Captieux
Captieux | |||||
Crédit image: licence CC BY-SA 3.0 🛈 La mairie (octobre 2012). | |||||
Crédit image: © Henry Salomé / Wikimedia Commons licence CC BY-SA 3.0 🛈 Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Bazadais | ||||
Maire Mandat |
Christine Luquedey 2020-2026 |
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Code postal | 33840 | ||||
Code commune | 33095 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Capsylvains | ||||
Population municipale |
1 336 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 11 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 17′ 34″ nord, 0° 15′ 32″ ouest | ||||
Altitude | Min. 69 m Max. 136 m |
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Superficie | 119,33 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Sud-Gironde | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.captieux.fr | ||||
Captieux (prononcé : [kapsjø]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Localisation
Ancien chef-lieu de canton situé dans l'est du parc naturel régional des Landes de Gascogne, au sud-est du département de la Gironde, limitrophe du département des Landes et à proximité de celui de Lot-et-Garonne, la commune se trouve à 74 km au sud-sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département et à 32 km au sud de Langon, chef-lieu d'arrondissement[1].
Communes limitrophes
Les communes limitrophes en sont Escaudes au nord-est, Giscos à l'est, Maillas (Landes) au sud-est, Bourriot-Bergonce (Landes) au sud-sud-est, Retjons (Landes) au sud, Lencouacq (Landes) au sud-sud-ouest, Lucmau à l'ouest et Bernos-Beaulac au nord.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1974 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,4 | 1,3 | 3,2 | 5 | 8,8 | 11,9 | 13,4 | 13,3 | 10,2 | 7,9 | 4,2 | 2,1 | 6,9 |
Température moyenne (°C) | 5,9 | 6,7 | 9,5 | 11,5 | 15,4 | 18,7 | 20,6 | 20,5 | 17,4 | 14 | 9,1 | 6,4 | 13 |
Température maximale moyenne (°C) | 10,4 | 12,1 | 15,8 | 17,9 | 22 | 25,4 | 27,7 | 27,8 | 24,6 | 20 | 13,9 | 10,7 | 19,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−21 16.01.1985 |
−14 10.02.12 |
−13 01.03.05 |
−5 21.04.1991 |
−2,6 01.05.1976 |
0 02.06.1975 |
2,5 30.07.1988 |
1,5 30.08.1986 |
−2,5 21.09.1977 |
−5,5 30.10.1997 |
−13 22.11.1988 |
−14,5 17.12.01 |
−21 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
22,5 01.01.22 |
27 27.02.19 |
28,5 21.03.1990 |
33 23.04.07 |
37 30.05.01 |
41,5 27.06.11 |
42,5 23.07.19 |
42 07.08.20 |
37 16.09.20 |
32,5 02.10.1985 |
26 01.11.14 |
23 16.12.1989 |
42,5 2019 |
Précipitations (mm) | 80,7 | 69,6 | 65,6 | 87,1 | 81,5 | 62,7 | 52,8 | 70 | 70,3 | 81,7 | 95,2 | 90,4 | 907,6 |
Urbanisme
Typologie
Au , Captieux est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (47,9 %), forêts (41,2 %), terres arables (6,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), zones urbanisées (0,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Route
La commune est traversée par la route nationale 524 qui mène vers le nord à Bernos-Beaulac puis Langon et vers le sud-est à Maillas (Landes) pour finir à Espas (Gers). Cette route est une partie de l'itinéraire à grand gabarit utilisé pour le transports des pièces d'Airbus et pour lequel un itinéraire d'évitement a été créé dans l'est de la commune de Captieux.
Le tracé de l'autoroute A65 (Langon-Pau) qui double cette nationale dans sa partie nord, traverse l'est du territoire communal et l'accès no 2, dit de Captieux, se situe à 3 km de la ville. À défaut d'utiliser cette autoroute A65, l'accès le plus proche à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) est le no 3, dit de Langon, distant de 31 km par la route vers le nord.
La route départementale D 932 commence dans la ville et mène vers le sud à Roquefort (Landes), Mont-de-Marsan et Pau ; la route départementale D 10 commence également dans la ville et mène vers l'est à Giscos puis vers le nord-est à Grignols.
Chemin de fer
La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 31 km par la route vers le nord, de Langon sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.
Le , la section Bazas - Bourriot-Bergonce de la ligne de Langon à Gabarret, passant par Captieux avec une gare est mise en service et le , cette section et la gare sont déclassées.
Dans le cadre des grands projets du Sud-Ouest (GPSO) de Réseau Ferré de France (RFF), une nouvelle gare TGV Sud - Gironde sortira de terre à l'horizon 2027 proche de l'autoroute à l'est de la ville. C'est ici que les LGV Bordeaux - Toulouse et Bordeaux - Espagne se connecteront. La gare possédera un service SRGV (Service régional à grande vitesse). Un site écopole sera construit ainsi qu'une base de maintenance ferroviaire.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Captieux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2020[17],[15].
Captieux est exposée au risque de feu de forêt. Un incendie important s'est notamment produit en 2017 et 2020. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[18]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[19],[20].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 59,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 838 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 129 sont en aléa moyen ou fort, soit 15 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].
Toponymie
La localité était désignée autrefois par le nom de Cap Seves, nom provenant de l'expression latine caput silvarum qui signifie la tête de la forêt[23], expression qui est devenue la devise de la commune.
En gascon, le nom de la commune est Capsiuts.
Histoire
Captieux est une ville prépondérante[Quoi ?] pendant le Moyen Âge et déjà une étape de la voie de Vézelay du chemin vers Compostelle.
À la Révolution, la paroisse Saint-Martin de Captieux forme la commune de Captieux. En 1817, la commune d'Escaudes est rattachée à celle de Captieux qui devient Captieux-et- Escaudes. En 1836, la commune de Captieux est rétablie par démembrement de la commune de Captieux-et-Escaudes[24].
Politique et administration
Intercommunalité
Le , la communauté de communes de Captieux-Grignols ayant été supprimée, la commune de Captieux s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Bazadais siégeant à Bazas.
Population et société
Les habitants sont appelés les Capsylvains[28].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].
En 2021, la commune comptait 1 336 habitants[Note 4], en évolution de +5,36 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
En 1964, le village commença à organiser des novilladas[33], des corridas avec de jeunes toreros plutôt que les traditionnelles courses de vaches landaises. L'Espagnol Paquirri, alors jeune novillero inconnu, s'y est produit en 1965. La ville est membre de l'Union des villes taurines françaises.
Un marathon de rugby à sept est également désormais organisé la veille de la novillada[33] ; ces festivités sont dénommées Rugby y Toros.
En 1966, lors d'une émission houleuse du jeu télévisé Intervilles opposant Captieux au village voisin de Grignols, les arènes en bois s'écroulèrent[33], passant tout près de la catastrophe. Elles ne furent reconstruites qu'en 1993.
Économie
Base militaire
Le site de la commune fut choisi par les Américains pour y installer en 1950 un important dépôt de munitions, sur 100 km2[34] tout près de la route D932, au lieu-dit le Poteau. En 1966, De Gaulle demanda le départ des bases américaines du territoire français. En partant, les Américains laissèrent beaucoup de matériel qui fut revendu aux habitants et entreprises de la région. Les installations militaires de Captieux furent reprises par l’armée française.
Un documentaire La Fabrique de l'Histoire d'Emmanuel Laurentin de France Culture évoqua son histoire dans le cadre d'une série Les Américains et nous [2/4], et insista sur les quelques maisons closes du Poteau, fermées seulement en sur ordre (et ce quarante ans après l’interdiction des maisons closes par la loi Marthe Richard).
Industrie
- Station de recompression du réseau de gaz naturel.
- L’économie de la ville repose principalement sur le bois (les scieries, les exploitants forestiers, la sylviculture notamment) ainsi que sur l'activité de miroiterie et sur la production de logiciels.
- La boulangerie Seguin fabrique les fameux[réf. nécessaire] « puits d'Amour ».
- Diffuseur[Quoi ?] de Captieux sur l'autoroute A65.
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Martin de Captieux actuelle date de 1869 et a été restaurée en 1970. De style néogothique, elle est composée d’un long vaisseau central de cinq travées terminé par une abside polygonale.
- Le château de Captieux, construit au Moyen Âge, a appartenu au XIVe siècle aux captals de Buch puis au XVIIIe siècle au comte d'Harcourt. On en retrouve une première mention en 1227 (bien après les invasions vascones et normandes) à l'occasion de la « promesse de Captieux » faite par Guillaume II de Béarn au roi d'Angleterre Henri III. Le comte y promet de faire hommage au roi lors de son prochain passage en Aquitaine. Cette promesse sera tenue par Gaston VII de Béarn le . Le château a été définitivement détruit sous Louis XIII vers 1621.
- le mariage de François Ier avec Éléonore d’Autriche. Il n'a pas eu lieu à Captieux mais au couvent de Beyries (commune de Le Frêche) à deux lieues à l'ouest de Mont-de-Marsan le . À cette occasion le roi est passé à Captieux les 5 et .
- le , la dauphine de France Marie Thérèse d'Espagne (1726-1746) a passé la nuit dans la cure de Captieux réaménagée pour l'occasion ; ses dames de compagnie logeaient dans le couvent des Cordeliers.
- La fontaine Saint-Blaise dans la forêt, derrière les arènes, soignerait les rhumatismes ; le prieuré de Saint-Blaise a existé avant le couvent des Cordeliers et était probablement situé au sud de la fontaine de Saint-Blaise
- Voie de Vézelay : la ville de Captieux est une étape officielle sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.
- À l'entrée et à la sortie de Captieux, est présenté l'emblème de la ville, l'« écureuil magique » qui tient une pomme de pin marron.
- Cercle des Travailleurs, café associatif.
- Arènes Jean-Sango.
-
Captieux, la forêt au soleil matinal.
-
Crédit image:licence CC BY-SA 3.0 🛈L'église Saint-Martin, vue nord-ouest (octobre 2012).
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Crédit image:licence CC BY-SA 3.0 🛈Façade occidentale et clocher (octobre 2012).
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L'église et sa place.
Sous la rangée d'arbres de droite, la mairie. (octobre 2012). -
La route de Bazas (avril 2011).
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L'écureuil magique (avril 2011).
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Crédit image:licence CC BY-SA 3.0 🛈Le monument aux morts au carrefour devant l'église (octobre 2012).
Personnalités liées à la commune
- Guillaume Bouic, né en 1970, rugbyman international, joueur au SU Agen.
- Benjamin De Rovere, né en 1983, écarteur de course landaise, champion de France des écarteurs en 2004, 2005 et 2006[35].
- Raphaël Lagarde, né en 1988, rugbyman à l'Aviron bayonnais et en équipe de France de rugby à sept.
- Maly Thomas, née en 1988, comédienne et animatrice de télévision[36].
- Jean-Luc Gleyze, homme politique, ancien maire de Captieux. Il est premier président du conseil départemental de la Gironde.
Héraldique
Crédit image: © Henry Salomé / Wikimedia Commons licence CC BY-SA 3.0 🛈 |
Les armes de Captieux se blasonnent ainsi : D'argent à l'écureuil contourné grimpant sur une branche en barre mouvant de la pointe et du bas du flanc senestre, surmonté d'une branche de pin de cinq touffes d'aiguilles, ployée en barre et en fasce, mouvant de l'angle senestre du chef et se terminant par une pigne, le tout de gueules accompagné, en chef à dextre, de l'inscription CAPUT SYLVARUM sur deux lignes en lettres capitales de sable. Devise de la commune : Caput sylvarum, la tête de la forêt |
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- Site de la communauté de communes de Captieux Grignols
- Résultats du recensement de la population de Captieux sur le site de l'INSEE, consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Captieux », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Captieux sur le site de l'Institut géographique national
- Service régional à grande vitesse
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 66,2 km pour Bordeaux et 28,8 km pour Langon. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 11 novembre 2012.
- Captieux sur Géoportail, consulté le 11 juin 2015.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Fiche du Poste 33095001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Captieux ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Captieux », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
- « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Captieux », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- Captieux sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le .
- Historique des communes, p. 12, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 5 avril 2013.
- Décédé en cours de mandat
- Berland Denis, nouveau maire de Captieux (33), Sud Ouest.fr du 14 avril 2015, consulté le 14 avril 2015.
- « Pascal Calderon élu maire », sur SudOuest.fr (consulté le ).
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 14 avril 2011.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Le Point, 10 juillet 2008, Les Deux passions du Sud-Ouest, p. 108.
- Tranches de vie au camp américain de Captieux dans les années 1950-1967 sur le site savoir-faire-aquitaine.com, consulté le 18 janvier 2013.
- Benjamin De Rovere sur le site « courselandaise.org ».
- Maly Thomas sur le site « agencesartistiques.com ».