le thriller Le Jeu de la puissance (Power Play) avec notamment les stars britanniques David Hemmings, Peter O'Toole et Donald Pleasence.

Delon a toujours revendiqué ses choix artistiques, et n'a jamais quitté le cinéma d'auteur[205],[206]. Outre les films déjà cités, il paraît en 1972 dans Le Professeur de l'Italien Valerio Zurlini, qui impose un Delon fatigué[207]. Le film totalise toutefois plus de 7 millions d'entrées en Italie[208]. En 1978, l'acteur produit Attention, les enfants regardent de Serge Leroy, film atypique et passé inaperçu, dans lequel l'acteur apparaît dans un rôle à contre-emploi[209].
Années 1980-1990 : renouvellements
À partir des années 1980, la carrière cinématographique d'Alain Delon entame un lent déclin[210]. Les grands rôles se raréfient, et ses apparitions deviennent plus sporadiques. Durant cette période, l'acteur s'oriente vers des films conçus pour mettre en valeur son image, souvent dans des rôles de policiers solitaires[211].
Dans le film franco-helvético-soviétique Téhéran 43 (1981), Alain Delon, Claude Jade et Curd Jürgens sont les vedettes occidentales dans des rôles aux côtés d'acteurs soviétiques. Flop au box-office en France[212], le film totalise plus de 45 millions d'entrées en URSS[213].
En 1981, Delon réalise son premier film, un polar, Pour la peau d'un flic, d'après Jean-Patrick Manchette, qui révèle Anne Parillaud, avec laquelle il entretient une relation amoureuse jusqu'en 1986[214]. Il joue dans Trois Hommes à abattre, où il rencontre Dalila Di Lazzaro[215]. Étant producteur, Delon avoue que tous les films incluant dans leur titre le terme « Flic », qu'il choisit lui-même, s'avèrent être des succès commerciaux[216]. L'année suivante, l'acteur retrouve Catherine Deneuve dans Le Choc de Robin Davis, d'après Jean-Patrick Manchette encore, dont il cosigne l'adaptation et les dialogues (ce n'est pas la première fois)[217]. Il revient à la réalisation en 1983 pour Le Battant, avec de nouveau Anne Parillaud et Richard Anconina dans un second rôle[218]. En 1984, il incarne le baron de Charlus dans Un amour de Swann, adapté de Marcel Proust par Volker Schlöndorff ; le film recueille des critiques mitigées.
L'année suivante, Alain Delon s'écarte de nouveau de son personnage de héros de polar pour tourner dans Notre histoire de Bertrand Blier, qui lui vaut d'être récompensé par le César du meilleur acteur en 1985[220],.
S'ensuit Parole de flic de José Pinheiro (face à Jacques Perrin et le débutant Vincent Lindon), qui est un succès public[222]. Il tente de renouveler son image avec le film fantastique Le Passage, qu'il produit et dont il coécrit le scénario (le générique chanté par Francis Lalanne connaît aussi le succès) et en jouant pour la première fois depuis 1962 dans un téléfilm, la mini-série Cinéma, dont il interprète aussi la chanson générique[223]. Il y retrouve sa « marraine en cinéma », Edwige Feuillère. Après le film Ne réveillez pas un flic qui dort, avec Michel Serrault et Serge Reggiani, Alain Delon cesse d'apparaître en héros de polar.
En 1987, il fait la connaissance de Rosalie van Breemen lors du tournage d'un clip vidéo[224]. Une relation se noue et une fille, prénommée Anouchka, naît le 25 novembre 1990, puis son petit frère, Alain-Fabien Delon, le 18 mars 1994. Le couple reste uni jusqu'en 2001[225].
Si le film Nouvelle Vague, qu'il tourne sous la direction de Jean-Luc Godard, lui permet de retrouver la faveur de certains critiques cinématographiques, il ne parvient pas à toucher le grand public, pas plus qu'avec un film plus commercial, le thriller Dancing Machine[226]. Le Retour de Casanova, adapté par Jean-Claude Carrière d'un roman d'Arthur Schnitzler et dans lequel Alain Delon a pour partenaires Elsa et Fabrice Luchini, ne remporte pas non plus le succès espéré[227]. Alain Delon tourne ensuite coup sur coup sous la direction de Jacques Deray deux films noirs, Un crime et L'Ours en peluche, d'après Georges Simenon, dont aucun ne touche un large public[228],[229].
Dans Le Jour et la Nuit, sous la direction de l'écrivain et philosophe Bernard-Henri Lévy, il joue avec Lauren Bacall, mais la promotion colossale du film est suivie d'une réception critique effroyable[230] ; ce fiasco commercial est l'un des plus lourds échecs de la carrière d'Alain Delon.
L'année suivante, il apparaît dans Une chance sur deux, réalisé par Patrice Leconte : ce polar de divertissement met en scène, sur un mode nostalgique, les retrouvailles artistiques de Belmondo-Delon, trente ans après Borsalino, avec pour présence féminine Vanessa Paradis[231]. Même s'il dépasse le million d'entrées, le film ne remporte pas le succès escompté[231]. En 1999, Delon déclare mettre fin à sa carrière au cinéma[232].
Il retourne sur les planches à partir de 1996 en jouant une pièce d'Éric-Emmanuel Schmitt, Variations énigmatiques[233].
Années 2000 : retour au cinéma et au théâtre

Bien qu'il ait annoncé mettre un terme à sa carrière cinématographique en l'absence de réalisateurs comme Clément, Visconti ou Losey[234], Alain Delon accepte en 1999, de participer au film de Bertrand Blier Les Acteurs, dans lequel le réalisateur rend hommage à Jean Gabin et Lino Ventura, Bourvil et Louis de Funès, Yves Montand et Simone Signoret[166].
En 2001, il incarne le commissaire de police Fabio Montale de Marseille, dans une série policière du même nom d'après l'œuvre de Jean-Claude Izzo pour TF1, qui s'avère être l'un des scores historiques pour la télévision française en termes d'audience avec 12,4 millions de téléspectateurs[235]. Il joue ensuite en 2003 et 2004 le rôle de Frank Riva dans la série du même nom pour France 2, où il retrouve Jacques Perrin et Mireille Darc[236]. Toujours pour la télévision, il tourne dans Le Lion d'après le roman de Joseph Kessel et sous la direction de José Pinheiro, auprès de sa fille Anouchka et d'Ornella Muti ; 6 millions de téléspectateurs sont au rendez-vous lors de la diffusion du téléfilm[237],[238].
En , Alain Delon et Rosalie van Breemen se séparent après une quinzaine d'années de vie commune[239]. À cette époque, dépressif, âgé de soixante-sept ans, Delon avoue souvent à la presse son manque d'envie de vivre, comme le relatera plus tard Mireille Darc[240].
En 2008, il tient le rôle de Jules César dans Astérix aux Jeux olympiques, mais ce film à très gros budget, malgré plus de six millions de spectateurs, est très mal accueilli par la critique et ne reçoit pas le succès escompté[241].
Delon continue sa carrière sur les planches, interprétant notamment en 2007 Sur la route de Madison et en 2008 Love Letters, successivement avec Mireille Darc et Anouk Aimée,[243].
Années 2010-2020 : adieux au monde artistique
En 2010, Alain Delon apparaît dans le téléfilm Un mari de trop aux côtés de la chanteuse Lorie[244]. Il reprend le théâtre en 2011 avec la pièce Une journée ordinaire sur les relations père-fille qu'il interprète aux côtés de sa fille, Anouchka, et d'Élisa Servier[245]. On le voit tenant la main de Mireille Darc, le à l'église Saint-Roch, aux obsèques d'Annie Girardot[246]. Cette même année, en plus d'être président du jury de l'élection Miss France 2012 comme en 2001 et 2011, il est nommé président à vie du jury[247]. Dans les faits, il n'assure la présidence du jury que jusqu'à l'élection de Miss France 2013, choisissant d'abandonner son poste à la suite d’un désaccord avec la société Miss France au sujet de propos soutenant le Front national tenus par lui dans la presse[248]. Il est également ambassadeur de la marque de lunettes Krys[249].
Le Festival de Cannes 2013 lui rend hommage ; à cette occasion, lors de la sélection Cannes Classics, le film Plein Soleil est présenté en version remastérisée. En octobre, Alain Delon joue de nouveau dans la pièce de théâtre Une journée ordinaire, mais cette fois en tournée à travers la France, accompagné de nouveau de sa fille Anouchka. Dans un entretien accordé à Paris Match en , il déclare : « La vie ne m'apporte plus grand-chose. J'ai tout connu, tout vu. Mais surtout, je hais cette époque, je la vomis. […] Je sais que je quitterai ce monde sans regrets[250],[251]. » En 2018, l'acteur annonce qu'il tournera dans une pièce intitulée Le Crépuscule d'un fauve mais le projet ne verra jamais le jour[252].
Le , lors du festival de Cannes, il reçoit une Palme d'honneur pour l'ensemble de sa carrière[253]. Il prononce alors une allocution lors de laquelle il apparaît en larmes[254]. L'organisation américaine Women and Hollywood lance une pétition pour s'opposer à cette distinction, l'association reprochant à l'acteur français ses propos sur les femmes, les LGBTQIA+ et les immigrés en France[255].
Alain Delon confie en juin 2021 vouloir tourner une dernière fois avant sa mort : « [J'ai] envie de faire un film et surtout de faire mon dernier film. Celui qui restera pour toujours. Et après, je pourrai partir, je n’aurai plus rien d’autre à faire ». Pour ce tournage, il souhaite une équipe « exceptionnelle » avec un « metteur en scène exceptionnel », sûrement « une femme », citant Lisa Azuelos[256]. Après avoir finalement exprimé le désir de tourner un film avec le réalisateur Patrice Leconte, Alain Delon renonce en 2022 à ce projet cinématographique, La maison vide[257]. Le tournage devait débuter près du lac Léman, en juin 2022, avec notamment Juliette Binoche. Cependant, un AVC en 2019 et des complications de santé ont empêché Delon de reprendre le travail[258].
L'acteur déclare son soutien à l'Ukraine lors de l'invasion du pays par la Russie, les 10 et 12 septembre 2022[259]. Un projet télévisuel programmé sur TV5 Monde et sur les chaines du Groupe Canal+ montre Alain Delon lisant des textes du poète ukrainien Taras Chevtchenko, ainsi que Liberté de Paul Éluard[260]. Ancien acteur et comédien, Volodymyr Zelensky salue l'acteur français en déclarant : « Je n'ai jamais été un acteur aussi génial que vous [...] Nous vous aimons beaucoup et pour moi vous êtes toujours une autorité et un immense acteur »[261].
Mort, réactions et obsèques
Le , Alain Delon meurt à l'âge de 88 ans des suites d'un lymphome diffus à grandes cellules B dans sa maison de Douchy-Montcorbon, dans le Loiret, à 3 h du matin[262],[263],[264]. La nouvelle est annoncée dans un communiqué commun des trois enfants de l’acteur, envoyé à l’Agence France-Presse (AFP) quelques heures plus tard[265],[266],[267].
Plusieurs personnalités lui rendent hommage, parmi lesquelles Brigitte Bardot, Claudia Cardinale, Paul Belmondo, Céline Dion, Costa-Gavras (président de la Cinémathèque française), Michel Sardou, Jean-Michel Jarre, Lorie Pester, Orlando, Line Renaud, Sheila, Sylvie Vartan, les acteurs Dany Boon, Frank Dubosc, Benoît Magimel, Isabelle Adjani, Mathilde Seigner, Pierre Arditi, Jean Dujardin, Richard Berry et Patrick Chesnais, l’écrivain Éric-Emmanuel Schmitt, les artistes Patrick Bruel, Mireille Mathieu, Thomas Dutronc, l’animateur Benjamin Castaldi, les journalistes français Stéphane Bern et Michel Drucker, la chanteuse Patricia Kaas ou encore Carla Bruni[268],[269],[270],[271],[272],[273],[274],[275],[276],[277],[278],[279],[280],[281]. Du côté international, les acteurs Shohreh Aghdashloo, Sarik Andreassian, Antonio Banderas, Susana Giménez, Ekaterina Klimova, Amanda Lear, Mirtha Legrand, Sophia Loren, Ornella Muti, Ottavia Piccolo, Jean-Claude Van Damme, le journaliste et animateur de télévision britannique Piers Morgan, l'écrivain Arturo Pérez-Reverte, les cinéastes Jim Jarmusch et John Woo saluent également l’acteur disparu[282],[283],[284],[285],[286]. L'Académie des arts et techniques du cinéma publie un communiqué regrettant « une icône éternelle du septième art » et « [l']’incarnation du cinéma français à l’international ». L'Académie européenne du cinéma rend hommage à « une des stars les plus populaires du cinéma européen »[287]. Alberto Barbera, président de la Mostra de Venise salue « (...) une star populaire qui a laissé son empreinte indélébile sur les œuvres des plus grands auteurs du cinéma européen (...) »[288],[289]. De nombreux responsables politiques saluent également la mémoire de l’acteur comme Emmanuel Macron, Nicolas Sarkozy, Gabriel Attal, Anne Hidalgo, Bruno Le Maire, Marine Le Pen, Éric Ciotti, François Fillon, Rachida Dati, Aurore Bergé, Fabien Roussel, Jordan Bardella, ainsi que Jack Lang. Emmanuel Macron le qualifie de « mélancolique, populaire, secret » tout en étant « plus qu'une star : un monument français »[290]. Les réactions internationales incluent celles Matteo Salvini (Vice-président du Conseil des ministres en Italie), Lucia Borgonzoni (Secrétaire d'État italienne à la Culture), Andryi Yermak (Chef du secrétariat du président de l'Ukraine), Nicolae Ciucă (Président du Sénat roumain et ancien premier ministre roumain), Dominique Ouattara (première dame de Côte d'Ivoire) et Boïko Borissov, (leader du GERB et ancien premier ministre de Bulgarie)[291],[292],[293],[294],[295],[296],[297]. Le ministère de la culture en Arménie présente ses condoléances[298]. Les ambassades en France de Chine, d’Italie, du Paraguay, de Russie et d’Ukraine ont également exprimé leurs condoléances.
Le lendemain, la mort d'Alain Delon fait la une de la presse mondiale et fait l'objet d'une attention médiatique importante[299],[300],[301],[302],[303],[304],[305],[306],[307],[308]. La presse étrangère parle notamment du « dernier grand mythe du cinéma français »[309]. Pour le New York Times, « l'acteur français intense et intensément beau jouait les gangsters corses froids de manière aussi convaincante que les amoureux italiens torrides »[310]. The Guardian fait l'éloge d'Alain Delon en le qualifiant de « symbole de la beauté perdue des années 1960 »[311]. Selon le Japan Times, « son image d’idole et sa personnalité à la James Dean ont fait de lui l’un des acteurs les plus acclamés de son pays »[312]. La série Plus belle la vie, encore plus belle (TF1) lui rend hommage dans l'épisode 153 du , et évoque notamment la série policière Fabio Montale, tournée à Marseille[313].
Les jours qui suivent sa mort, de nombreuses chaînes de télévision en France ainsi qu’à l’étranger — notamment en Allemagne, Belgique, Bulgarie, Chine, Espagne, Grèce, Italie, Iran et Suisse — rendent hommage à Alain Delon en modifiant leur programmation pour diffuser des films ou documentaires consacrés à sa carrière[314],[315],[316],[317],[318],[319],[320],[321],[322],[323],[324],[325].
Ayant refusé tout hommage national[326], Alain Delon est enterré le 24 août 2024 dans une chapelle privée située sur le domaine de la Brûlerie à Douchy, comme il le souhaitait, près de ses trente-cinq chiens[327],[328]. Une cinquantaine d’invités sont présents à l'enterrement, dont les trois enfants de l'acteur[329],[330]. Alors qu'elle était invitée, Claudia Cardinale renonce à aller aux obsèques[331]. La cérémonie est célébrée par Jean-Michel Di Falco[332].
Hommages
En France
Après sa mort, l'Agence pour le développement régional du cinéma, les cinémas Pathé et la Filmothèque du Quartier Latin consacrent entre autres des rétrospectives en hommage à Alain Delon[333],[334],[335].
Le Festival du film francophone d’Angoulême 2024, qui a lieu quelques jours après le décès d'Alain Delon bouleverse sa programmation et projette Notre histoire de Bertrand Blier[336],[337]. Nathalie Baye, présente lors de la projection rend hommage à son ancien partenaire de jeu[338]. Le Festival Lumière 2024 se clôt par la projection de Plein Soleil (1960) de René Clément et une prise de parole d'Anthony Delon, venu retracer la carrière de son père en compagnie de Vincent Lindon et Thierry Frémaux[339],[340],[341]. Lors des « Prix du Livre » 2024 à Marseille, Alain Delon reçoit un hommage du département des Bouches-du-Rhône et de sa présidente Martine Vassal en présence d'Anthony Delon et Alain Terzian entre autres[342]. Du 13 mai, date d’ouverture du Festival de Cannes 2025, au 13 juin suivant, l’exposition en plein air Cannes fait le mur rend hommage à Delon[343],[344]. Les façades de la ville, dont celle de l’Hôtel de Ville sont ainsi décorées en sa mémoire[345]. Parallèlement, Thierry Frémaux annonce que le salon du Palm Beach du Festival de Cannes porterait le nom d’Alain Delon[346].
En octobre 2024, le Conseil de Paris vote une proposition visant à baptiser une voie ou un équipement de la capitale en l'honneur d'Alain Delon, dont l’apposition d’une plaque en son nom sur l’immeuble du Normandie des Champs-Élysées (VIIIe arrondissement)[347],[348]. En décembre 2024, le conseil municipal de Sarlat-la-Canéda (Dordogne) approuve la décision de donner le nom de l'acteur à une impasse dans la commune[349].
Prévu du vivant d'Alain Delon, un ciné-concert Le Dernier Samouraï reprend les musiques des grands films de l'acteur[350]. Il a lieu le 8 novembre au Palais des congrès, jour où l'acteur aurait eu 89 ans[351],[352].
Delon figure dans les segments In Memoriam des European Film Awards 2024, BAFTA, SAG Awards et David di Donatello 2025[353],[354],[355]. L'acteur français est toutefois absent de l’hommage rendu lors des Oscars 2025, omission qui suscite l'incompréhension en France et à l’étranger[356],[357],[358],[359]. Lors de l’ouverture de la 50ᵉ cérémonie des Césars, un hommage est rendu à Alain Delon par une séquence retraçant la carrière de l’acteur[360].
À l'étranger
De son vivant ou après sa mort, les hommages à Alain Delon se déroulent dans de nombreux pays à travers le monde, ce qui témoigne de l’envergure internationale de l’acteur. Aux États-Unis, l'American French Film Festival (TAFFF), la Cinémathèque Américaine et l’American Film Institute organisent des projections et rétrospectives en son hommage[361],[362],[363],[364]. La cinémathèque québécoise propose aussi une rétrospective[365]. Au Brésil, le Festival Varilux de Cinema Francês, le plus grand festival de cinéma français en dehors de France, célèbre également sa mémoire en projetant Plein Soleil et en le mettant à l’honneur sur l’affiche officielle de l’édition 2024[366],[367],[368]. À Cuba, lors de la 25e édition du Festival du film français, plusieurs de ses films sont projetés dans les salles de cinéma de La Havane[369],[370],[371]. Le cinéma de l'Université de Lima (Pérou), le Centro Cultural Colombo Americano (Colombie) tout comme la cinémathèque de Cuba proposent des cycles de projections des films de l'acteur français[372],[373],[374].
En Asie, du 16 décembre 2024 au 16 janvier 2025, la rétrospective Remember Alain Delon à Hanoï, au Vietnam, présente trois de ses films emblématiques sur le continent : Soleil Rouge, Le Cercle Rouge et Plein Soleil[375]. À Tokyo, l’Institut français du Japon organise une rétrospective intitulée Preuve d’existence d’une star, incluant des projections de ses œuvres majeures, des conférences et des discussions animées par des spécialistes du cinéma[376]. La 40ème édition du French Film Festival de Singapour projette Le Samouraï et Plein Soleil en son hommage[377]. En Inde, le Satyajit Ray Film and Television Institute (SRFTI) de Calcutta consacre à l’acteur français une rétrospective[378],[379].
En Europe, les cinémathèques yougoslave, du Luxembourg, de Suisse et d'Andalousie et le Ciné Lumière de l’Institut français du Royaume-Uni à Londres consacrent des rétrospectives à l’acteur[380],[381],[382],[383],[384],[385]. Le cinéma en plein air Cine Paris, situé au pied de l'Acropole à Athènes, a présenté cinq de ses films emblématiques[386]. En Italie, le Festival France Odéon de Florence rend hommage à Delon en projetant La Piscine de Jacques Deray[387]. En décembre 2024, une exposition photo retraçant sa vie et sa carrière se tient à Rome, suivie de la projection de Plein Soleil[388]. En hommage à l'acteur, l’Ambassade de France, l’Institut français de Bulgarie et la Maison du cinéma de Sophia organisent des projections[389],[390]. Lors de la cérémonie d’ouverture de la Mostra de Venise 2024, des images d’Alain Delon sont projetées, aux côtés de celles de Gena Rowlands et Roberto Herlitzka, pour leur rendre hommage[391],[392],[393]. En Hongrie, le ciné-concert « Alain Delon et Jean-Paul Belmondo - La légende des professionnels », a proposé au Théâtre Erkel les musiques des films phares des deux acteurs, accompagnés en direct par l'Orchestre symphonique de Budapest[394].
Vie privée
- Les compagnes notoires d'Alain Delon (chronologie)
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Brigitte Auber (1956)
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Romy Schneider (1958-1963)
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Nico (1961)
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Dalida (1962)
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Nathalie Delon (1964-1968, épouse)
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Maddly Bamy (1968-1971)
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Mireille Darc (1968-1982)
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Crédit image:Georges Biardlicence CC BY-SA 3.0 🛈Anne Parillaud (1981-1986)
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Rosalie van Breemen (1987-2001)
Compagnes et enfants
De 1958 à 1963, Alain Delon et Romy Schneider ont une histoire d'amour et se fiancent. En pleine réconciliation franco-allemande, ils sont surnommés « les fiancés de l’Europe »[395].
La chanteuse allemande Nico, avec qui il a une brève relation, met au monde le un garçon, Christian Aaron Boulogne dit Ari Boulogne. Même si l'enfant a été élevé par Édith, la mère d'Alain Delon, et adopté par son beau-père dont il prend le nom de famille, Alain Delon a toujours nié en être le père[396],[397]. En 2001, dans son livre de souvenirs L'amour n'oublie jamais, Christian Aaron Boulogne (décédé en mai 2023[398]) maintient être le fils d'Alain Delon. En mai 2024, Blanche Boulogne (la fille de Christian Aaron Boulogne) dépose une requête au Tribunal civil de première instance de Genève pour un prélevement ADN d'Alain Delon pour confirmer, ou non, si elle est sa petite-fille[399],[400],[401],[402]. Alain Delon est par la suite convoqué pour être interrogé en Suisse[403]. En juin 2024, Blanche Boulogne abandonne finalement la procédure en Suisse et la requête de preuves ADN est retirée. En effet, un arrêt de la Cour de Cassation du 23 mai confie la compétence pour traiter le dossier à la France, où son demi-frère Charles a préalablement lancé une procédure similaire à laquelle Blanche Boulogne s'allie[404],[405]. Toutefois, la justice genevoise accepte finalement de nommer des experts en vue de prélever l’ADN d’Alain Delon et le contraindre à passer un examen biologique afin de déterminer si Ari Boulogne est bel et bien son fils biologique[406]. Si le test s’avère positif, les parts d’héritage de ses enfants, Anthony, Anouchka, et Alain-Fabien, pourraient diminuer de 25 % à 18,75 % chacun[407].
Entre 1962 et 1968, Alain Delon partage sa vie avec Francine Canovas (connue sous le nom de Nathalie Delon). Alain Delon épouse Nathalie Delon le à La Ville-aux-Clercs (Loir-et-Cher). Leur fils, Anthony, naît le à Hollywood (Californie). En résidence séparée à partir depuis juin 1968, le couple divorce le [408].
Au milieu des années 1960, Alain Delon vit une idylle avec Dalida. Ils sont amis depuis leur première rencontre à Paris, en 1955, alors qu'ils sont voisins de palier dans un immeuble situé avenue des Champs-Élysées[409].
Durant quinze ans, entre 1968 et 1983, Alain Delon partage sa vie avec l'actrice Mireille Darc[410],[411].
Mireille Darc accepte que Maddly Bamy, l'une des Claudettes de Claude François, fasse ménage à trois durant quelques années avec elle et Delon, jusqu'à ce que la danseuse rejoigne le chanteur Jacques Brel[412].
Au début des années 1980, Delon nourrit une idylle avec l'actrice Anne Parillaud, puis une autre, plus courte, avec Catherine Bleynie (née en 1952), divorcée de Didier Pironi[413]. En , il pose avec elle en couverture de Paris Match[414], ainsi qu'en , en couverture de Ciné Télé Revue, lors de la remise d'un prix[415].
En 1987, il rencontre Rosalie van Breemen, un mannequin néerlandais, sur le tournage du vidéo-clip de sa chanson Comme au cinéma. Il a avec elle deux enfants : Anouchka, née le et Alain-Fabien, né le [408]. Ils se séparent en 2001, après quatorze ans d'union.
Lors d'un entretien accordé en 2021 à Paris Match, Alain Delon indique avoir une compagne japonaise, Hiromi Rollin[416].
Supposée bisexualité
Deux biographies, Les Derniers Mystères Delon de Bernard Violet et Alain Delon, un destin français de Philippe Durant, publiées après la mort de l'acteur, affirment que Delon aurait vécu une période de bisexualité durant les trente premières années de sa vie[417],[418],[419],[420],[421]. Anthony Delon refuse de commenter ces allégations, appellant au respect de la mémoire de son père[422],[423].
- Les enfants reconnus d'Alain Delon
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Crédit image:Georges Biardlicence CC BY-SA 4.0 🛈Anthony Delon (né en 1964)
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Crédit image:Georges Biardlicence CC BY-SA 3.0 🛈Anouchka Delon (née en 1990)
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Crédit image:Georges Biardlicence CC BY-SA 3.0 🛈Alain-Fabien Delon (né en 1994)
Affaire Hiromi Rollin
Le , ses trois enfants portent plainte contre celle qui est présentée comme la dame de compagnie de l'acteur, pour harcèlement moral, détournement de correspondances, maltraitance animale, violences volontaires, séquestration et abus de faiblesse[424],[425]. Selon Anthony Delon, son père a demandé par écrit à Mme Rollin de quitter la résidence de Douchy-Montcorbon[426]. Une enquête préliminaire est ouverte le [427]. Le , Yassine Bouzrou, avocat d'Hiromi Rollin, affirme qu'elle conteste « l'intégralité des faits »[428]. Par ailleurs, l'avocat ajoute que celle-ci déposera une plainte contre des membres de la famille Delon et des gardes du corps pour des violences volontaires aggravées subies le [429]. Dans le même temps, Hiromi Rollin écrit au procureur de Montargis une lettre dans laquelle elle conteste avoir été la dame de compagnie d'Alain Delon, disant avoir entretenu une relation intime avec lui depuis plus de vingt ans[430] alors qu'elle indique dans une autre interview, « une relation d'amour de 33 ans »[431]. Le procureur de Montargis classe sans suite les deux plaintes déposées par les trois enfants Delon à l'encontre de la sexagénaire, en raison d'infractions insuffisamment caractérisées[432]. La plainte d'Hiromi Rollin, déposée en réponse contre les enfants Delon est également classée sans suite pour les mêmes motifs[433]. L'avocat d'Hiromi Rollin annonce cependant que sa cliente prévoyait de déposer plainte avec constitution de partie civile afin de relancer les investigations[434]. Anthony Delon, de son côté, entend se constituer partie civile contre Hiromi Rollin pour que « la vérité soit faite »[435].
Affaire Alain Delon
Le 4 janvier 2024, Alain Delon porte plainte contre son fils Anthony à la suite d'une interview accordée par celui-ci au magazine Paris Match[436]. Anthony Delon évoque la santé fragile de son père et accuse sa demi-sœur Anouchka de manipuler son père à propos de l'héritage[437]. Dans cet entretien, l'aîné révèle que son père est « affaibli » et qu'il « ne supporte plus de se voir comme ça, diminué »[438]. Par la suite, Anthony Delon dépose une main courante contre Anouchka, lui reprochant de ne pas avoir informé la famille des résultats négatifs de cinq tests cognitifs effectués par leur père entre 2019 et 2022, après qu'il a été victime d'un grave AVC en 2019[439]. Quant à Anouchka Delon, elle reproche à ses frères de mettre en péril la vie du patriarche et affirme avoir voulu emmener leur père en Suisse pour qu’il puisse continuer à y être soigné. Elle annonce ensuite porter plainte pour diffamation, dénonciation calomnieuse, menaces et harcèlement contre Anthony Delon[440]. Par ailleurs, l'avocat d'Alain Delon affirme que son client « ne supporte pas l'agressivité de son fils Anthony qui ne cesse de lui dire qu'il est sénile »[441]. Le , Anouchka Delon intente un procès à ses frères pour atteinte à la vie privée après la diffusion d'un enregistrement en janvier 2024, sur Instagram, d'une conversation entre elle et son père[442],[443]. Anthony et Alain-Fabien seront ainsi jugés pour « utilisation, conservation ou divulgation d’un document ou enregistrement obtenu par une atteinte à l’intimité de la vie privée d’autrui »[444]. Le procès est fixé en avril 2025 puis reporté à la demande d'Anouchka Delon[445],[446],[447]. Affaibli physiquement par un cancer[448], Delon est placé en avril 2024 sous le régime de la curatelle renforcée par décision judiciaire, à la suite d'une audience tenue au tribunal de Montargis en présence des trois enfants de l'acteur[449],[450],[451],[452]. Cette mesure accorde notamment au curateur désigné par le juge de pouvoir gérer ses dépenses et fait suite à une période où Delon est déjà placé sous sauvegarde de justice depuis le [453],[454],[455].
Saisie d'armes
En 2024, lors d'une perquisition au domicile d'Alain Delon à Douchy-Montcorbon, les autorités saisissent soixante-douze armes à feu et plus de trois mille munitions, sans qu'aucune autorisation de détention ne soit délivrée à l'acteur[456],[457]. Cette saisie entraîne l'ouverture d'une enquête pour dépôt d'arme illicite et acquisition illicite d'armes de catégories A (armes à feu et matériels de guerre) et B[458],[459]. Ses enfants et employés indiquent que les armes étaient utilisées à des fins de loisirs dans un stand de tir présent sur la propriété[460]. En juillet, le procureur de la République de Montargis annonce que la procédure engagée est classée sans suite[461],[462]. Cette décision est entérinée sans que Delon ait été auditionné « compte tenu de sa vulnérabilité » et « après avis médical »[463],[464]. Le procureur de la République ordonne également la destruction de toutes les armes saisies[465]. Alain Delon a toujours affirmé sa passion pour les armes en collectionnant diverses pièces, dont son Colt Frontier 1873, le revolver qu'il utilisait dans le film Soleil rouge[466],[467]. En 2014, une vente de ses armes de collection lui a rapporté 200 000 euros[468],[469].
Santé
Delon est successivement soigné en 2012 et 2013 pour une arythmie cardiaque[470]. Il est admis et opéré en 2014 à l'hôpital Lariboisière à Paris pour un "problème de nerfs du visage"[471]. Février 2016, invité vedette du Bal de l'Opéra de Vienne, l'acteur renonce à se rendre en Autriche pour raisons de santé[472]. Alain Delon est hospitalisé en juin 2016 à Montargis après avoir été victime d’une attaque cérébrale[473], puis en 2017 pour des problèmes de circulation, nécessitant un pontage[474].
En juin 2019, il est victime d'un nouvel accident cardio-vasculaire et d’une hémorragie cérébrale, ce qui conduit à son hospitalisation à l'hôpital de la Salpêtrière à Paris puis dans une clinique suisse[475]. En septembre 2021, l’acteur subit un traumatisme crânien après une chute à son domicile[476]. En outre, il est atteint d’un cancer du système lymphatique[476],[477],[478].
Selon une expertise médicale remise en janvier 2024, dans le cadre d’une enquête sur Hiromi Rollin, Alain Delon connaît une altération majeure de sa santé mentale et notamment une abolition totale du discernement[479],[480]. Après cette expertise médicale, il est placé sous une mesure de sauvegarde de justice[481].
Activités et passions

Activités entrepreneuriales
En 1978, Alain Delon crée à Genève sa société de diffusion de produits de luxe, Adid Alain Delon International Distribution ; sous son nom, on trouve un temps des parfums et des cigarettes jusqu'à ce qu'une partie des licences soit vendue[482]. La société de l'acteur commercialise encore du champagne, du cognac, de la bière, des montres et bijoux, des lunettes, ainsi que des vêtements et des accessoires à son nom[483],[484]. Anouchka Delon est depuis la mort de son père présidente de la société (Anthony Delon est également associé)[485],[486].
En 2009, Alain Delon prête son image au parfum « Eau Sauvage » de Parfums Christian Dior. La photo choisie est prise lors du film La Piscine par le photographe Jean-Marie Périer. Dior joue sur l'image intemporelle de la jeunesse d'Alain Delon. La cigarette présente sur la photo d'origine a été effacée[487].
De 1992 à 2018, des cigarettes Alain Delon sont commercialisées sur le marché asiatique en échange d'une rémunération. L'existence de la marque, quasiment inconnue en France, est révélée en 2013 par le documentaire « Tabac : nos gosses sous intox » sur le tabagisme des enfants au Cambodge[488].
Activités et passions sportives
En 1972 et 1973, Alain Delon organise en France les championnats du monde de boxe avec les affiches Jean-Claude Bouttier / Carlos Monzón ( et ), puis Carlos Monzón / José Nápoles ()[489].
Dns un autre domaine, il constitue une écurie de chevaux de course et obtient le titre de champion du monde des trotteurs avec ses chevaux Equileo et Fakir du Vivier[490].
Amateur d'art
Au fil des années, Alain Delon est devenu collectionneur d'œuvres d'art, dont des bronzes anciens, en particulier des sujets animaliers de Rembrandt Bugatti et de peintures[491]. Sa collection comprend des œuvres d'Olivier Debré, Rembrandt Bugatti, Jean Degottex, Jean Dubuffet, Hans Hartung, Jean-Paul Riopelle, Pierre Soulages, Nicolas de Staël, Pierre Alechinsky, Zao Wou-Ki, Maria Helena Vieira da Silva, ainsi que deux bronzes d'Antoniucci Volti, les « Muses »[492]. À la suite d'une exposition organisée par le galeriste Franck Prazan[493], il vend 40 toiles d'artistes de l'École de Paris et du mouvement,CoBrA lors d'une vente aux enchères à Drouot-Montaigne en [494]. La vente totalise un peu plus de 8 millions d'euros. Dans un entretien de septembre 2018, il dit avoir récemment vendu une collection de bronzes de Bugatti, puis, un peu avant, une collection d’art contemporain. Il explique avoir gardé ce qu'il aime : « le XIXe siècle et le début du XXe siècle (...) Géricault, Millet, Delacroix[172] ». Depuis 2013, Delon est également le parrain de Winn'Art, le supplément artistique du magazine Winner dirigé par Véra Baudey[495]. Il met en vente plus de 80 œuvres de sa collection, la vente aux enchères a lieu le et le prix dépasse les 8 millions d'euros[496].
Résidences
Au fil des années, Alain Delon constitue un patrimoine immobilier important[497], comprenant plusieurs propriétés, notamment en France, au Maroc et en Suisse[498].

Dans les années 1960, il possède un hôtel particulier à Paris, situé 22, avenue de Messine, où il vit avec sa femme Nathalie Delon, qu'il revend en 1969[499].

Dès les années 1960, Delon possède un grand triplex parisien au 42, avenue du Président-Kennedy dans le seizième arrondissement, en front de Seine et avec vue directe sur la tour Eiffel[500], où il vit avec Romy Schneider puis avec Mireille Darc, à partir de 1969. En 2012, il revend ce luxueux triplex parisien de 780 mètres carrés et en obtient 46 millions d'euros[501].
En 1968, il réside avec sa femme Nathalie Delon aussi au no 3, rue François-Ier à Paris[502].
En 1971, tout en conservant son duplex parisien, il achète le domaine de La Brûlerie à Douchy-Montcorbon, dans le Loiret, comprenant un terrain de 55 hectares[503]. Il s'installe dès 1971 à Douchy avec sa compagne Mireille Darc dans l'une des dépendances du domaine et procède à de considérables et nombreux travaux[504].
Il fait détruire le château de la Brûlerie, pourtant inscrit aux Monuments historiques, puis fait creuser, à la place, un étang ; sa nouvelle demeure comprend un grand bureau, une salle de jeu, une salle de cinéma, une salle de sport, deux piscines, un cimetière et une chapelle dotée d’emplacements mortuaires dont celui de l’acteur[505]. Comme il le déclare régulièrement à la presse et aux médias, il souhaite que sa dépouille repose dans la chapelle du domaine de Douchy[506], construite dans le parc à côté du cimetière canin où reposent ses 35 chiens, « ses plus fidèles compagnons »[507].
Dans les années 1980, il revend au couple Bernard-Henri Lévy / Arielle Dombasle, le palais Zahia de Marrakech (Maroc), initialement la propriété de Paul Getty[508]. En 1993, il se sépare également de son palais de Sidi Mimoun à Marrakech qu'il a occupé pendant quinze ans avec Mireille Darc[509].
En 1985, il s'installe également en Suisse, à Chêne-Bougeries, une commune du canton de Genève. En 1990, il obtient le permis C (autorisation d'établissement)[510],[511]. Le 23 septembre 1999, le conseil communal de Chêne-Bougeries vote la naturalisation suisse d'Alain Delon, ainsi que de ses deux enfants, Anouchka et Alain-Fabien, âgés de huit et cinq ans à l'époque, puis le 13 mars 2000, il prête serment dans la salle du Grand Conseil de Genève.
En 2005, il revend sa villa de Chêne-Bougeries en Suisse pour 3,5 millions de francs suisses et déménage la même année dans un appartement situé dans le luxueux quartier de Champel-Florissant à Genève, qu'il acquiert pour 2,85 millions de francs suisses en 2017[512] et dans lequel sa fille Anouchka réside[513].
Amateur d'art averti, il a fait construire une galerie souterraine pour abriter sa collection de tableaux, dans le manoir de Douchy[514],[515].
Travail d'acteur et personnalité
Inspirations
Alain Delon puise son inspiration auprès de plusieurs acteurs, à commencer par Jean Gabin[516]. Il cite régulièrement John Garfield comme son acteur préféré : « C’est le premier et le seul qui m’ait fasciné comme ça. J’ai vu ses débuts quand j’étais môme, et je me disais : "Si un jour je fais du cinéma, je voudrais être John Garfield." Oh, il était extraordinaire, physiquement et dans sa façon de jouer. Aujourd’hui, les gens ne savent même plus qui c’est »[517],[518].
Il admirait également le travail de Marlon Brando, Montgomery Clift, Franck Sinatra et Robert Walker : « J’appartiens à une génération qui a appris la vie avec John Garfield, Frank Sinatra et Marlon Brando – mes professeurs d’énergie. Ces trois-là avaient atteint un rang sans pareil dans mon idée du bonheur… »[519],[520].
Vision sur lui-même
En 2018, il considère avoir été un « acteur » et non un « comédien ». Il différencie les deux ainsi : « Ma carrière n’a rien à voir avec le métier de comédien. Comédien, c’est une vocation. C’est la différence essentielle – et il n’y a rien de péjoratif ici – entre Belmondo et Delon. Je suis un acteur, Jean-Paul est un comédien. Un comédien joue, il passe des années à apprendre, alors que l’acteur vit. Moi, j’ai toujours vécu mes rôles. Je n’ai jamais joué. Un acteur est un accident. Je suis un accident. Ma vie est un accident. Ma carrière est un accident[521],[522]. »
Par ailleurs, Alain Delon se considère selon ses propres mots ainsi : « Vous avez dit le mot “icône” mais je ne suis pas une icône. Je dis toujours : “Je suis un mythe mais vivant. [...] Il faut savoir que, venu d’où je suis venu et devenir ce que je suis devenu, c’était extraordinaire. Des carrières comme la mienne, on n’en fera plus beaucoup comme ça. »[523],[524].
Notoriété et influences

Influence cinématographique et reconnaissance de ses pairs
Parmi les acteurs français les plus célèbres à l'étranger[525],[526],[527],[528],[529], Delon est en outre considéré comme un « monstre sacré » du cinéma français et international, toutes générations confondues[530],[531],[532],[533],[534],[535]. Il est reconnu à de multiples reprises comme l'une des personnalités les plus importantes et appréciées en France au cours des décennies 1980 à 2000[536]. Selon une étude menée par le Ministère de la Culture en 2000, plus de 80 % des Français de plus de 18 ans le reconnaissent, ainsi que 70 % des jeunes de 12 à 17 ans[537],[538]. À l'instar de Brigitte Bardot, il demeure encore aujourd'hui une figure du cinéma et de la mémoire collective en France[539],[540],[541],[542].
Nombre de cinéastes contemporains comme Jackie Chan[543], Michael Douglas[544],[545],[546], Jodie Foster[547], Stephen Frears[548], Jack Huston[549], Aaron Taylor-Johnson[550],[551], Meiko Kaji[552], Tony Lung[553],[554], Kyle MacLachlan[555], Charles Melton[556], Edward Norton[557], Nicolas Winding Refn[558], Mickey Rourke[559], Matthias Schoenaerts[560], Mark Strong[561], Quentin Tarantino[562], Bruce Willis[563], John Woo[564],[565], Harvey Weinstein[566],[567], ont ainsi exprimé du respect ou de l'admiration pour la carrière, les rôles, le style et la longévité d'Alain Delon[568],[569].
Leonardo DiCaprio considère Alain Delon comme l'un des acteurs les « plus cool dans l'histoire du cinéma »[570],[571],[572]. L'acteur canadien Keanu Reeves affirme que Delon est son modèle d'acteur : « C’est un acteur tellement charismatique. Je pense qu’il a en lui quelque chose entre la tension et la mélancolie »[573]. L’acteur britannique Clive Owen se dit fasciné par la « grâce naturelle » d’Alain Delon, le considérant comme l' « un des plus grands acteurs du monde »[574],[575]. Matthew Vaughn compare l'acteur britannique Michael Caine à Alain Delon[576]. Cette analogie suggère en effet l'influence cinématographique unique de ces deux acteurs dans leurs pays respectifs.
Jean-Michel Frodon, critique et historien du cinéma, souligne que Delon est une figure unique du cinéma français d'après-guerre, dont l'énergie et l'intelligence à l'écran ont été superbement exploitées par des cinéastes comme Jean-Pierre Melville[577]. Ainsi, dans Le Samouraï, Delon (en tant que tueur à gages se nommant Jeff Costello) est en tête d'affiche d'un film cité comme l’un des plus influents de l’histoire[578],[579]. Référence incontournable pour de nombreux cinéastes, Martin Scorsese (Taxi Driver et Les Affranchis), Paul Schrader, Quentin Tarantino, Jim Jarmusch (Down by Law), Michael Mann (Le Solitaire, Heat et Collateral), Johnnie To, David Fincher, Bernardo Bertolucci, Aki Kaurismäki, Takeshi Kitano, Georges Lautner, Nicolas Winding Refn (Only God Forgives), Luc Besson, Joel Coen et Ethan Coen ou Alain Corneau ont tous repris les motifs de ce long-métrage, tout en l’adaptant à leur style de mise en scène respectif[580],[581],[582],[583],[584],[585],,[587],[588],[589],[590],[591],[592],[593],[594],[595],[596],[597],[598]. De nombreux films du Nouvel Hollywood et succès critiques tels que The French Connection (1971) de William Friedkin ou Conversation secrète (1974) de Francis Ford Coppola contiennent des références explicites au Samouraï et au personnage de Jeff Costello interprété par Delon[599],[600],[601],[602].
Influence d'Alain Delon
Modèle d’identité artistique, Alain Delon est cité parmi les plus beaux acteurs de l'histoire du cinéma[603],[604],[605],[308],[311]. Sa présence à l'écran et son physique lui ont conféré un statut d'« icône » et de « légende » du cinéma, tant en France qu'à l'étranger[606],[607],[608],[609],[610],[611],[612],[613],[309]. Sa célébrité, liée autant à son physique qu'à son jeu d'acteur, a inspiré et continue d'influencer de nombreux acteurs internationaux. De la Corée du Sud à la Chine, de nombreux cinéastes se sont inspirés du parcours d'Alain Delon et particulièrement de son interprétation de Jeff Costello dans Le Samouraï (1967)[614].
De nombreux musiciens ont intégré l'image d'Alain Delon dans leurs textes[615].
Projets inaboutis ou refusés
Au cours de sa carrière, Alain Delon s'est vu proposer des rôles de plusieurs productions emblématiques, illustrant ainsi sa reconnaissance internationale[616]. Il se voit proposer en 1979 le rôle de James Bond par Albert Broccoli. Delon décline l'offre[617],[618]. L'acteur est également invité à incarner Sherif Ali dans Lawrence d'Arabie par le producteur Sam Spiegel[619],[620]. Delon refuse néanmoins de porter des lentilles de contact brunes pour le rôle et quitte le projet[621],. Robert Evans a également envisagé pour Alain Delon le rôle de Michael Corleone dans Le Parrain : « Francis m'a dit : "On a un gros problème. Tu veux un type qui te ressemble, et je veux un type qui me ressemble.” Moi, je voulais Alain Delon, vous comprenez ? C'est comme cela qu'il était décrit dans le livre. Je me trompais. Francis a poursuivi : "Je veux Al Pacino, et c'est moi le réalisateur. Si tu ne le prends pas, je ne fais pas ce putain de film." J'ai répondu : "D'accord. Je l'engage, ton nabot ! »[623],[624],[625]. Delon, de son côté, écarte d'emblée la proposition : « Il fallait que j’apprenne à parler anglais avec l’accent italien. Cela ne me plaisait pas. »[626]. Evans voulait aussi engager Delon dans Cotton Club pour incarner Lucky Luciano, rôle finalement confié à Joe Dallesandro. André Téchiné prévoit de réunir à l'écran Delon et Isabelle Adjani sur l'adaptation cinématographique du roman Lunes de fiel de Pascal Bruckner[628]. Des désaccords entre les deux acteurs conduisent à l'abandon du projet et Roman Polanski porte finalement Lunes de fiel à l'écran en 1992. Parmi les autres projets déclinés par Alain Delon figurent L'Aîné des Ferchaux de Jean-Pierre Melville, Viva Maria ! de Louis Malle, L'Ours et la Poupée de Michel Deville, Max et les Ferrailleurs de Claude Sautet[630], Le Dernier Tango à Paris de Bernardo Bertolucci (Alain Delon a suggéré au réalisateur d'engager Marlon Brando)[631], Taxi Driver de Martin Scorsese, Rencontres du troisième type de Steven Spielberg, La Mort en direct de Bertrand Tavernier[633], Marie-Antoinette de Sofia Coppola,[635], Pardonnez-moi de Maïwenn[636], Mesrine de Jean-François Richet, Vengeance de Johnnie To[637], Les Lyonnais d'Olivier Marchal, David et Madame Hansen d'Alexandre Astier et Salaud, on t’aime de Claude Lelouch[638],[639],[640],[641],[642].
Selon l'American Film Institute, Delon est envisagé pour jouer dans Fanny[643] de Joshua Logan (1961), Le Cher Disparu de Tony Richardson (1965), Propriété interdite[644] de Sydney Pollack (1966), La Bataille de San Sebastian[645] (1968) de Henri Verneuil (1968), et À nous la victoire[646], de John Huston (1981)[648],[649].

Alain Delon a longtemps eu pour souhait de produire un film à partir de L'Homme à cheval de Pierre Drieu La Rochelle, qu'il aurait fait réaliser par Sam Peckinpah, mais il n'a jamais réussi à le concrétiser[650]. Alain Delon est envisagé à la fin des années 1950 par Luis Buñuel pour jouer le rôle d'Ambrosio, dans une adaptation du roman Le Moine de Matthew Gregory Lewis[651]. Le film n'a jamais vu le jour en raison de désaccords entre les producteurs. Le projet est repris plus tard par Ado Kyrou, mais avec Franco Nero dans le rôle principal[652]. En 1963, Alain Delon participe à la plus grande superproduction européenne jamais achevée, Marco Polo, produite par Raoul Lévy. Le projet se concrétise avec Delon dans le rôle de Marco Polo et Jean Marais dans le rôle du père. Le tournage est toutefois interrompu à cause d'une production financière inadéquate. Une nouvelle production sort en 1965, mais le rôle de Marco Polo est confié à Horst Buchholz, rival allemand, à l'époque, d'Alain Delon[653]. Il est également choisi pour incarner Meursault dans L'Étranger de Visconti. Un différend avec le producteur Dino De Laurentiis sur son cachet compromet sa participation au profit de Marcello Mastroianni[654]. En 1971, Jean-Pierre Melville envisage de tourner une aventure d'Arsène Lupin avec Alain Delon dans le rôle titre. Le projet n'aboutit pas[655]. En 1973, le réalisateur et scénariste Alejandro Jodorowsky entreprend l'adaptation cinématographique de Dune[656]. Jodorowsky rassemble une équipe artistique de renom dont les groupes de rock Pink Floyd et Magma pour la musique. Jodorowsky choisit également une distribution ambitieuse : Salvador Dalí, Orson Welles ou encore Mick Jagger[657]. Alain Delon est quant à lui, destiné à incarner le personnage de Duncan Idaho[658],[659]. Prévoyant un film de 14 heures, le projet est finalement abandonné en raison de contraintes financières (Dalí ayant notamment exigé d’être payé 100 000 dollars de l’heure). Tout comme Paul Newman, Marlon Brando, Jack Nicholson, Gérard Depardieu, Lino Ventura et Jean-Paul Belmondo, Delon refuse en 1975 de jouer dans le film Le Sauvage de Jean-Paul Rappeneau[660]. Le réalisateur raconte : « Il n’a pratiquement jamais tourné de comédies et s’en méfie, mais je suis sûr qu’il aurait pu faire quelque chose de pas mal ; le personnage (du film) est ombrageux, toujours en pétard (…) mais Delon a refusé : « vous me voyez grimper aux arbres et faire ma petite cuisine avec mon poisson et aller cueillir des bananes dans les palmiers...»[661]. Alain Delon figurait parmi les premiers choix d'Anne Rice pour le rôle de Louis, décrit dans son livre Entretien avec un vampire alors en discussion pour une adaptation cinématographique[662],[663]. Toutefois, le projet n'a vu le jour qu'en 1994 et c'est finalement Brad Pitt qui a endossé le rôle. Alain Delon était également prévu pour jouer dans l'adaptation du roman La Condition humaine d'André Malraux, aux côtés de Johnny Depp, Daniel Day-Lewis, Uma Thurman et John Malkovich. Ce projet lancé par Michael Cimino est abandonné en raison de difficultés financières,[665]. En 2014, un projet de film intitulé Patient est annoncé, un drame centré sur le génocide arménien, avec Delon ou Adrien Brody dans un rôle principal[666],[667],[668]. Dustin Hoffman était également prévu à l'affiche[669]. Ce projet n'a jamais abouti.
Notoriété à l'étranger
La notoriété internationale d’Alain Delon s’est construite progressivement à partir des années 1960, notamment grâce à une série de collaborations avec des cinéastes majeurs du cinéma européen[516]. C’est Plein soleil de René Clément (1960) qui révèle pour la première fois au public étranger la présence jugée « troublante » et « ambivalente » de Delon[670]. Mais c’est surtout sa rencontre avec Luchino Visconti (celui-ci souhaite le rencontrer après avoir vu Plein Soleil) qui consacre son aura internationale, d’abord dans Rocco et ses frères (1960), puis dans Le Guépard (1963)[671]. En France, il devient un symbole du star-system[672], mais c’est son image de solitaire et ambigu, mise en valeur par Jean-Pierre Melville dans Le Samouraï (1967), qui lui confère un statut culte à l’international[673],[674]. Cette reconnaissance mondiale s’est également consolidée par la diffusion massive de ses films à l’étranger, en particulier en Asie et en Union Soviétique, où Delon jouissait dans les années 1970 d’une popularité comparable à celle des grandes stars hollywoodiennes[675]. Depuis, la notoriété internationale d’Alain Delon dépasse le simple cadre cinématographique et s’inscrit dans une reconnaissance culturelle planétaire[676],[677],[678].
Au Japon, sa popularité prend des allures de culte : surnommé « le Samouraï du printemps », il figure régulièrement parmi les célébrités les plus appréciées de 1961 à 1975 et réunit en 2007 plus de 22 millions de téléspectateurs lors d'une émission spéciale sur Fuji Television[679],[680]. Il est encore au Japon une star indétrônable puisque son parfum reste dans le top cinq des ventes »[681]. Cette notoriété a donné lieu au roman humoristique Alain Delon est une star au Japon de Benjamin Berton, publié en 2009 chez Hachette Littératures[682]. Décrit par l'écrivain comme un « fantasme générationnel », ce dernier s'éloigne du style biographique pour mettre en scène l'acteur dans une histoire d'enlèvement de la part d'un couple d'admirateurs[682].
Alain Delon, fort de sa notoriété au Japon est devenu un nom familier en Corée, grâce à ses films populaires dans les grandes villes. Delon a ainsi souvent fait la une des magazines. Plein Soleil est particulièrement populaire en Corée et l'expression « beau comme Alain Delon » est devenue un phénomène culturel bien avant que les applications de messagerie ne deviennent à la mode[683].
En Chine, son rôle dans Zorro, l’un des premiers films européens diffusés après la Révolution culturelle (70 millions de spectateurs), a contribué à le faire connaître auprès du grand public[684],,[184]. Il est selon un micro-trottoir du Petit Journal de Canal+ un des rares artistes français connus[686]. Cette visibilité l’amène à être choisi comme parrain du pavillon français à l’exposition universelle de Shanghai en 2010, aux côtés de Carla Bruni et Nicolas Sarkozy[687]. Symbole de l’ouverture occidentale et de la culture française en Chine, Delon est invité au dîner d'État lors de la visite de Hu Jintao en 2004[688]. Il est à nouveau convié en 2019 lors de la visite de Xi Jinping, où il rencontre le président chinois en personne, ce dernier ayant personnellement demandé sa présence[689],[690].
Aux États-Unis, Alain Delon incarne selon Tina Rozier, professeur de cinéma à l'Université du Michigan l'élégance à la française et le sex-appeal intemporel : « Les Américains fantasment aussi sur le talent, brut, de l’acteur, mais également sur le fait qu’il représente l’homme français, classe, sexy et aussi un peu la vie française, avec la cigarette au bec, et les scènes sur la Côte d’Azur ou dans les rues de Paris, toujours bien habillé. Delon, il ne laisse pas indifférent, quels que soient l’âge et le sexe, c’est certain ! » En ce sens, le Film Forum de New York rend hommage à Alain Delon à travers une série de dix films intitulée Delon[691],[692]. Sous la direction de Bruce Goldstein, directeur de la programmation du Film Forum, les projections des films d'Alain Delon ont rencontré un succès notable, attirant 1 500 spectateurs : « Le New York Times, le New Yorker et de grands médias ont parlé de l’évènement, mais Delon a toujours déclenché, et déclenche toujours une grande curiosité. Regardez la foule qui vient voir ses films, c’est vraiment incroyable, son charme séduit même ici, à plusieurs milliers de kilomètres de la France ! »[693].
En Italie, où il a travaillé avec des réalisateurs comme Luchino Visconti et Michelangelo Antonioni, Delon est toujours perçu comme une icône. Gian Luca Farinelli, directeur de la cinémathèque de Bologne, note que Delon « fait partie de l'élite des acteurs qui exercent une sorte de fascination, au-delà de leurs films. […] Aujourd'hui encore, il reste une icône et même les jeunes, qui ne le connaissent pas nécessairement, sont sensibles à sa beauté »[694].
À Moscou, Delon est considéré comme une incarnation moderne d'Apollon[684]. Son nom est par ailleurs devenu en Russie synonyme d'un homme présomptueux et séduisant[695]. En 1971, lors d'une rencontre avec le président ouest-allemand Willy Brandt en Crimée, Leonid Brejnev pose pour une photo en lunettes de soleil, survêtement bleu et t-shirt blanc, s'appuyant contre le côté de son yacht. Lorsqu'on lui montre la photo, il commente : « Je ressemble à Alain Delon[696]. » Delon était en effet considéré comme un modèle d'Occidental attirant et décontracté[696]. Ce phénomène s'explique par la diffusion mondiale de ses films et de son image, qui ont façonné une certaine vision du charme masculin à la française. Cette iconographie d'Alain Delon s'inscrit dans une longue tradition où les célébrités françaises, telles que Brigitte Bardot ou Jean-Paul Belmondo, voient leur nom incorporé dans les lexiques étrangers avec des connotations spécifiques[695].
En Roumanie, il est selon Fanny Chartres (Delon est intégré dans son roman Les inoubliables) une « [v]éritable légende du cinéma international pour un grand nombre de Roumains. (...) Pendant la période la plus dure du communisme, beaucoup de films étrangers étaient censurés, à l’exception de ceux avec Alain Delon. Classiques et inoffensifs aux yeux du régime, ils étaient tolérés… et adorés. C’est avec lui et Louis de Funès que les Roumains avaient supporté cette époque. »[697]. Toujours en Europe de l'Est, le manteau en cuir « aléndelon », nommé d'après l'acteur français, est devenu un objet de désir et un signe de statut social, soulignant l'aspiration des adolescents à s'identifier aux valeurs occidentales face aux normes imposées par la propagande communiste durant les années 1970-80. Ce manteau est arrivé dans les années 1960 avec les films où Alain Delon apparaissait dans ce vêtement[698],[699].
Selon Vadym Omelchenko, ambassadeur d'Ukraine en France : « Alain Delon est perçu par les Ukrainiens comme l’image de la France, l’image de la culture française, de son art. Pour nous, la culture française a toujours occupé une place très importante. […] Alain Delon est très connu en Ukraine »[700]. C'est pour cette raison que le centre culturel ukrainien se trouve au 22 avenue de Messine, hôtel particulier qui a appartenu à Alain Delon. Une salle est totalement dédiée à Alain Delon[701].
En 2012, le président arménien Serge Sarkissian accueille Alain Delon, présent pour la première du film Bonne année, mères à Erevan[702]. Sarkissian note que les films avec la participation d'Alain Delon sont largement connus et très populaires en Arménie[703].
Alain Delon est une « immense star » en Argentine, pays où les cinéphiles admirent ses collaborations avec des réalisateurs comme Luchino Visconti (Le Guépard) et Michelangelo Antonioni (L'Éclipse). Nora Lafón, chroniqueuse culturelle, souligne que son succès dépasse sa beauté : « En plus de sa belle gueule, c'est un grand acteur. Les Argentins sont cinéphiles et le fait qu'il ait travaillé avec des réalisateurs d'envergure explique sa célébrité[684]. » Delon s'est par ailleurs souvent rendu en Argentine, notamment en raison de son amitié avec le président Carlos Menem[704].
En Iran, il est admiré[705]. Dans la culture populaire iranienne, son nom est entré dans le langage courant des gens de la rue : les Iraniens appellent Alain Delon quelqu'un qui est bien habillé[324]. Ses films sont régulièrement diffusés à la télévision d'Etat[324]. Les personnages d'Alain Delon sont doublés en iranien par Khosro Khosroshahi[706].
Hassan II, cinéphile et amateur du cinéma français appréciait notamment Catherine Deneuve, Louis de Funès ou encore Alain Delon[707].
Festivals
En 1978, Alain Delon préside le jury du Festival des films du monde de Montréal[171].
En 1981, Alain Delon reçoit un prix spécial lors de la cérémonie de remise des Golden Horse Awards à Kaohsiung (Taïwan)[708],[709].
Alain Delon reçoit au côté d'Omar Sharif et Catherine Deneuve un prix pour l'ensemble de sa carrière lors du gala d'ouverture du 23e Festival international du film du Caire en Égypte[710],[711],[712].
Alain Delon reçoit en 1999 un « Georges d'honneur » pour l'ensemble de sa carrière au Festival international du film de Moscou[713]. Il est aussi membre du jury et invité du festival Faces of Love Film à Sotchi. En 2005, il reçoit un prix honorifique de ce même festival, la Flèche d’argent[714]. Alain Delon est l’invité d’honneur de la 7e cérémonie des Armenian Music Awards où il reçoit en 2012 un prix spécial[715].
En 2000, Alain Delon inaugure en tant qu’invité d’honneur, la vingt-et-unième édition de la Mostra de Valence du cinéma méditerranéen et reçoit une palme spéciale lors de la cérémonie[716],[717],[718].
Alain Delon est honoré lors de la cérémonie des « Hommes de l’année 2001 », du trophée de « l'Acteur mondial 2001 » à Vienne, au palace Imperial Hofburg en Autriche. Diverses personnalités des domaines des arts (Steven Spielberg, Paul McCartney, Luciano Pavarotti), de l'économie et des médias (Ted Turner, Richard Branson) ont également été honorées pour leur « contribution exceptionnelle » à la société.
Alain Delon préside en 1995 et 2002 le Festival du film policier de Cognac[721].
Lors du gala du 10e anniversaire (1999) de TeleKamer à Varsovie, Alain Delon reçoit le prix du meilleur acteur étranger et pour l’ensemble de sa carrière. L'acteur se voit attribuer cette récompense à la suite d'un sondage organisé auprès des téléspectateurs polonais du pays.
Populaire au Maroc, Alain Delon se voit décerner en 2003 l'Étoile d'Or du Festival international du film de Marrakech pour l'ensemble de sa carrière[723].
Le 25e Festival international du film d'Istanbul remet à Delon (invité d'honneur) un prix pour sa carrière[724],[725].
À l’occasion de la 16e édition du DIVA - German Entertainment Award (2006) , Alain Delon à reçu en tant qu’invité vedette le DIVA Honorary Award, qui honore les artistes « qui ont laissé des traces avec leur travail et peuvent indiquer une œuvre qui restera dans l’oubli ».
Alain Delon reçoit des mains de la duchesse d’Albe Cayetana Fitz-James Stuart y de Silva le prix de l’Association nationale des éleveurs de chevaux de race espagnole de Séville,[727].
Alain Delon est en 2017 l'invité d'honneur de la onzième édition du Festival International du Film Policier de Liège[728].
Le Festival International La Rochelle Cinéma rend hommage à Alain Delon en 2022[729].
Rétrospectives
En 1990, Alain Delon inaugure en tant qu'invité d'honneur le Festival du film français de Sarasota (Floride), et est également honoré par une rétrospective de ses films[730].
En 1998 et 2016, le Festival du film de Thessalonique et sa sa cinémathèque proposent des rétrospectives en hommage à l'acteur[731].
En 2016, la Cinémathèque de Cuba à Ciego de Ávila (aujourd'hui installée à La Havane) présente un cycle d’hommage à l'acteur français, The Alain Delon We Didn’t Know, qui comprend 19 de ses films qui n’ont jamais été commercialisés à Cuba[732].
Les éditions 2014, 2015 et 2016 du festival français "Films on the Green" (produit chaque année à New York) ont projeté des films d'Alain Delon à Central Park (Cedar Hill)[733],[734].En Californie, Le Festival international du film de Santa Barbara (SBIFF), par le biais de son Riviera Theatre projette le classique néo-noir Le Samouraï dans la perspective d'un micro-festival de films d’Alain Delon[735]. Cette rétrospective donne lieu à la projection de 6 classiques de l'acteur[736].
Aux Pays-Bas, une rétrospective Alain Delon est organisée en 2019 au Musée du cinéma d’Amsterdam, seul musée du pays consacré au « Septième Art »[737].
Selon le site « France diplomatie »[738], après la rétrospective à la Cinémathèque française de plus de cinquante films avec Delon, le ministère des Affaires étrangères souhaite présenter à travers ses services culturels une sélection des films retenus par l’artiste.
Une rétrospective de 12 des films les plus marquants d’Alain Delon est présentée en 2021 dans les Cinémathèques de Tel Aviv, Jérusalem, Haïfa, Sderot, Holon, Herzliya et au Centre Culturel de Savyon[739],[740],[741].
Une rétrospective (2023) des films d'Alain Delon est organisée au Musée d’art cinématographique de Pologne à Mokotów[742],[743].
Opinions politiques

Alain Delon se définit comme gaulliste[744], expliquant avoir été « élevé dans l'esprit du général de Gaulle »[745]. Il est ainsi engagé de longue date à droite. En décembre 1970, il fait l'acquisition du manuscrit du texte de l'affiche À tous les Français, que le général de Gaulle fit placarder sur les murs de Londres le 20 juin 1940, puis le fait remettre au chancelier de l'ordre de la Libération[746].
Tout comme beaucoup d'artistes, notamment Brigitte Bardot, il appelle à voter pour Valéry Giscard d'Estaing lors des élections présidentielles de 1974 et 1981[747],[748]. En 1988, il soutient au premier tour la candidature de Raymond Barre[749].

À partir de la fin des années 1980, il fait état de son amitié et de sa sympathie pour Jean-Marie Le Pen[750],[751], tout en précisant que « des choses dans son programme [l]e satisfont et d'autres non ». Il précise que l'extrême droite « c'est quand même la droite » et qu'elle « regroupe quelques millions de Français », dont il faut tenir compte[752]. En , il salue la progression électorale du Front national[753],[754],[755]. Cette prise de position, dénoncée par le Comité Miss France, le conduit à démissionner de sa fonction de président à vie du jury ; il déclare alors : « Votre polémique est aussi absurde que narcissique et obsessionnelle. Votre attitude est un mépris à l'égard de votre public qui est en droit de voter pour qui il veut, un déni de réalité manifeste »[756],[757].
Il dit cependant préférer Nicolas Sarkozy au Front national[758]. Dans la perspective des élections européennes de 2014, il exprime sa sympathie pour le mouvement Force Vie de Christine Boutin[759].
En , il affirme : « Il fut un temps où, dans la rue, on distinguait les hommes et les femmes. Maintenant, on ne sait plus qui est qui. Les rôles sont moins définis, ils se sont parfois même inversés, comme avec le congé paternité. Et puis, on a l'air de sous-entendre qu'être avec quelqu'un du sexe opposé ou du même sexe, c'est pareil. Ça, c'est grave. Je ne suis pas contre le mariage gay, je m'en fiche éperdument, mais je suis contre l'adoption des enfants[760]. »
Alain Delon cultive des amitiés avec des personnalités dont les idées sont éloignées des siennes[752]. Il tourne avec Luchino Visconti, proche du Parti communiste italien et soutient financièrement le film Monsieur Klein de Joseph Losey, banni de Hollywood pour ses sympathies communistes. En 1986, après la défaite de la gauche aux élections législatives, il insiste pour que ce soit l'ancien ministre de la Culture, Jack Lang (membre du Parti socialiste), qui lui remette les insignes de commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres[761]. Lors des élections municipales de 2014 à Paris, il soutient la candidate socialiste, Anne Hidalgo[762].
Dans le cadre de la primaire présidentielle des Républicains de 2016, il préfère Alain Juppé à Nicolas Sarkozy, estimant avoir été « quitté » et « largué » par celui-ci[763],[764]. Le , il publie une lettre de soutien au candidat de la droite à l'élection présidentielle, François Fillon, en difficulté dans les sondages[765]. Lors du second tour, qui voit s'opposer Emmanuel Macron et Marine Le Pen, il ne se déplace pas pour voter[67].
En 2018, aux côtés de 200 personnalités, il signe dans Le Monde la tribune « Le plus grand défi de l'histoire de l'humanité », « pour sauver la planète », face au changement climatique[766]. Alors que le journal l'interroge en notant que « [son] nom en bas d’un texte est rarissime », Alain Delon répond : « C’est vrai, je signe rarement. La raison en est toute simple. […] Les hommes — je parle de ces abrutis de mecs — sont en train de tuer le monde »[767].
Alain Delon aurait voté pour le candidat démocrate Joe Biden face à Donald Trump lors de l'élection présidentielle américaine de 2020 : « […] J’ai une passion pour Biden. J’adore ce qu’il est, ce qu’il fait, son vécu, cette vie très dure qu’il a traversée… […] Je m’en fous de Trump. C’est un con, un mauvais acteur. Qu’il aille sur son golf et qu’il n’emmerde plus le monde ! Quand Biden viendra en voyage officiel en France… Vous m’appelez ! Et qu’il y aura un dîner d’État… J’y serai. »[517].
Il apporte son soutien à Valérie Pécresse en vue de l’élection présidentielle de 2022, déclarant qu’elle est « la seule femme » qu’il souhaiterait pour l’Élysée[768].
Filmographie

Théâtre

- 1961 : Dommage qu'elle soit une putain de John Ford, mise en scène Luchino Visconti, avec Romy Schneider, Daniel Sorano, Silvia Monfort, Gisèle Gallois, théâtre de Paris
- 1968 : Les Yeux crevés de Jean Cau, mise en scène Raymond Rouleau, avec Marie Bell, Jacques Dacqmine, théâtre du Gymnase
- 1996 : Variations énigmatiques d'Éric-Emmanuel Schmitt, mise en scène Bernard Murat, avec Francis Huster, théâtre Marigny
- 1998 : Variations énigmatiques d'Éric-Emmanuel Schmitt, mise en scène Bernard Murat, avec Stéphane Freiss, reprise au théâtre de Paris
- 2004 : Les Montagnes russes d'Éric Assous, mise en scène Anne Bourgeois, théâtre Marigny
- 2007 : Sur la route de Madison d'après le roman de Robert James Waller, mise en scène Anne Bourgeois, avec Mireille Darc, théâtre Marigny
- 2008 : Love Letters d'Albert Ramsdell Gurney, mise en scène Alain Delon, avec Anouk Aimée, théâtre de la Madeleine
- 2011 : Une journée ordinaire d'Éric Assous, mise en scène Jean-Luc Moreau, théâtre des Bouffes-Parisiens
- 2013 : Une journée ordinaire d'Éric Assous, mise en scène Anne Bourgeois, tournée
Discographie
- 1967 : Laetitia : B.O. du film Les Aventuriers
- 1968 : Les Moulins de mon cœur[769], éditée en 2013 dans Michel Legrand Anthology (coffret 15 CD EmArcy Records)[770],[771]
- 1973 : Paroles... Paroles... : duo avec Dalida, reprise de la chanson italienne Parole parole, un duo enregistrée par Mina et Alberto Lupo ; la chanson est enregistrée au Studio des Dames à Paris en 1972
- 1983 : Thought I'd ring you : duo avec Shirley Bassey
- 1985 : I Don't Know : duo avec Phyllis Nelson, bande originale du film Parole de flic
- 1987 : Comme au cinéma : musique de Romano Musumarra
- 2006 : Modern Style : duo avec Françoise Hardy (paroles et musique de Jean Bart), enregistré sur l’album (Parenthèses...), paru chez Virgin/EMI.
Spectacles
- 1978 : La Cinéscénie (Puy du Fou).
- 2000, Alain Delon est la voix du narrateur dans le spectacle La Bataille du Donjon au Puy du Fou.
- 2016 : Génération de Gaulle de Christophe Marlard : collaboration à la création du film en mapping vidéo de la saison 4 du film De Gaulle en Grand projeté sur la croix de Lorraine au Mémorial Charles de Gaulle[772].
- 2017 : Génération de Gaulle, saison 2 de Christophe Marlard.
- 2018 : Génération de Gaulle[773], saison 3 de Christophe Marlard.
Box-office
France
Entre 1957 et 2019, Alain Delon a joué dans 83 films répertoriés, totalisant plus de 136 millions d'entrées en France[774]. Cela le place au 10e rang des acteurs français les plus populaires au box-office national. De 1960 aux années 1980, l'acteur a également dominé le box-office international (en ce qui concerne la distribution des films français à l'étranger) , devenant l’un des acteurs les mieux rémunérés de l’histoire du cinéma français[775],[776]. À cette époque, il perçoit plus d’un million de francs par film — l’équivalent d’environ un million d’euros aujourd’hui[482],[777].
- Astérix aux Jeux olympiques : 6 785 909
- Paris brûle-t-il ? : 4 946 274
- Le Clan des Siciliens : 4 821 585
- Borsalino : 4 710 381
- Le Cercle rouge : 4 339 821
- Les Centurions : 4 294 756
- Le Guépard : 3 649 498
- Mélodie en sous-sol : 3 518 083
- Soleil rouge : 3 300 488
- Les Aventuriers : 3 120 412
- La Tulipe noire : 3 107 512
- Christine : 2 850 382
- Adieu l'ami : 2 639 713
- Parole de flic : 2 517 875
- Deux Hommes dans la ville : 2 454 112
- Plein Soleil : 2 437 874
- Pour la peau d'un flic : 2 377 084
- La Piscine : 2 341 721
- Trois Hommes à abattre : 2 194 795
- Rocco et ses frères : 2 173 480
- La Veuve Couderc : 2 008 203
URSS
A l’instar de Jean-Paul Belmondo, Jean Marais ou Pierre Richard, Alain Delon fait partie des acteurs français les plus populaires en Russie. Ses films cumulent un total de plus de 300 millions d'entrées (avec 13 films recensés[778]). Il convient de noter que ce nombre est minime, car les résultats au box-office des films sortis en URSS tels que Le Choc, La Piscine, Pour la peau d'un flic, Monsieur Klein, Un flic, Le Clan des Siciliens, Le Cercle rouge (etc.) ne sont pas disponibles. Son succès en URSS constitue un phénomène unique : une star occidentale capable de rivaliser en popularité avec les plus grands acteurs soviétiques[779],[780].
- La Tulipe noire : 76, 7 millions d’entrées (47, 8 millions d’entrées lors de sa sortie en 1970 et 28, 9 millions d'entrées supplémentaires lors d'une reprise en 1984)
- Zorro : 55, 3 millions d’entrées
- Téhéran 43 : 47, 5 millions d’entrées
- Il était une fois un flic : 26,1 millions d'entrées (un petit rôle où Delon apparaît pendant 1 minute avec sa partenaire de l’époque, Mireille Darc)
- Mort d'un pourri : 25, 4 millions d’entrées
- Trois Hommes à abattre : 25, 2 millions d’entrées
- Deux Hommes dans la ville : 23, 7 millions d'entrées
- Les Aventuriers : 22, 7 millions d'entrées
- Rocco et ses frères : moins de 20 millions
- Le Diable et les Dix Commandements : 12, 4 millions d'entrées
- L'Éclipse : 6,5 millions d'entrées
- Astérix aux Jeux olympiques : 1 717 527
- Bonne Année, les mamans ! (dernier film recensé) : 1 584 097
Italie
Alain Delon a entretenu une relation privilégiée avec le cinéma italien, collaborant avec des réalisateurs de renom tels que Luchino Visconti, Michelangelo Antonioni ou encore Valerio Zurlini[781],[782],[783]. L'une de ses premières incursions dans le cinéma italien est Rocco et ses frères (1960). Visconti, convaincu par Delon, a choisi ce dernier pour incarner Rocco, déclarant : « J'avais besoin de cette candeur... Si on m'avait contraint à prendre un autre acteur, j'aurais renoncé à faire le film. D'autant qu'il a la mélancolie de qui se sent forcé de se charger de haine quand il se bat, parce que, d'instinct, il la refuse.. »[784]. Le film est considéré comme un classique du cinéma européen et totalise plus de 10 millions d'entrées en Italie[785]. En 1963, Delon retrouve Visconti pour Le Guépard pour une fresque historique ou il y interprète Tancrède Falconeri, un jeune prince sicilien. Le film est considéré comme un autre œuvre importante du cinéma[786]. Par ailleurs, trois films avec Alain Delon dans un rôle principal (Rocco et ses frères, Le Guépard et L'Éclipse) figurent sur la liste des 100 films italiens à sauver, une initiative du Ministère de la Culture italien visant à préserver les œuvres qui ont « changé la mémoire collective du pays entre 1942 et 1978 ». À sa mort, l'Italie salue un acteur faisant partie intégrante de son histoire cinématographique[787],[788].
- Le Guépard : 12 850 375
- Rocco et ses frères : 10 220 365
- Soleil Rouge : 7 289 000
- Le Professeur : 7 078 000
- Borsalino : 6 688 439
- Zorro : 4 900 000
- Le Cercle rouge : 4 770 000
- Le Clan des siciliens : plus de 4 600 000
- Adieu l'ami : 3 774 000
- Big Guns : Les Grands Fusils : 3 600 000
- Faibles Femmes : 3 150 000
- La Tulipe noire : 3 000 000
- Les Centurions : 3 000 000
- Plein soleil : 2 800 000
- Deux Hommes dans la ville : 2 800 000
- La Piscine : 2 800 000
- Un flic : 2 700 000
- La Veuve Couderc : 2 500 000
- Scorpio : 2 400 000
- Mélodie en sous-sol : 2 400 000
- Quelle joie de vivre : 2 200 000
- Diaboliquement vôtre : 1 615 000
- L'éclipse : 1 607 000
- Doucement les basses : 1 150 000
- L'Assassinat de Trotsky : 920 000
- Madly : 915 000
- Le Chemin des écoliers : 750 000
- Jeff : 650 000
- Les Félins : 605 000
- Les Tueurs de San Francisco : 590 000
- Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma : 588 728
- Les Aventuriers : 460 000
Espagne
- Texas nous voilà : 2 460 342
- Les Centurions : 1 897 275
- La Piscine : 1 701 410
- Soleil rouge : 1 690 813
- Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma : 1 501 593
- Borsalino : 1 500 141
- Scorpio : 1 373 483
- Les Aventuriers : 1 154 071
- Airport 80 Concorde : 1 099 755
- Astérix aux Jeux olympiques : 1 051 674
- Les Tueurs de San Francisco : 1 044 139
- Zorro : 1 013 104
- Le Cercle rouge : 1 001 846
- Le Clan des siciliens : 992 881
- Diaboliquement vôtre : 919 784
- Big Guns : Les Grands Fusils : 911 389
- Adieu l'ami : 882 555
- Le Samouraï : 797 011
- Un flic : 723 346
- Traitement de choc : 699 666
- Jeff : 619 809
- Le Professeur : 569 787
- Les Seins de glace : 522 099
- Flic Story : 525 535
- Le Gitan : 515 153
- Deux Hommes dans la ville : 445 835
- La Race des seigneurs : 389 895
- Les Granges brûlées : 384 259
- Borsalino and Co. : 335 621
- Pour la peau d'un flic : 298 301
- Notre histoire : 287 335
- Le Battant : 280 647
- Mort d'un pourri : 213 064
- Le Gang : 199 297
- Un amour de Swann : 195 959
- Monsieur Klein : 193 782
- Comme un boomerang : 154 734
- Trois Hommes à abattre : 147 916
- Attention, les enfants regardent : 136 082
- Doucement les basses : 128 954
- L'Assassinat de Trotsky : 102 891
- Parole de flic : 96 822
- Armaguedon : 84 963
- Le Choc : 80 474
- Ne réveillez pas un flic qui dort : 53 860
- Dancing Machine : 28 326
- La Motocyclette : 23 587
- Le Passage : 6 855
- Nouvelle Vague : 5 088
Allemagne
- Plein soleil : 2 588 000
- Christine : 2 488 000
- Soleil rouge : 1 974 000
- Rocco et ses frères : 1 862 000
- Borsalino : 1 861 000
- Mélodie en sous-sol : 1 695 000
- Astérix aux Jeux olympiques : 1 574 238
- Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma : 1 564 993
- Faibles Femmes : 1 457 000
- Les Centurions : 1 276 000
- La Rolls-Royce jaune : 1 041 000
- Texas, nous voilà : 994 000
- La Tulipe noire : 978 000
- Le Clan des Siciliens : 918 000
- Le Cercle rouge : 907 000
- Paris brûle-t-il ? : 888 000
- Les Aventuriers : 752 000
- Airport 80 Concorde : 650 000
- La Piscine : 601 000
- Les Tueurs de San Francisco : 586 000
- Le Guépard : 584 000
- Adieu l'ami : 479 000
- Pour la peau d'un flic : 450 000
- Les Félins : 438 000
- Quelle joie de vivre : 331 000
- Le Diable et les Dix Commandements : 275 000
- Les Amours célèbres : 275 000
- Un Amour de Swann : 255 212
- Le Samouraï : 253 000
- Diaboliquement vôtre : 221 000
- L'Insoumis : 221 000
- Parole de flic : 214 324
États-Unis
Le parcours de Delon aux États-Unis est modeste[789]. Dans les années 1960, il s'installe à Los Angeles et tourne trois films, notamment un western parodique et Les Tueurs de San Francisco de Ralph Nelson. Ces films ne rencontrent pas le succès escompté, et Delon met fin à son contrat après environ un an, retournant en France[142]. Paradoxalement, Delon refuse de grands rôles à Hollywood, de James Bond au Parrain[616].
- Texas, nous voilà : 9 083 000
- Airport 80 Concorde : 5 378 000
- Soleil Rouge : 4 110 000
- Le Clan des siciliens : 2 677 000
- Les Centurions : 2 457 000
- Scorpio : 2 441 000
- Deux Hommes dans la ville : 1 453 000
- Traitement de choc : 1 104 000
- Les Granges brûlées : 581 000
- Big Guns : Les Grands Fusils : 523 000
Distinctions
Décorations et médailles
Officier de la Légion d'honneur (remise par Jacques Chirac en 2005[790] ; chevalier en 1991, remise par François Mitterrand[791])
Officier de l'ordre national du Mérite (nommé directement officier en 1995)[792]
Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres ()[793]
Médaille commémorative de la campagne d'Indochine[794]
Commandeur de l'ordre du Ouissam alaouite (septembre 2003, remise par le Prince Rachid ben El-Hassan Alaoui)[795],[796]
Grande médaille de Vermeil de la ville de Paris, remise par le maire Bertrand Delanoë (2006)[797],[798]
Chevalier 3e classe de l'ordre du Mérite ukrainien pour une contribution personnelle significative au renforcement de la coopération interétatique, au soutien de la souveraineté de l’État et de l’intégrité territoriale de l’Ukraine, à la popularisation de l’État ukrainien dans le monde (par décret du Président Zelensky daté du 4 septembre 2023)[799],[800],[801]
- Médaille de la Fondation de la France libre (2018)[802]
Honneurs
- Premier parrain de la Patrouille de France (1988)[803]
- Citoyen d'honneur de la Ville de Colmar (2009)
- Une rue dans le quartier du Val-de-Moine à Cholet (Maine-et-Loire), est baptisée d'après le nom de l'acteur (2020)[804],[805].
Récompenses

Depuis les années 1960, Alain Delon a été récompensé dans différents pays : Allemagne, Argentine, Belgique, Égypte, Espagne, Italie, Maroc, Mexique, Pologne, Suisse, Roumanie, Russie, Sénégal, Taïwan, Turquie, Ukraine, souvent pour honorer l'ensemble de sa carrière[806].
- Prix Ciak d’oro 1961 : Récompensé avec Monica Vitti[807] pour l'Eclipse[808]
- Étoiles de cristal 1962 : meilleur acteur pour Quelle joie de vivre
- Victoires du cinéma français 1963 : meilleur acteur français pour Mélodie en sous-sol
- David di Donatello 1972 spécial
- Valentino d'Oro 1974 : Prix de l'acteur de l'année
- Kangouro d’Or : Prix décerné en 1977 à Dakar[810]
- Cérémonie des Golden Horse Awards 1981 : Prix spécial[811]
- César 1985 : César du meilleur acteur pour Notre histoire
- Bambi Awards 1987 : Bambi International[812],.
- Festival du film de Taormine 1989 : Prix pour l'ensemble de sa carrière
- Prix Sant Jordi du cinéma 1991 : Prix spécial du jury du meilleur film (Le Guépard), remis par le Ministre espagnol de la Culture Jordi Solé Tura[815],
- Berlinale 1995 : Ours d'or d'honneur
- Festival international du film de Mar del Plata 1997 : Prix pour l'ensemble de sa carrière, remis par Norma Aleandro[817],,[819]
- Goldene Kamera 1998 : Caméra d'Or (pour l'ensemble de sa carrière ; Belmondo reçoit la même récompense le même jour),[821]
- Festival international du film du Caire 1999 : Prix pour l’ensemble de sa carrière
- Festival international du film de Moscou 1998 : Georges d'honneur pour l'ensemble de sa carrière[822]
- Prix Flaiano 1999 : Prix pour l'ensemble de sa carrière.
- Telekamery Awards : Prix pour l’ensemble de sa carrière[824],[825]
- Mostra de Valence du cinéma méditerranéen 2000 : Palme spéciale[826]
- Trophée de l’Acteur mondial 2001, remis par Mikhaïl Gorbatchev lors de la cérémonie des Hommes de l’année 2001[827]
- Prix international de l'ONU et de l'Unicef comme Meilleur acteur de l'année (2003)[828]
- Festival international du film de Marrakech 2003 : Étoile d'Or
- Festival Faces of Love Film 2005 : Flèche d'argent
- Festival internatinoal du film d'Istanbul 2006 : Prix pour l'ensemble de sa carrière
- DIVA – Prix allemand du divertissement 2006 : DIVA Honorary Award
- Prix de l'Excellence française 2009
- Brutus du cinéma 2009 : Meilleur César
- Prix de la chaîne de télévision Telezvezda 2011 : Prix spécial en tant qu'invité d’honneur
- Festival du film d’Acapulco 2011 : Prix spécial[832]
- Festival international du film de Locarno 2012 : Lifetime Achievement Award
- Armenian Music Awards 2012 : Prix spécial
- Gérard du cinéma 2012 : Gérard du rôle de sa vie
- Festival international du film de Transylvanie 2017 : Prix pour l'ensemble de sa carrière,,
- Festival de Cannes 2019 : Palme d'honneur
Nominations
- Golden Globe de la révélation masculine de l'année pour Le Guépard
- Laurel Awards 1964 : 13e Top Male New Face.
- César 1977 : César du meilleur acteur pour Monsieur Klein
- César 1978 : César du meilleur acteur pour Mort d'un pourri
- Jupiter Awards 1982 : Meilleur Acteur International pour Trois Hommes à abattre
Annexes
Documentaires
En français
- Alain Delon, cet inconnu, Philippe Kohly, 2015[838].
- Alain Delon, la beauté du diable et les femmes, Antoine Lassaigne, 2018[839].
- Alain Delon, la solitude d’un fauve, Laurent Allen-Caron, 2019[840].
- Alain Delon, l'ombre au tableau, Daisy d'Errata, Karl Zéro, 2021[841].
- Romy et Alain, les éternels fiancés, Olivier Monssens, 2022[842].
- Alain Delon, confidentiel, Fabrice Babin, 2022[843].
- Delon, l’explosion d’une famille, Yves Couant, Jérémie Paire, Stéphanie Zenati, David Couloume et Fabrice Babin avec Manuela Braun et Floriane Soyer, 2024[844].
- Alain Delon : la guerre fratricide, Nathalie Renoux, 2024[845].
- Le Mystère Alain Delon, Nabila Zaknoun, 2024[846].
En anglais
- Discovering Alain Delon, Lyndy Saville, 2015.
En russe
- Vsevolod Tarasov et Marianna Pozdirka, Ален Делон. Мужчина на все времена (Alain Delon. Un homme pour toutes les saisons), 2010[848].
- Ален Делон. Уникальный портрет (Alain Delon. Un portrait unique.), 2024.
Articles
- Édouard Launet, « Un mythe vivant autoproclamé Alain Delon », Le petit livre des gros égos, Presses Universitaires de France, 2015, p. 9-12.
- Ginette Vincendeau, The perils of trans-national stardom: Alain Delon in Hollywood cinema, article pour la revue Mise au point, 2014[672].
- Sébastien Le Pajolec, « Les vies télévisuelles d’Alain Delon (1959-2003) », Télévision, vol. 6, no 1, 29 juin 2015, p. 63–80[849].
- Pierre Chédeville, « Alain Delon », Médium, vol. 51, no 2, 7 avril 2017, p. 67–75[850].
Bibliographie
De nombreux ouvrages (biographies, albums, roman, BD...) sont consacrés à Alain Delon, aussi bien en France qu'à l'étranger (Allemagne, Espagne, Grèce, Italie, États-Unis, Royaume-Uni, Russie)[851],[518].
Livres ayant pour sujet Alain Delon
- Olivier Dazat, Alain Delon, Seghers, , 191 p. (ISBN 978-2-232-10126-7)
- (de) Rein A. Zondergeld, Alain Delon. Seine Filme - sein Leben., Heyne Verlag, , 207 p. (ISBN 978-3-453-86070-4)
- (de) Rolf Aurich, Alain Delon, Henschel Verlag, , 104 p. (ISBN 978-3-894-87221-2)
- Collectif, Alain Delon, La Cinémathèque française, , 106 p. (ISBN 978-2-900596-15-9)
- Emmanuel Haymann, Alain Delon - Splendeurs et mystères d'une superstar, Favre, , 284 p. (ISBN 978-2-8289-0600-9)
- Henry-Jean Servat, Alain Delon l'insoumis (1957-1970), Albin Michel, , 100 p. (ISBN 978-2-226-11645-1)
- Bernard Violet, Les Mystères Delon - la biographie non autorisée, Flammarion, , 562 p. (ISBN 978-2-08-068105-8)
- Henry-Jean Servat, Alain Delon, l'indompté (1970-2001), Albin Michel, , 96 p. (ISBN 978-2-226-12193-6)
- Roberto Chiesi, Alain Delon, Gremese, , 128 p. (ISBN 978-88-7301-498-0)
- Philippe Durant, Alain Delon/Jean-Paul Belmondo - Destins Croisés, Editions Carnot, , 352 p. (ISBN 978-2-848-55084-8)
- Franck Prazan, Alain Delon - Mes années 50, COMMUNIC ART, , 68 p. (ISBN 978-2-916-27715-8)
- Franck Prazan et Christian Dureau, Delon-Romy: Ils se sont tant aimés, Éditions Didier Carpentier, , 133 p. (ISBN 978-2-841-67604-0)
- Philippe Crocq et Jean Mareska, Alain Delon et Romy Schneider: Les fiancés de l'éternel, Éditions Alphée, , 281 p. (ISBN 978-2-753-80557-6)
- Olivier Rajchman, Delon/Belmondo: L'Etoffe des héros, Timée-éditions, , 141 p. (ISBN 978-2-354-01234-2)
- Christian Dureau, Alain Delon en plein soleil, Didier Carpentier, , 141 p. (ISBN 978-2-84167-769-6)
- Nicole Calfan, Lettre entrouverte à Alain Delon, Éditions de l'Archipel, , 1 p. (ISBN 978-2-809-80772-1)
- Philippe Durant, Gabin, Ventura, Delon... Les légendes du Polar, Didier Carpentier, , 256 p. (ISBN 978-2-35584-322-8)
- (el) ΚΟΝΤΟΠΟΥΛΟΣ ΒΑΣΙΛΗΣ (Kontopoulos Vassilis), ΑΛΑΙΝ ΝΤΕΛΟΝ (ALAIN DELON), ΟΔΟΣ ΠΑΝΟΣ (Rue Panos), , 112 p. (ISBN 978-9-604-77194-3)[852]
- Patrice Leconte et Guillaume Evin, L'Encyclopédie Alain Delon, Hugo Image, , 216 p. (ISBN 978-2-7556-2495-3)
- Vincent Quivy, Alain Delon, ange et voyou, Le Seuil, , 416 p. (ISBN 978-2-02-130357-5, lire en ligne).
- Nick Rees-Roberts, Darren Waldron, Alain Delon : Style, Stardom and Masculinity, Bloomsbury Academic USA, 2017.
- Stéphane Guibourgé, La Mélancolie d'Alain Delon, Pierre-Guillaume de Roux, , 219 p. (ISBN 978-2-36371-190-8)
- Stéphane Dolivet, Alain Delon et moi, Éditions Les Cygnes, , 40 p. (ISBN 978-2-36944-285-1)
- Jean-Marc Parisis, Un problème avec la beauté - Delon dans les yeux, Fayard, , 320 p. (ISBN 978-2-213-69907-3)
- Baptiste Vignol, Alain Delon - Une carrière, un mythe, GM (Guy Messina), , 144 p. (ISBN 978-2-37797-065-0)
- Jean-Jacques Jelot-Blanc, Alain Delon: Ses plus belles images de films, AKFG Editions, , 168 p. (ISBN 979-1-095-06144-1)
- Isabelle Giordano, Alain Delon film par film, Gallimard, , 240 p. (ISBN 978-2-7424-5973-5)
- Baptiste Vignol, Alain Delon - Le dernier guépard, Gründ, , 240 p. (ISBN 978-2-324-02620-1)
- Christophe Leclerc, Alain Delon - L'acteur qui offre son âme, L'Harmattan, , 160 p. (ISBN 978-2-343-19414-1)
- Patrick Manchette, Je vais faire du cinema ! Alain Delon Genèse, Patrick Manchette, (ISBN 978-2-957-52340-5)
- (de) Thilo Wydra, Eine Liebe in Paris - Romy und Alain, Heyne Taschenbuch, , 368 p. (ISBN 978-3-453-60619-7)
- Jean-Marc Parisis, Un problème avec la beauté - Delon dans les yeux, Le Livre de Poche, coll. « (hors collection) », , 272 p. (ISBN 978-2-253-23781-5)
- (ru) Брагинский Александр (Alexander Braginsky), Ален Делон без маски (Alain Delon sans masque), Зебра-Е (Zebra-E), , 432 p. (ISBN 978-5-907164-93-2)
- (ru) (Пронченко Зинаида Сергеевна) Pronchenko Zinaida Sergeevna, Ален Делон (Alain Delon), Санкт-Петербург (Saint-Pétersbourg), Сеанс, , 272 p. (ISBN 978-5-6042795-0-2)
- Laurent Galinon, Delon en clair-obscur, Mareuil, , 220 p. (ISBN 978-2-37254-265-4).
- Collectif, Delon - En large et en travers, Marabout, , 256 p. (ISBN 978-2-501-17108-3)
- Jérôme d'Estais, Schneider, Adjani, Delon et les autres, Marest, , 64 p. (ISBN 978-2-263-00590-9)
- (it) Massimo Moscati, Alain Delon. L'ultimo divo, Bibliotheka Edizioni, , 288 p. (ISBN 978-8-869-34819-8)
- Denitza Bantcheva et Liliana Rosca, Amours et mémoires, Marabout, , 208 p. (ISBN 979-10-401-1374-4)
- (es) Javier Salvago, La primera que lo llamo Alain Delon (Roman), Editorial Renacimiento, , 292 p. (ISBN 978-84-19617-87-3)
- Christiane Brandon, Alain Delon, notre idole, notre tout, Amalthée, , 278 p. (ISBN 978-2-310-05511-6)
- (de) Peter Bentz, Alain Delon, Bookmundo, , 84 p. (ISBN 978-9-403-71144-7)
- Bernard Pascuito, Delon, une vie aux aguets, L'Archipel, 2024 (29 août 2024), 360 p. (ISBN 978-2-8098-4267-8)
- Philippe Durant, Alain Delon, un destin français, Nouveau Monde, , 884 p. (ISBN 9782334181693).
- Marc Dufaud, Alain Delon, Casa, , 120 p. (ISBN 978-2-38058-562-9)
- Samuel Blumenfeld, Delon Belmondo - Un couple impossible, Éditions des Équateurs, (ISBN 978-2-38284-595-0)
- Bernard Violet, Les derniers mystères Delon - Tous ses secrets révélés, Robert Laffont, , 714 p. (ISBN 9782221277706)
- Thierry Drocourt, Alain Delon - Je vais faire du cinéma, Balland, , 230 p. (ISBN 9782940515936)
- Laurence Pieau, François Vignollet, Les derniers jours du samouraï, Robert Laffont, , 352 p. (ISBN 9782221280508)
Autres ouvrages en relation avec Alain Delon
- Jacques Rémy, La fabuleuse aventure de Marco Polo, Robert Laffont, , 244 p. (ISBN 978-2-221-20570-9)
- Collectif, Les Bugatti d'Alain Delon, Éditions de l'Amateur, , 86 p. (ISBN 978-2-85917-073-8)
- Les grandes rencontres, Paul Giannoli, Presses de la Cité, , 315 p.
- Carlo Scaringi, Zorro, Gremese, , 78 p. (ISBN 978-88-7301-355-6)
- Gaia Servadio, Luchino Visconti : a biography, F. Watts, , 262 p. (ISBN 978-0-297-77812-7)
- Jacques Lamalle, Ca, c'est du cinéma ! : le 7e Art et la manière, Les Dossiers du Canard, 1987.
- Collectif, Les Bugatti d'Alain Delon, Éditions de l'Amateur, , 86 p. (ISBN 978-2-85917-073-8)
- Renate Seydel, Romy Schneider : images de ma vie, Schirmer-Mosel, 1988.
- Collectif, Nouvelle Vague, L'Avant-Scène Cinéma, 1990, 144 p.
- Yvan Chiffre, A l'ombre des stars : 30 ans d'action dans le cinéma, Denoël, 1992.
- Henriette Marello et Sylvie Renoir, La Cantinière du cinéma - Belmondo, Delon et les autres, Ramsay, , 234 p. (ISBN 978-2-84114-020-6)
- Carlo Scaringi, Zorro, Gremese, 1999.
- Henri Agel, Le beau ténébreux à l'écran, l'Harmattan, 2000.
- Dimitra Stavropoulou, Les stars masculines de cinéma comme mythes et symboles dans la société contemporaine, ANRT, 2000.
- José Giovanni, Mes grandes gueules - Mémoires, Fayard, 2002.
- Ginette Vincendeau, Jean-Pierre Melville : an American in Paris, BFI, 2003.
- Alain Brassart, Les jeunes premiers dans le cinéma français des années 60, Cerf, , 395 p. (ISBN 978-2-204-07489-6)
- Denitza Bantcheva, René Clément, Editions du Revif, 2008.
- Ginette Vincendeau, Les stars et le star-système en France, L'Harmattan, , 316 p. (ISBN 978-2-296-06686-1)
- Philippe Durant, La Bande à Gabin, Points Virgule, 2011.
- Augustin Burger, Jacques Deray : un cinéaste à mi-chemin, Le Bord de l'eau, 2012.
- Diane Arnaud, Changements de têtes de Georges Méliès à David Lynch, Rouge Profond, , 222 p. (ISBN 978-2-915083-50-7)
- Hohannes Thiele, Romy Schneider, Place des Victoires, , 319 p. (ISBN 978-2-8099-0448-2)
- Jean-François Rauger, L'œil qui jouit, Yellow Now, 2012.
- Denitza Bantcheva, Un florilège de Joseph Losey, Editions du Revif, 2014.
- Michael Hone, French Homosexuality : From Henri III to Alain Delon, 2017.
- Olivier Mongin, Visages de la France : les acteurs, images d'une nation : un cinéroman, Bayard, 2018.
- Géraldine Danon, Fille à papa, Le Cherche Midi, , 144 p. (ISBN 978-2-7491-6357-4)
- Collectif, De la race des seigneurs, Stock, , 252 p. (ISBN 978-2-234-08607-4)
- Philippe Lombard, Les grandes gueules du cinéma français, Hugo Document, (ISBN 978-2-7556-9211-2)
- Anthony Delon, Entre chien et loup, Points, , 192 p. (ISBN 979-10-414-1061-3)
- Collectif, Les Misérables, L'Avant-Scène Cinéma, , 288 p. (ISBN 978-2-84725-204-0)
- Robert Pico, Delon et compagnie, Liber Mirabilis, , 208 p. (ISBN 9782851230614)
- Philippe Brunel, Le cercle des obligés, Grasset, , 240 p. (ISBN 9782246841425)
- Philippe Brunel, Un cadavre sur la route de l'Élysée - Les derniers secrets de l'affaire Markovic, J'ai Lu, , 384 p. (ISBN 9782290422878)
- Jacques Demange, Tom Ripley ou le complexe de la surface, Presses Universitaires De Dijon, , 150 p. (ISBN 9782364415416)
En tant qu'auteur
- Alain Delon (auteur), Philippe Barbier (auteur), Brigitte Bardot (préface), Delon : Les femmes de ma vie, Editions Carpentier, 2011, 160 p. (ISBN 284167715X).
Préfaces
- Jean Cau, Le Candidat, Xenia 2007.
- Norbert Saada, Mathieu Alterman ; préface par Alain Delon, Norbert Saada : producteur de légendes, Ramsay, 2021.
- Luc Larriba, La Piscine ; avant-propos écrit par Alain Delon, Huginn & Muninn, 2022.
Bandes dessinées et Mook (livre-magazine)
- Jean-Yves Le Naour et Emmanuel Cassier (dessin), L'Affaire Markovic, Bamboo, 2022.
Mook (livre-magazine)
- Schnock (no 37), Alexandre Chabert, La Tengo, diffuseur Flammarion, 2020.
Périodiques
Périodiques francophones[853]
- Amis du Film et de la TV, no 097, mai-juin 1964. Jacques Lombart, Nouveau no 1 du Cinéma Français et à 28 ans, le plus jeune producteur du monde : Alain Delon
- Amis du Film et de la TV no 250, mars 1977. Dites-moi Mr Alain Delon (Entretien)
- Avant-Scène Cinéma, no 041, 1er octobre 1964. A. G. Brunelin, Alain Delon
- Avant-Scène Cinéma, no 261, 1er février 1981. Alain Delon
- Cahiers de la Cinémathèque, no 57, octobre 1992. Jean-Paul Gorce, Delon-Tonkin
- Cahiers du Cinéma, no 501, avril 1996. Jean-François Rauger, Alain Delon, l'unique et son double
- Cahiers du Cinéma, no 501, avril 1996. Thierry Jousse ; Serge Toubiana, Entretien avec Alain Delon
- Ciné Révélation, no 229, 21 août 1958. Simone Huinh, Alain Delon...
- Ciné-Bulles, vol. 19, no 4, automne 2001. Michel Coulombe, Le procès Delon
- Cineforum, vol. 49, no 483, avril 2009. Sergio Arecco, Notti sulla città
- Cinéma 59, no 35, avril 1959. Jeunes espoirs
- Cinéma 63, no 78, juillet 1963. Petit lexique des acteurs français d'aujourd'hui
- Cinéma 64, no 84, mars 1964. Pierre Billard ; André G. Brunelin, Delon no 1 ou la preuve par 4
- Cinéma Français, no 01, mai 1976. Alain Delon (Entretien)
- Cinéma Français, no 10, mars 1977. Alain Delon
- Cinéma Français, no 12, mai 1977. Gros plan : Alain Delon
- Cinéma Français, no 38, octobre 1980. Producteur, acteur, Alain Delon ou le sens du défi (Entretien)
- Ciné-Magazine, no 4, février 1977. Dialogues avec Alain Delon (Entretien)
- Cinématographe, no 050, septembre 1979. Olivier Dazat, Alain Delon : le parcours du combattant
- Cinématographe, no 103, septembre 1984. Alain Delon (Dossier)
- La Cinématographie Française, no 2062, mai 1964. Alain Delon 1964-1965
- Cinématographie Française, no 2069, 13 juin 1964. Guy Allombert, Alain Delon : Avoir des coudées franches (Entretien)
- Cinémonde, no 1317, 3 novembre 1959. Alain Delon et Romy Schneider
- Cinémonde, no 1348, 7 juin 1960. Henri Rode, Alain Delon...
- Cinémonde, no 1435, 6 février 1962. Alain Delon : Je suis comme je suis
- Cinémonde, no 1545, 17 mars 1964. Pierre Guenin, Opinion publique : Alain Delon a-t-il vraiment la cote d'amour ? (Entretien)
- Cinémonde, no 1550, 21 avril 1964. Jean Durand, Les grands rivaux du Box-office : Alain Delon - J.-P. Belmondo
- Cinémonde, no 1566, 11 août 1964. De Romy à Nathalie la corde au cou pour Alain Delon
- Cinémonde, no 1569, 1er septembre 1964. New-York - Alain et Nathalie : Just Married
- Cinémonde, no 1604, 4 mai 1965. Henri Rode, Ne tirez pas sur Alain Delon. Une interview exclusive
- Cinémonde, no 1612, 29 juin 1965. Les confidences exclusives d'Alain Delon (à suivre)
- Cinémonde, no 1624, 2 novembre 1965. Henri Rode, J'ai 30 ans et je m'en fous (Entretien)
- Cinémonde, no 1639, 15 février 1966. Tout ce que vous devez savoir sur Alain Delon
- Cinémonde, no 1654, 3 juin 1966. Une partie de campagne chez les Delon : Quelle joie de vivre
- Cinémonde, no 1670, 6 décembre 1966. Henri Rode, L'insupportable et dévastateur Monsieur Delon
- Cinémonde, no 1698, 20 juin 1967. Henri Rode, Alain Delon no 1 de nos jeunes premiers prend son 2e souffle (à suivre)
- Cinémonde, no 1745, 14 mai 1968. Alain Delon, un héros de notre temps
- Cinémonde, no 1828, 24 mars 1970. Face à face Delon-Belmondo (Enbtretien)
- Ciné-Revue, vol. 34, no 49, 6 décembre 1954. Le bouleversant pardon d'Alain Delon à son fils : Je ne lui en veux pas. J'ai simplement peur pour lui
- Ciné-Revue, vol. 38, no 52, 26 décembre 1958. Robert Chazal, Alain Delon...
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Articles connexes
Notes et références
Notes
- ↑ « Mon père (sic) tenait une charcuterie importante et dès que je fus en état de travailler, on me plaça à la cuisine pour préparer le foie d'oie et pour apprendre à couper de fines tranches de salami et des choses du même genre[30]. »
- ↑ « Le seul travail que je pouvais faire, c'était aux marchés généraux de Paris. Je chargeais et déchargeais des caisses de fruits et de viande. Le soir, j'avais un autre travail. J'étais garçon dans un café du côté des Champs-Élysées[d]. »
Références bibliographiques
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