Philippe Labro

Philippe Labro
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Philippe Labro en 2012.
Fonction
Directeur général (en)
CNews
-
Biographie
Naissance
Décès
(à 88 ans)
Paris (France)
Sépulture
Pseudonyme
Philippe Christian
Nationalité
Formation
Activités
Période d'activité
Père
Jean-François Labro ()
Mère
Henriette Labro ()
Fratrie
Jean-Pierre Labro ()
Jacques Labro
Claude Labro ()
Conjoint
Françoise Labro ()
Enfants
Valérie Labro ()
Jean Labro ()
Alexandre Labro ()
Clarisse Labro ()
Autres informations
A travaillé pour
C8 (-)
RTL (-)
Paris Match (-)
Le Journal du dimanche (-)
France-Soir (-)
Conflit
Taille
1,77 m
Distinctions
signature de Philippe Labro
Signature de Philippe Labro.

Philippe Labro, né le à Montauban (Tarn-et-Garonne) et mort le à Paris[1], est un journaliste, homme de médias, présentateur audiovisuel, écrivain, réalisateur, scénariste, et parolier français.

Il a occupé plusieurs postes de direction à la radio RTL. Il débute à la télévision à l'ORTF dans les années 1960. Il a notamment été journaliste pour TF1 et présenté le journal télévisé sur Antenne 2 en 1981-1982. Après un passage sur France 3 au début des années 2000, il lance en 2005, avec Vincent Bolloré, la chaîne de télévision Direct 8 qui devient ensuite D8 puis C8 et où il y présente des émissions politiques, sociétales et culturelles jusqu'à l'arrêt de la chaîne en 2025.

Écrivain, il est l'auteur de plus d'une vingtaine d'ouvrages littéraires. Cinéaste, il dirige à deux reprises Jean-Paul Belmondo et réalise durant les années 1970-1980 sept films pour le grand écran. Parolier, il a notamment écrit une trentaine de chansons pour Johnny Hallyday.

Biographie

Famille et jeunesse

Dans son roman d'apprentissage autobiographique Le Petit Garçon, Philippe Labro met en scène ses souvenirs d'enfance. Ses parents, Jean-François et Henriette Labro, donnent naissance à quatre garçons et trois filles[2]. Il était le frère de l'architecte Jacques Labro. Son père est venu de Montauban, dans les années 1920, à Paris où il ouvre un cabinet de conseil juridique et fiscal, et fait fortune. Il y rencontre une jeune fille de vingt ans, Henriette Carisey, fille naturelle d’un noble polonais et d’une institutrice française qui, selon Philippe Labro, a eu une vie romanesque[3]. Henriette Carisey est la sœur d’Henri Magny[4].

Il épouse Henriette un an après leur rencontre. Pressentant la Seconde Guerre mondiale, Jean-François Labro décide de retourner au pays et installe sa famille dans une villa de Montauban. Bien qu'un officier SS de la division Das Reich ait réquisitionné le premier étage de leur maison pour s'y loger, ses parents y cachent des Juifs, notamment la famille de Maurice Bernart. Le , le mémorial de Yad Vashem décerne à Jean-François et Henriette Labro le titre de Justes parmi les nations[5].

En 1948, Jean-François Labro réinstalle sa famille à Paris pour offrir à ses enfants de bonnes écoles, le lycée Janson-de-Sailly pour Philippe, qui y montre uniquement des aptitudes pour la littérature et le sport. Il y rencontre comme condisciple, Jean-Loup Dabadie. À 15 ans, Philippe Labro remporte un concours de journalisme parrainé par Le Figaro et devient rédacteur en chef du Journal des jeunes[6]. En 1954, alors qu'il a échoué son baccalauréat et doit redoubler, il obtient, à 18 ans, une bourse Zellidja[7] qui lui permet d'étudier à l'université Washington et Lee de Lexington en Virginie[8].

Il en profite pour traverser l’Atlantique à bord du Queen Mary puis de parcourir les différents États des États-Unis.

« Je n’ai pas eu besoin de demander la permission à qui que ce soit, parce que c’était un instinct, qui reposait sur un désir, une curiosité d’Amérique, que j’avais depuis toujours. Elle venait de mes lectures d’enfance, du cinéma, de la libération de la France. Et de ma curiosité du monde, de mon envie de bouger, de partir. Alors bien sûr, j’ai prévenu mes parents et ils ne m’ont pas dit non. Ils ont toujours encouragé ma vocation. C’est une des clés de la vie : si on a une passion, la force et la construction familiales, ça compte. Pour mes parents, c’était un risque, une aventure, un danger, et peut-être un déchirement de me voir partir, mais en même temps c’était : « tu veux le faire, tu le fais ». Alors je suis parti à 17 ans. J’en ai eu 18 sur les routes américaines. Et j’ai vécu une aventure qui a totalement changé ma vie, qui a déterminé ma carrière et peut-être même mon caractère. »

— Interview à Phosphore[9]

De ces années de jeunesse, il a tiré deux romans, L'Étudiant étranger et Un été dans l'Ouest[10].

De retour en France deux ans plus tard, il s'habille à l'américaine (chemise Arrow en oxford avec col boutonné, costume américain et petit chapeau rond en feutre) avec une chevalière en lapis-lazuli aux armes de son université américaine de Lexington (elle ne quitte jamais son annulaire gauche). Il devient reporter à Europe no 1 en 1957 après avoir remporté La Coupe des Reporters, émission de Pierre Laforêt[11].

Carrière

Il devient reporter pour le magazine féminin Marie-France en 1958, embauché par Louis Pauwels pour y écrire les grands portraits du mois. Par l'entremise de son ami Voldemar Lestienne, il rencontre en 1959 Pierre Lazareff qui lui commande la rédaction d'une biographie romancée d'Al Capone pour la collection « L'air du temps » de chez Gallimard et l'engage la même année comme grand reporter à France-Soir, où il restera jusqu'en 1972. Pierre Lazareff est amusé par l'insolence du jeune homme, qui lui réclame un poste de grand reporter qui demande normalement de l'expérience[12]. Ses premiers articles portent sur les sorties de films, les premières théâtrales, les mondanités et chroniques parisiennes, le festival de Cannes et le Tour de France 1959. Puis on l'envoie comme reporter après la rupture du barrage de Malpasset en [13].

Son premier roman Un Américain peu tranquille sur la vie d'Al Capone sort en 1960 grâce à Lazareff et Paul Gordeaux, dans la collection « L’air du temps »[14] reprenant, sous forme de livres, les bandes dessinées verticales de Gordeaux, Le crime ne paie pas et Les Amours célèbres parues pendant 14 ans dans France-Soir faites pour être lue au jour le jour, et où le « à suivre » fidélisait un million d'acheteurs et pratiquement cinq millions de lecteurs[15].

Enrôlé en 1960 pour la guerre d'Algérie où il est détaché comme journaliste militaire[16], Philippe Labro reprend, deux ans plus tard, ses activités de journaliste pour France-Soir. Alors qu'il enregistre un sujet sur le campus de l'université Yale pour l’émission 5 colonnes à la une, il apprend l'assassinat de John F. Kennedy le . Il se précipite alors à Dallas, et se retrouve à être le seul correspondant français de presse écrite à être sur place. De cet événement qu'il couvre pour son journal France-Soir durant trois ans, il rédige un récit On a tiré sur le Président[17]. Il sera d'ailleurs auditionné par la commission Warren.

De 1964 à 1968, il est coproducteur avec Henri de Turenne de l’émission Caméra Trois sur la deuxième chaîne de l'ORTF. Il est chroniqueur au Journal du dimanche de 1965 à 1972 et à Paris Match de 1971 à 1988.

Cinéphile, il approche le milieu du cinéma. Ami très proche de Jean-Pierre Melville (il participera au documentaire sur celui-ci intitulé Sous le nom de Melville, et sera présent à ses côtés au moment où Melville est terrassé par un malaise fatal), il se lance dans la réalisation de films influencés par le cinéma américain. Le cinéma reste pour lui une activité seconde, quoique importante. Il apparaît, jouant son propre personnage, dans les dernières scènes du film de Jean-Luc Godard, Made in USA et réalise son premier court métrage Deux D : Marie Dubois et Françoise Dorléac en 1966. Il tourne son premier long métrage Tout peut arriver en 1969[18].

Au début des années 1970, sa collaboration avec Johnny Hallyday, pour qui il écrit plusieurs chansons, est remarquée. En 1971, Philippe Labro est le premier à se voir confier l'écrire des textes de tout un album d'Hallyday. Par la suite il collabore avec le chanteur de façon épisodique (1974, 1982, (…), 1999 - voir Chansons écrites par Philippe Labro pour Johnny Hallyday). Serge Gainsbourg lui commande des textes pour Lolita Go Home, l'album de Jane Birkin de 1975.

Gérard Lebovici lui propose de réaliser, et à Michel Audiard et Patrick Modiano, d'écrire une adaptation de L'instinct de mort, le livre de Jacques Mesrine[19].[pas clair]

En 1979, il est rédacteur en chef à RTL. Il travaille également comme journaliste pour TF1[Quand ?] puis pour Antenne 2 de 1981 à 1982 où il présente en alternance avec Bernard Langlois le journal Antenne 2 Midi[20].

De 1985 à 2000, il dirige les programmes de RTL, devient vice-président de la station en 1992, vice-PDG d'Ediradio (RTL) en 1996 sur proposition de son président Jacques Rigaud et vice-président du Conseil d'administration en [21].

En 1996, il publie La Traversée, un roman inspiré par son expérience de mort imminente consécutive à un œdème du larynx et une pneumopathie foudroyante qui le laisse, en 1994, six semaines à l’hôpital Cochin dont dix jours dans le service de réanimation à la suite de coma[22].

Dans son récit Tomber sept fois, se relever huit, il raconte les effets d’une dépression nerveuse qui l’affecte de 1999 à 2001[23]. Il s'en relève et présente, du 7 septembre 2001 à juin 2006 sur France 3, Ombre et lumière, une émission intimiste d'interviews de personnalité, produite par Air Productions de Nagui, réalisée par Gérard Pullicino et diffusée en troisième partie de soirée[10].

Le , il lance la chaîne Direct 8 avec Vincent Bolloré. Il est vice-président de Direct 8, tout comme de Direct Matin du même groupe[24]. Il présente le magazine culturel Blog Notes dès le lancement de la chaîne.

Philippe Labro lors d'une rencontre à la Librairie Lamartine, en .

Pendant l'été 2011[25] puis 2012 il anime sur RTL l'émission Mon RTL à moi chaque dimanche[26].

À la rentrée 2015, il devient conseiller du nouveau rédacteur en chef d'i-Télé, Guillaume Zeller[27].

En 2016, il présente sa chronique L'Humeur de Philippe Labro, chaque lundi à 11 h 15, dans l'émission Le Duo de L'info présentée par Adrien Borne et Sonia Chironi sur iTELE[réf. nécessaire].

À partir de , il anime sur Direct 8 puis D8 et C8, l'émission hebdomadaire Langue de bois s'abstenir[28], qui devient par la suite L'Essentiel chez Labro à compter de mai 2021. Par ailleurs, il présente le film du dimanche soir dès septembre 2020.

Le , il anime sur C8 la dernière de l'émission L'Essentiel chez Labro à la suite du non renouvellement de la chaine par l'ARCOM, et met fin à sa carrière télévisuelle[29].

Président du Prix RTL/Lire, il est également président du jury du Prix Matmut du premier manuscrit[30].

Vie privée

Philippe Labro est marié à Françoise Coulon[31], scénariste, née à Besançon le [31]. Il a quatre enfants dont l'un est issu d'un premier mariage[6].

Mort

Philippe Labro meurt le à Paris à l'âge de 88 ans, des suites d'un cancer[32]. Ses obsèques se déroulent dans la matinée du en l'église de Saint-Germain-des-Prés, en présence de nombreuses personnalités, parmi lesquelles Fabrice Luchini, Michel Drucker, Pascal Praud, Marc-Olivier Fogiel, Laeticia Hallyday et Franz-Olivier Giesbert. Elles sont suivies par une inhumation dans l'intimité familiale[33] au cimetière du Montparnasse (division 11).

Œuvre littéraire

Réalisateur

Télévision

  • 1960 : Cinq colonnes à la une (magazine télévisé), segments de l'émission du 4 mars 1960
  • 1965 : Chroniques de France (magazine télévisé), épisode 8 Paris, jeunesse et rock'n'roll
  • 1966 : Chroniques de France (magazine télévisé), épisode 13 Les 2D : Mireille Darc, Catherine Deneuve / épisode 16 Les 2D : Marie Dubois, Françoise Dorléac.

Cinéma

Titres Années Box-office
L'Héritier 1973 2 025 969 entrées
La Crime 1983 1 830 204 entrées
Rive droite, rive gauche 1984 1 590 291 entrées
L'Alpagueur 1976 1 533 183 entrées
Sans mobile apparent 1971 1 290 572 entrées
Le Hasard et la Violence 1974 717 036 entrées
Tout peut arriver 1969 112 660 entrées

Parolier

Activités audiovisuelles

Radio

  • 1957 : reporter à Europe no 1
  • 1979 : rédacteur en chef à RTL
  • 1985-2000 : directeur des programmes de RTL
    • 1992 : vice-président de RTL
    • 1996 : vice-PDG d'Ediradio
    • 2000 : vice-président du Conseil d'administration de RTL
  • 2011-2012 : animateur sur RTL de l'émission Mon RTL à moi chaque dimanche

Télévision

  • 1964-1968 : Caméra Trois sur la deuxième chaîne de l'ORTF : coproducteur avec Henri de Turenne
  • Années 1970 : journaliste sur TF1
  • 1981-1982 : Antenne 2 Midi sur Antenne 2 : présentateur
  •  : La Nuit des 7 d'Or sur Antenne 2 : coprésentateur
  • - : Ombre et lumière sur France 3 : présentateur
  •  : Lancement Direct 8 : co-fondateur avec Vincent Bolloré
  • 2005-2008 : Le Blog notes sur Direct 8 : présentateur
  • - : Langue de bois s'abstenir sur Direct 8 puis D8 et C8 : présentateur
  • 2016 : L'Humeur de Philippe Labro dans Le Duo de l'info sur ITELE : chroniqueur
  • - : Le film du dimanche soir sur C8 : présentateur
  • - : L'Essentiel chez Labro sur C8 : présentateur

Distinctions et récompenses

Décoration

Grand officier de la Légion d'honneur Grand officier de la Légion d'honneur. Philippe Labro est fait officier de l'ordre national de la Légion d'honneur le puis promu au grade de commandeur le [37]. Il est fait commandeur le [38]. Le , il est élevé à la dignité de grand officier[38].

Autres distinctions

  • Philippe Labro est le président d'honneur de la « Compagnie des écrivains de Tarn-et-Garonne ».
  • Lauréat Zellidja 1953, il est aussi le parrain de la promotion Zellidja 2008.

Prix littéraires

Récompenses

En 1986, Philippe Labro reçoit le Prix Interallié pour son roman L'Étudiant étranger ainsi que le Prix Gutenberg pour Un été dans l'Ouest en 1988.

Goncourt

[pertinence contestée] Philippe Labro a manqué le prix Goncourt à deux reprises. La première fois en 1988, il est fortement pressenti pour le recevoir avec Un été dans l'Ouest, mais c'est finalement Erik Orsenna qui l'obtient pour L'Exposition coloniale. En 1990, Labro, avec Le Petit Garçon, est en finale[évasif] face à Jean Rouaud, mais c'est ce dernier qui l'emporte, par huit voix contre deux, pour son roman Les Champs d'honneur.

Notes et références

  1. « Le journaliste et écrivain Philippe Labro est mort à 88 ans », sur BFMTV, (consulté le )
  2. https://www.babelio.com/livres/Labro-Le-petit-garcon/12779 / consulté le 27 avril 2017.
  3. Surnommée Netka : "Netka est née à Dresde de « père inconnu » ; elle feint de ne pas se rappeler exactement son nom. Labro enquête et découvre qu'il s'appelle Henryk de Ślizień, comte polonais propriétaire d'immenses domaines en Biélorussie. La mère de Netka, Marie-Hélise, « fille de fille de ferme » devenue institutrice, est née, elle aussi, de père inconnu", « Philippe Labro, pour l’amour de Netka », Les Échos, le .
  4. Philippe Labro, ma mère, cette inconnue, Gallimard, .
  5. Labro Jean-François et Henriette. Année de nomination : 2000 Dossier no 9041, site du Comité français de Yad Vashem.
  6. a et b Gaël Tchakaloff, « Philippe Labro. L’insoutenable insatisfaction de l’être », Le Nouvel Économiste, no 1320,‎ 20 au 26 octobre 2005, p. 32.
  7. « Cette association qui finance des voyages en solo et sac au dos », Le Figaro Étudiant,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  8. Yannicl Vely, « Philippe Labro. Bienvenue Mister Chance », sur Paris Match, .
  9. Phosphore, interview par David Groison, février 2012, pages 18-21.
  10. a et b Jacques Lafitte et Stephen Taylor, Who's Who in France, J. Lafitte, , p. 1076.
  11. Pierre Laforêt était lui-même journaliste, réalisateur et auteur de nombreuses créations sur Europe 1.
  12. « Philippe Labro : L'histoire de France-Soir s'est terminée avec la mort de Lazareff », sur L'Express, .
  13. Yves Courrière, Pierre Lazareff ou le vagabond de l'actualité, Gallimard, Biographies, 1995, p. 679.
  14. Le premier livre de la collection en 1958 est Dillinger de Voldemar Lestienne, confrère et ami de Labro.
  15. Préface d’Un Américain peu tranquille, Gallimard, 2013.
  16. Il évoque cette guerre dans son roman Des feux mal éteints en 1967.
  17. Bernard Lehut, « Assassinat de Kennedy : "J'étais sur le campus de Yale", raconte Philippe Labro », sur RTL, .
  18. Noël Simsolo, Dictionnaire de la nouvelle vague, Éditions Flammarion, , p. 221.
  19. Si Mesrine m'était conté, L'Express.
  20. Gilles Caron, Sous les pavés, la plage. Mai 68, La Sirène, , p. 124.
  21. Renaud Revel, « Philippe Labro, le touche-à-tout insatisfait », sur L'Express, .
  22. « Aux portes de la mort », Les Échos, no 17135,‎ , p. 43.
  23. Pascale Frey, « Philippe Labro se relève », sur L'Express, .
  24. direct8.fr.
  25. Figures de la télé et talents maison cet été sur RTL
  26. rtl.fr.
  27. Caroline Saillé, « Philippe Labro et Guillaume Zeller à la tête d'i-Télé », lefigaro.fr, .
  28. « Le mag hebdo de Philippe Labro sur Direct 8 », sur premiere.fr, .
  29. « «C’est un gâchis humain» : dans les coulisses des adieux de Philippe Labro à C8 et à la télévision », sur TV Magazine, (consulté le ).
  30. « Prix Révélation Littéraire Matmut - Jury », sur Prix Révélation Littéraire Matmut (consulté le ).
  31. a et b Who's Who in France 2004-2005.
  32. Yannick Vely, « L'écrivain et journaliste Philippe Labro est mort », sur Paris Match, (consulté le ).
  33. Thomas Martin, « Décès de Philippe Labro : les obsèques de ce génie touche-à-tout auront lieu à Paris, voici où et quand », sur Actu.fr, (consulté le ).
  34. Manuella une adolescente de 17/18 ans raconte ce qui la préoccupe : les études, les amis, l'amour. À cet âge-là, on grandit et on change vite, ce qui sera aussi le cas de Manuella. Il s'agit d'un roman d'apprentissage.
  35. https://www.discogs.com/fr/artist/3696146-Philippe-Christian / consulté le .
  36. https://www.discogs.com/fr/Eddy-Mitchell-Seul/release/3037679 / consulté le .
  37. Décret du 2 avril 2010 portant promotion et nomination.
  38. a et b Décret du 15 janvier 2025 portant élévation aux dignités de grand'croix et de grand officier de la Légion d'honneur.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes