Stevie Wonder

Stevie Wonder
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Stevie Wonder en 1994.
Biographie
Naissance
(74 ans)
Saginaw
Nom de naissance
Steveland Judkins
puis Steveland Morris
Pseudonymes
Stevie Wonder, Eivets Rednow, Little Stevie Wonder, El Toro Negro
Nom court
Stevie Wonder
Nationalités
ghanéenne (depuis le )
américaine
Formation
Michigan School for the Blind (en)
Activités
Période d'activité
Depuis
Mère
Conjoint
Syreeta Wright (de à )
Enfants
Aisha Morris ()
Keita Morris ()
Parentèle
Michael Jackson (cousin au troisième degré)
Autres informations
Tessiture
Instrument
Label
Personne liée
Ted Hull () (tuteur ou tutrice)
Genre artistique
Influencé par
Site web
Distinctions
Discographie
Discographie de Stevie Wonder (en)
signature de Stevie Wonder
Signature

Stevie Wonder, né Stevland Hardaway Judkins le à Saginaw (Michigan)[1], est un auteur-compositeur-interprète américain, également naturalisé ghanéen, aveugle depuis sa petite enfance. Il est considéré comme l'un des plus grands artistes américains de la seconde moitié du XXe siècle et possède l'une des carrières les plus prolifiques de la musique populaire américaine.

Sa discographie, commencée dès l'âge de 11 ans, compte en 2021 pas moins de 23 albums studio, trois albums de musique de film, quatre albums live, onze compilations et 101 singles. Par ailleurs, aux États-Unis, 49 de ses chansons ont figuré dans le Top 40 et 10 à la première place du Billboard Hot 100. Au total dans le monde, 32 de ses singles ont été no 1 des ventes de disques[2].

Stevie Wonder a vendu plus de 100 millions d'albums[3], a reçu 25 Grammy Awards et remporté en 1984 un Oscar de la meilleure chanson originale pour I Just Called to Say I Love You, au cours d'une carrière qui s'étend sur plus d'un demi-siècle et qui aborde de nombreux genres musicaux (comme le funk, le rhythm and blues, la soul ou encore la pop).

Biographie

Débuts (1961-1970)

Stevie Wonder à la fin des années 60.

Il est le troisième enfant d'une famille qui en compte six. Son père est Calvin Judkins, marchand de rue vivant d'une petite pension militaire[4], et sa mère Lula Mae Hardaway, née Lula May Pitts le 11 janvier 1932, serveuse qui a eu précédemment deux fils avec Paul Hardaway et qui, en tant qu'auteure-compositrice, co-écrira plusieurs chansons de son fils[5]. Né prématurément, Stevie Wonder est placé dans une couveuse mais perd la vue à la suite d'une oxygénothérapie avec des niveaux trop élevés d'oxygène[6] qui provoquent une rétinopathie du prématuré[7]. Parce qu'il a survécu, Stevie Wonder se croira toujours porté par la chance[8].

Stevie Wonder en 1967.

À l'âge de quatre ans, il déménage à Détroit avec sa mère qui a quitté Calvin pour retrouver son compagnon Paul Hardaway. Il sera rebaptisé Steveland Morris après le second mariage de sa mère. Sa famille vit dans la pauvreté. Il maîtrise de nombreux instruments dès son enfance, notamment le piano, l'harmonica ainsi que divers instruments de percussion. À 8 ans, il a commencé à chanter dans la chorale de l’Église baptiste de Whitestone[9]. Il enregistre également, son mentor Clarence Paul le formant au piano et à la composition après ses cours à l'école. Il est découvert par Ronnie White, alors compositeur au sein du groupe The Miracles aux côtés de Smokey Robinson. Stevie signe pour le label Tamla dès l'âge de onze ans, et son premier album est édité sous le nom de Little Stevie Wonder en 1962. Le producteur Clarence Paul lui donne ce surnom de « Little Stevie Wonder » (« Stevie la Petite Merveille ») après avoir reconnu que : « Nous ne pouvons pas l’appeler indéfiniment la huitième merveille du monde » (We can't keep calling him the eighth wonder of the world). Il obtient rapidement son premier succès avec la chanson numéro un au hit-parade Fingertips. Ses compositions apparaissent sur ses propres disques ainsi que sur ceux d'autres artistes du label Motown. Berry Gordy, le fondateur de la Motown, en fait un enfant star, les premiers disques de Little Stevie générant un chiffre d'affaires de 30 millions de dollars[8]. L'expiration de son contrat en 1966 fait douter Gordy de le refaire signer car les ventes du chanteur baissent et sa voix mue avec la puberté, mais la compositrice et productrice Sylvia Moy convainc la Motown de lui donner une dernière chance[10]. Stevie Wonder apporte une réponse à leurs doutes. Voulant son indépendance financière, après de longues tractations avec Berry Gordy, il commence à assurer lui-même le rôle de producteur sur l'album Signed, Sealed and Delivered sorti en 1970[11]. Durant l'été 1969, il se produit au Harlem Cultural Festival[12].

Période des classiques (1971-1978)

Il obtient une liberté artistique complète avec l'album Where I'm Coming From en 1971[8].

L'album Music of My Mind sorti en 1972 est entièrement réalisé par l'artiste, composition, chant, instruments, production (seuls un solo de trombone de Art Baron dans Love Havin' You Around, un solo de guitare de Buzz Feiton dans Superwoman ne sont pas l'œuvre de Stevie Wonder), qui commence à utiliser des synthétiseurs Moog et ARP que lui ont fait découvrir les pionniers de la musique électronique Robert Margouleff et Malcolm Cecil [13]. Music of My Mind n'est pas composé d'une suite de singles, comme ses albums précédents, mais conçu comme un tout cohérent. Dans les albums suivants, Talking Book et Innervisions (placé par le magazine Rolling Stone à la 23e place de sa liste des « 500 meilleurs albums de tous les temps » en 2003[14]), Wonder aborde des thèmes sociaux dans des chansons comme Big Brother ou Living for the City, mais continue de rencontrer le succès avec, par exemple, la pièce Superstition, qui atteint la première place des hit parades dans les catégories pop et rhythm and blues, ou encore la ballade You Are the Sunshine of My Life[15]. Il se produit aussi le 4 octobre 1975 à Kingston en Jamaïque, aux côtés de Bob Marley pour le Wonder Dream Concert, dont les bénéfices sont reversés à l'Institut jamaïcain pour les aveugles[16]. Le double album Songs in the Key of Life, sorti en 1976, contient les hits I Wish et Sir Duke — enregistré en hommage à Duke Ellington — qui se classent en tête du classement des meilleures ventes aux États-Unis[17]. Le magazine Rolling Stone le place à la 3e place de sa liste des « 500 meilleurs albums de tous les temps » en 2020.

En 1977, il participe au FESTAC 77, un festival des cultures et arts noirs et africains qui se tient à Lagos, au Nigeria, et réunit près de 60 pays[18].

Période commerciale (1979-1987)

En 1980, la chanson Happy Birthday extraite de l'album Hotter than July milite pour l'institution d'un jour férié national en mémoire du révérend Martin Luther King. La détermination de Stevie Wonder porte ses fruits en 1986 lorsque Ronald Reagan introduit dans la législation américaine le troisième lundi du mois de janvier comme jour férié à la mémoire de Martin Luther King. Sur le même album, il rend hommage au chanteur jamaïcain Bob Marley avec le titre Master Blaster (Jammin').

Toujours en 1980, il participe activement à l'album Let's Get Serious[19] de Jermaine Jackson qui obtiendra son premier no 1 dans les charts R&B avec la chanson titre de l'album avec un featuring percutant, la présence artistique importante de Stevie a été déterminante pour son ami et ex-chanteur des Jackson 5 dans la suite de sa carrière. En 1982, Stevie Wonder interprète Ebony and Ivory en compagnie de l'ex-Beatle Paul McCartney, la chanson figure sur l'album Tug of War de McCartney et se classe première des charts britanniques. Avec I Just Called to Say I Love You, composée pour le film La Fille en rouge (The Woman in Red), Stevie Wonder remporte l'Oscar de la meilleure chanson originale[20] ; il obtient également son premier numéro un au Royaume-Uni en tant qu'artiste solo, le titre se classant en tête des charts durant six semaines d'affilée en 1984. Il figure parmi les vingt meilleures ventes de l'histoire au Royaume-Uni.

L'année suivante, Stevie Wonder fait partie du collectif de quarante-quatre artistes baptisé USA for Africa qui interprète la chanson caritative We Are the World, et réalise l'album In Square Circle qui renferme un nouveau hit, Part-Time Lover.

En 1987, son album Characters remporte un grand succès notamment grâce à la chanson Free. Cet album contient notamment un duo avec le chanteur Michael Jackson, pour la chanson Get It.

La même année, il chante un duo avec Michael Jackson présent sur l'album Bad, dans le titre Just Good Friends.

Deuxième partie de carrière (1988-2001)

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Stevie Wonder en 1994.

Il est intronisé au Rock and Roll Hall of Fame en 1989, un Grammy award récompensant l'ensemble de sa carrière (Lifetime Achievement Award) lui est décerné en 1996.

En 1991, il écrit la bande originale du film Jungle Fever réalisé par Spike Lee.

En 1995, il sort l'album Conversation Peace après 8 ans de réalisation.

Carrière récente (depuis 2002)

Un Grammy Hall of Fame award est décerné au single Superstition en 1998, les albums Talking Book et Innervisions sont primés l'année suivante, ainsi que Songs In The Key Of Life et le single You Are the Sunshine of My Life en 2002. Au cours de l'année 2006, il collabore avec certains rappeurs tels que Busta Rhymes ou Snoop Doggy Dogg.

L'album A Time to Love sort en 2005, 10 ans après le précédent album studio.

Il participe à la campagne de Barack Obama en se produisant à ses meetings (il adapte notamment I Wish et Sir Duke en modifiant les paroles) et en enregistrant un clip politique en sa faveur.

Le 19 janvier 2009, il interprète aux côtés de la chanteuse colombienne Shakira et d'Usher Higher Ground, devant près de 300 000 personnes au concert suivant la victoire de Barack Obama[21].

Le , Stevie Wonder est invité pour clore le Festival Mawazine Rythmes du Monde de Rabat[22].

Le 30 juin 2009, Stevie Wonder est invité pour ouvrir le festival de jazz de Montréal devant une foule de 200 000 personnes[23].

Stevie Wonder en 2009.

Le 7 juillet 2009, il chante à la cérémonie d'hommage à Michael Jackson.

Lors des concerts du 25e anniversaire en l'honneur du Rock and Roll Hall of Fame se déroulant le 29 et 30 octobre 2009, Stevie interprète The way you make me feel de son défunt ami Michael Jackson, et fond en larmes durant son interprétation.

Le 3 décembre 2009, lors de la Journée internationale des personnes handicapées, il est nommé « Messager de la paix » au siège de l'ONU[24].

Le 6 mars 2010, il reçoit la médaille de commandeur des Arts et des Lettres[25], puis une Victoire d'Honneur aux Victoires de la musique 2010.

Le 4 juillet 2010, Stevie Wonder, dans le cadre de sa venue en France (seulement 3 concerts) se produit aux arènes de Nîmes[26].

Le 29 septembre 2011, il se produit sur scène, à l'occasion du festival « Rock in Rio 4 ».

Le 18 février 2012, lors de la cérémonie d'adieu à Whitney Houston, Stevie a rendu un hommage vibrant à celle qu'il considérait comme une amie très proche. Il a interprété avec beaucoup d'émotion la chanson Ribbon in the Sky, dont il a adapté les paroles pour l'occasion. Ils s'étaient produits ensemble plusieurs fois, notamment pour Love is in Need for Love[27].

Il participe également à un concert donné à Londres lors du jubilé de diamant de la reine Élisabeth II le .

Il participe au Festival d'été de Québec le . Ce spectacle, dédié aux victimes de la tragédie de Lac-Mégantic, est la conclusion de la 46e édition du festival. Il affirme lors de ce concert qu'il avait pris la décision qu'il ne jouerait plus jamais en Floride ou dans une autre partie du monde où une loi « Stand Your Ground » existe[28].

Stevie Wonder chante sur l'album de Céline Dion Loved Me Back to Life, sorti en 2013, où ils reprennent le tube Overjoyed ensemble.

Stevie Wonder participe à la cérémonie des Grammy Awards le 26 janvier 2014 en effectuant une prestation live aux côtés de Daft Punk, Pharrell Williams, Nile Rodgers et Nathan East.

En 2016 il chante en duo avec Ariana Grande le titre Faith pour le film d’animation Tous En Scène.

Vie privée

Il a été marié à la chanteuse Syreeta Wright et à Kai Millard Morris. Il est actuellement marié à Tomeeka Robyn Bracy[29],[30]. Il est le père de neuf enfants[31].

Le chanteur a deux enfants avec Kai Millard Morris (Mandla et Kailand), deux avec Yolande Simmons (Keita et Aisha), un fils avec Melody McCulley (Mumtaz) mais également deux autres issus de relations précédentes et dont le nom des mères n'a jamais été dévoilé (Kwame et Sophia), et il a avec Tomeeka Robyn Bracy deux enfants également (Izaiah et Nia)[31].

Le 13 mai 2024, jour du 74e anniversaire de Wonder, le président ghanéen Nana Akufo-Addo lui a conféré la citoyenneté ghanéenne. Stevie Wonder a prêté le serment d'allégeance et a reçu son certificat de citoyenneté à Jubilee House à Accra[32].

Tout en étant non-voyant depuis l'enfance, il est synesthète musique-couleurs et cela influence sa création[33].

Impact

Musique novatrice

Le grand succès de Stevie Wonder eut un impact important sur la musique moderne.

De nombreux musiciens ou personnages publics citent Stevie Wonder comme une influence majeure : Michael Jackson, Lady Gaga, Ariana Grande, Stevie Ray Vaughan, India.Arie, Barack Obama, Blackstreet,Gloria Estefan, Musiq Soulchild, George Michael, The Neptunes, Luciano Pavarotti, Tupac Shakur, Will Smith, Coolio, Snoop Dogg, Kirk Franklin, Mary J. Blige, Mariah Carey, Babyface, Kelis, Donell Jones, Jermaine Jackson, Janet Jackson, Luther Vandross, NSYNC, Glenn Lewis, Dru Hill, Boyz II Men, Alicia Keys, Eric Hutchinson, Carrie Underwood, Lustevie, Elton John, John Legend, Prince, Bruno Mars, Anthony Kiedis (chanteur du groupe rock Red Hot Chili Peppers), Roger Troutman, Sting, Beyoncé Knowles, Aaliyah, Brandy, Justin Timberlake, Ashanti, Shogo Hamada, Nevaeh Chen Jason Kay (chanteur de Jamiroquai), Hikaru Utada, Ken Hirai, Whitney Houston, Major, Wang Leehom, Lenny Kravitz, Glenn Hughes et Erykah Badu.

Stevie Wonder est apparu comme musicien, chanteur ou choriste avec de nombreux autres artistes, y compris Michael Jackson, Ariana Grande, Carly Simon, Busta Rhymes, Quincy Jones, Sting, Ray Charles, Pointer Sisters, Barbra Streisand, Andrea Bocelli, Jeff Beck, Snoop Dogg, Elton John, Lenny Kravitz, Billy Preston, James Taylor, Roberta Flack, Smokey Robinson, Paul McCartney, Tony Bennett, Frank Sinatra, Queen Latifah, The Supremes, Babyface, The Beach Boys, Chaka Khan, Herbie Hancock (Man-Child), Luther Vandross, The Temptations, Gloria Estefan, Andraé Crouch, Pascal Moragues, Jermaine Jackson, John Denver, BeBe Winans, Julio Iglesias, Don Henley, Take 6, The Flying Burrito Brothers, Rod Stewart, The Gap Band, NSYNC, The Manhattan Transfer, Donna Summer, Eurythmics, B. B. King, Jon Gibson (Have a Talk With God), Paula Abdul, Whitney Houston, Dionne Warwick, Raphael Saadiq, Usher, Shakira, Justin Bieber, Kassav', Daft Punk, Travis Scott et Bob Marley.

Stevie Wonder était présent pour rendre hommage à son ami, à la suite du décès de Michael Jackson, Stevie Wonder a déclaré : « Le plus important est l’héritage musical qu’il nous a laissé. Nous devons le célébrer et pas le pleurer. Il ne faut pas tomber dans la négativité ». Lors de l'hommage rendu au roi de la Pop le 7 juillet 2009 au Staples Center de Los Angeles, Stevie Wonder a interprété les chansons Never dreamed you'd leave in summer et They Won't Go When I Go, précédées d'un arrangement pour piano de I Can't Help It, chanson présente sur l'album Off the Wall de Michael et composée par Stevie. Tous deux avaient fait partie de l'écurie Motown de Berry Gordy dans les années 1960/1970.

Discographie

Albums studio

Un album Gospel Inspired By Lula est annoncé en 2013[34]. Le projet est toujours d'actualité en 2020[35], mais n'est toujours pas publié (2024).

Albums en public

Compilations

  • 1968 : Greatest Hits (Motown)
  • 1971 : Stevie Wonder's Greatest Hits Vol. 2 (Motown)
  • 1977 : Looking Back (a.k.a. Anthology) (Motown)
  • 1982 : Stevie Wonder's Original Musiquarium I (Motown)
  • 1996 : Song Review - A Greatest Hits Collection (Motown)
  • 1999 : Ballad Collection (Motown)
  • 1999 : At the Close Of a Century (coffret quatre disques - Motown)
  • 2002 : The Definitive Collection (Motown)
  • 2005 : The iTunes Stevie Wonder Boxset (Motown)
  • 2007 : Number Ones (Motown)

Album hommage

Récompenses

Il est récompensé du prix Polar Music en 1999.

Grammy Awards

Stevie Wonder a été nommé à 74 reprises et a reçu 25 récompenses aux Grammy Awards[36].

Grammys award obtenus par Stevie Wonder
Année Prix Titre
1973 Prix Grammy de la Meilleure chanson R&B Superstition
1973 Prix Grammy de la Meilleure interprétation vocale R&B masculine Superstition
1973 Prix Grammy de la Meilleure interprétation vocale pop masculine You Are the Sunshine of My Life
1973 Prix Grammy du producteur de l'année Innervisions
1973 Prix Grammy du Meilleur Album de l'Année Innervisions
1974 Prix Grammy de la Meilleure chanson R&B Living for the City
1974 Prix Grammy de la Meilleure interprétation vocale R&B masculine Boogie On Reggae Woman
1974 Prix Grammy de la Meilleure interprétation vocale R&B masculine Fulfillingness' First Finale
1974 Prix Grammy du producteur de l'année Fulfillingness' First Finale
1974 Prix Grammy du Meilleur Album de l'Année Fulfillingness' First Finale
1976 Prix Grammy de la Meilleure interprétation vocale R&B masculine I Wish
1976 Prix Grammy de la Meilleure interprétation vocale pop masculine Songs in the Key of Life
1976 Prix Grammy du producteur de l'année Songs in the Key of Life
1976 Prix Grammy du Meilleur Album de l'Année Songs in the Key of Life
1985 Prix Grammy de la Meilleure interprétation vocale R&B masculine In Square Circle
1986 Prix Grammy de la Meilleure Interprétation vocale pop à duo ou groupe (Dionne Warwick, Elton John, Gladys Knight, S. Wonder) That's What Friends Are For
1995 Prix Grammy de la Meilleure chanson R&B For Your Love
1995 Prix Grammy de la Meilleure interprétation vocale R&B masculine For Your Love
1996 Prix Grammy à toute une vie For Your Love
1998 Prix Grammy du Meilleur arrangement et accompagnement vocal/instrumental (Herbie Hancock, Robert Sadin, et S. Wonder) St. Louis Blues
1998 Prix Grammy de la Meilleure interprétation vocale R&B masculine St. Louis Blues
2002 Prix Grammy de la Meilleure Interprétation vocale R&B à duo ou groupe (Take 6 et S.Wonder) Love's in Need of Love Today
2005 Prix Grammy de la Meilleure interprétation vocale pop masculine From the Bottom of My Heart
2005 Prix Grammy de la Meilleure Interprétation vocale R&B à duo ou groupe (Beyoncé Knowles et S. Wonder) So Amazing
2006 Prix Grammy de la Meilleure collaboration vocale pop (Tony Bennett et S. Wonder) For Once In My Life

Oscars

1985 : Oscar de la meilleure chanson originale pour I Just Called To Say I Love You dans La Fille en rouge (The Woman in Red) de Gene Wilder

Distinctions

Honneur

Décorations

Notes et références

  1. (en) Richard Williams, « Stevie Wonder | Biography, Albums, Songs, & Facts », sur Encyclopædia Britannica, (consulté le ).
  2. Chiffres sur Stevie Wonder, site de l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle.
  3. (en) « A Time To Love », sur steviewonder.net (consulté le ).
  4. (en) Dennis Love et Stacy Brown, Blind Faith. The Miraculous Journey of Lula Hardaway, Stevie Wonder's Mother, Simon & Schuster, , p. 59.
  5. « Stevie Wonder envisage un gospel en arabe pour chanter "la parole de Dieu" », sur lepoint.fr, .
  6. Dans la couveuse d'à côté, une petite fille meurt du même problème.
  7. Stéphane Kœchlin, « Stevie Wonder : Un soir pour retrouver sa couronne », sur Le Figaro, (consulté le ).
  8. a b et c Documentaire d’Hannes Rossacher « Stevie Wonder, Soul Genius », Kobalt Productions, 2013, 52 min.
  9. Giles Smith, « The Enduring Otherworldliness of Stevie Wonder », The New Yorker,‎ (lire en ligne)
  10. (en) Tenley Williams et James S. Brady, Stevie Wonder, Infobase Publishing, , p. 30.
  11. (en) Bob Gulla, Icons of R&B and Soul : Smokey Robinson and the Miracles ; The Temptations ; The Supremes ; Stevie Wonder, Greenwood Publishing Group, (lire en ligne), p. 311-312.
  12. (en-US) Jonathan Bernstein, « This 1969 Music Fest Has Been Called 'Black Woodstock.' Why Doesn't Anyone Remember? », sur Rolling Stone, (consulté le ).
  13. Gulla 2008, p. 321.
  14. (en) Le top 500 des meilleurs albums de tous les temps.
  15. Gulla 2008, p. 319.
  16. Jean Morel, « Le jour où Bob Marley a rencontré et joué avec Stevie Wonder », sur novaplanet.com, (consulté le ).
  17. Gulla 2008, p. 322.
  18. (en) « The History of the World Festival of Black Arts & Culture / FESTAC », sur Afropop, (version du sur Internet Archive).
  19. (en) « Album Let's Get Serious (1980) + crédits albums ».
  20. (en) « The Official Academy Awards Database », sur awardsdatabase.oscars.org (consulté le ).
  21. (en) Crowds, stars transform National Mall into roaring celebration sur www.rockymountainnews/news, 19 janvier 2009.
  22. « STEVIE WONDER », sur festivalmawazine.ma
  23. « Le Devoir.com », sur ledevoir.com (consulté le ).
  24. (en) Rechercher « Stevie Wonder » sur www.un.org/disabilities.
  25. « Stevie Wonder, commandeur des Arts et des Lettres, dédie sa médaille à sa mère », (consulté le ).
  26. Annonce dans le reportage du JDD, lejdd.fr, 2 juillet 2010.
  27. (en) « Video : Stevie Wonder Sings At Whitney Houston Funeral » Entertainmentwise », sur Entertainmentwise, (consulté le ).
  28. « lapresse.ca/le-soleil/dossiers… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.isGoogle • Que faire ?).
  29. « Stevie Wonder et Kai Millard Morris divorcent », sur Culturebene, (consulté le ).
  30. https://www.eonline.com/fr/news/868319/stevie-wonder-epouse-sa-compagne-de-longue-date-lors-d-un-sompteux-mariage.
  31. a et b Thomas Montet, « Stevie Wonder, papa d'un neuvième enfant : L'étonnant prénom de sa fille… », sur Purepeople.com, (consulté le ).
  32. Thomas Naadi, « "Une chose incoyable" - Stevie Wonder sur l'honneur de devenir un citoyen ghanéen », sur bbc.com, (consulté le ).
  33. Romina Rinaldi, « Synesthésie : les sens enchevêtrés », sur www.scienceshumaines.com (consulté le )
  34. Stevie Wonder prépare un album de gospel en hommage à sa mère, Le Figaro, 26 juin 2013.
  35. (en-GB) Damian Jones, « Stevie Wonder shares two new songs and leaves Motown Records after nearly 60 years », sur NME, (consulté le ).
  36. (en) « Stevie Wonder », sur GRAMMY.com, (consulté le ).
  37. « Stevie Wonder to get Presidential Medal of Freedom », sur telegraph.co.uk,
  38. « Stevie Wonder », sur kennedy-center.org, .
  39. Hamza Marzouk, « Stevie Wonder, commandeur des Arts et des Lettres, dédie sa médaille à sa mère », sur ladepeche.fr, .
  40. « Stevie Wonder exalte le miracle du traité dédié aux déficients visuels », sur Aujourd'hui le Maroc, (consulté le )

Annexes

Bibliographie

  • (en) Bob Gulla, Icons of R&B and Soul : Smokey Robinson and the Miracles ; The Temptations ; The Supremes ; Stevie Wonder, Westport, Conn., Greenwood Publishing Group, , 527 p. (ISBN 978-0-313-34044-4, lire en ligne), p. 311-312.
  • Frédéric Adrian, Le Castor Astral éditeur, , 264 p. (lire en ligne).

Articles connexes

Liens externes