Éric de Chassey

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Éric de Chassey
Fonctions
Directeur général
Institut national d'histoire de l'art
depuis
Directeur
Académie de France à Rome
-
Professeur d'université ()
Biographie
Naissance
Nom de naissance
Éric Marie Roger de Buretel de Chassey
Nationalité
Formation
Activités
Père
Benoît de Chassey ()
Conjoint
Anne Consigny (depuis )
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Directeur de thèse
Distinctions
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Blason
Œuvres principales
Les Mondes de l'art ()

Éric de Buretel de Chassey, dit par convenance Éric de Chassey, né le à Pittsburgh, (États-Unis), est un historien de l'art et critique français, directeur d'institutions culturelles et scientifiques.

Professeur d'histoire de l'art contemporain, il est directeur général de l'Institut national d'histoire de l'art depuis 2016, après avoir été directeur de l'Académie de France à Rome de 2009 à 2015.

Biographie

Famille

Né à Pittsburgh, aux États-Unis, où son père Benoît de Buretel de Chassey (1941-2012), est étudiant à l'université Carnegie-Mellon, Éric de Chassey passe son enfance en Suisse, puis à Lyon en France. Il a deux frères, dont un kinésithérapeute des équipes de France olympiques et deux sœurs. Le berceau familial est le village de Mirebel, dans le Jura[1].

Éric de Chassey est cousin de l'éditeur musical Emmanuel de Buretel[2] et de Thibault de Chassey, fondateur du groupuscule d'extrême droite pétainiste, le Renouveau français[3].

Après avoir divorcé de sa première femme, dont il a eu trois enfants, il épouse le , à la villa Médicis, l'actrice Anne Consigny.

Formation

Il effectue sa scolarité au lycée lyonnais Sainte-Marie Lyon (les maristes)[4]. Élève de l'École normale supérieure en 1986 à 1990 en philosophie, il fait le choix de suivre parallèlement une formation en histoire de l'art à l'université Paris IV-Sorbonne et en sciences politiques à Sciences Po Paris plutôt que de passer l'agrégation comme il est d'usage dans l'établissement de la rue d'Ulm. Ayant opté pour l'histoire d'art, il soutient en 1994 une thèse de doctorat ayant pour thème " Décorative violence : la réception et l'influence de l'oeuvre d'Henri Matisse aux Etats-Unis à l'époque du triomphe de l'art américain " sous la direction de Bruno Foucart à l'université Paris IV-Sorbonne. Cinq ans plus tard, il obtient une habilitation à diriger les recherches d'histoire de l'art, toujours à l'université Paris IV-Sorbonne avec pour thème « L'abstraction avec ou sans raison » devant un jury composé de Serge Lemoine, Bruno Foucart, Jean-Marc Poinsot, Erich Franz et Bernard Ceysson[5].

Carrière professionnelle

Éric de Chassey a commencé sa carrière comme lecteur de français à l'Université Yale (États-Unis) en 1989-1990. De 1992 à 1996, il a été chargé d'enseignement en histoire de l'art contemporain à la Sorbonne. Il est élu maître de conférences à l'UFR d'histoire de l'art de l'université Paris IV-Sorbonne en . Il est ensuite élu en professeur d’histoire des arts contemporains, à l'université François-Rabelais de Tours, poste qu'il occupe jusqu'en 2012[6], enseigne à l'École du Louvre. En 2012, il est élu professeur d’histoire des arts contemporains à l'École normale supérieure de Lyon dont il est actuellement détaché pour assurer des fonctions de directeur d’établissement public. Il est membre junior de l'Institut universitaire de France de 2004 à 2009.

Une part notable de ses recherches s'effectue sur l’œuvre de Matisse[7], l’histoire des rapports artistiques transnationaux, la photographie, les phénomènes de tradition et de résistance dans la réception ou les liens de l’œuvre d’art avec la société dans laquelle elle s’inscrit, du début du XXe siècle à nos jours, notamment avec la musique (Punk) et la politique (Mai 68 et ses conséquences). Ses recherches donnent lieu à des publications, des colloques et des expositions sur les peintres contemporains tels qu'Olivier Mosset, Olivier Debré, Jean-Pierre Pincemin, François Rouan, Richard Deacon, Jean-Marc Bustamante, Peter Soriano, Pierre Soulages, Dan Walsh, Shirley Jaffe, Djamel Tatah, Monique Frydman, Alex Katz, Ellsworth Kelly[8], Simon Hantaï[9], Bridget Riley, Julian Schnabel, Luc Tuymans, Callum Innes,Christophe Cuzin, Agnès Thurnauer et Philippe Favier.

En 2008, il fonde l'équipe de recherche Interactions Transferts Ruptures artistiques et culturels (InTRu), qui rassemble des universitaires, des conservateurs du patrimoine ainsi que des chercheurs indépendants.

Il compte parmi ses élèves l’artiste iranien Bahram Ahmadi[10].

Directeur de la villa Médicis

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Jean-Pierre Dalbéra from Paris, France
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La villa Médicis à Rome vue des jardins.

Le , Éric de Chassey est nommé directeur de l'Académie de France à Rome, succédant ainsi à Frédéric Mitterrand[11],[12],[13].

Il s'est vu à plusieurs reprises reprocher[14],[15],[16] notamment par la presse people[17],[18], mais également par la presse généraliste, d'avoir bénéficié de favoritisme[19],[20],[21], par l'entremise de son épouse, Anne Consigny, « meilleure amie » de Julie Gayet.

En [22], son mandat est renouvelé par François Hollande[23] en dépit de l'opposition d'Aurélie Filippetti[24].

Il a initié d'importants programmes de restauration de la Villa, de son intérieur et de son jardin (avec une attention particulière à la coprésence des décorations maniéristes tardives et des interventions de Balthus au XXe siècle[25]), enrichi la collection avec des acquisitions majeures d'œuvres de la Renaissance (Jacopo Zucchi[26]) et d'aujourd'hui (Claudio Parmiggiani[27]), organisé et dirigé un programme de résidence pour des artistes de tous horizons et de toutes origines, ainsi que des expositions, des concerts, des programmes de cinéma et de littérature, et des colloques d'histoire de l'art[28].

Il a notamment lancé trois festivals annuels de musique classique (Autunno in musica[29]), de musique classique contemporaine (Controtempo[30]) et de pop, rock et électro (Villa Aperta[31]), ainsi que trois festivals annuels de cinéma consacrés aux films documentaires du Sud (CineMondo[32]), aux films restaurés (Re/visioni ) et à la cinématographie d'un acteur ou d'une actrice italien(ne) ou français(e) (Cinema all'aperto[33]) : ces festivals, qui s'adressent diversement aux spécialistes et/ou au grand public, ont rencontré un large succès public et critique.

Le bilan de sa direction de la Villa Médicis[34],[35],[36],[37] a conduit le conseil d'administration de cet établissement à lui décerner le titre de directeur honoraire par une décision du 22 octobre 2015.

Directeur général de l'INHA

Éric de Chassey est nommé directeur général de l'Institut national d'histoire de l'art (INHA) le [38]. Il devient par ailleurs et à la suite de sa nomination directeur de publication de la revue scientifique de l'INHA, Perspective.

En mai 2021, il est commissaire d'une exposition sur Napoléon vu par l'art contemporain[39].

En 2022, il est élu président[40] du Réseau international des instituts de recherche en histoire de l’art (RIHA)[41].

Depuis 2021, il préside le comité éditorial du projet international « The Visual Arts in Europe : An Open History » (EVA), projet qu'il a initié en 2019 et qui rassemble 46 instituts de recherche en histoire de l'art et musées représentant les 46 pays du Conseil européen.

Autres

Il est un compagnon des Gracques, groupe de centre gauche qui, pendant la campagne électorale présidentielle de 2007, prônait un rapprochement avec François Bayrou[42].

Il est membre du jury du Festival international du livre d'art et du film à Perpignan en [43] et du jury du prix Sciences Po 2015 pour l'art contemporain[44].

Il est membre du conseil d'administration de la fondation Linklaters[45].

Il est membre des conseils d'administration de l'Institut national du patrimoine (depuis 2017)[46],[47] et de la Fondation Angladon-Dubrujeaud d’Avignon (depuis 2022)[48].

Il a été membre du conseil d’administration de l'Établissement public de l’Établissement public du Grand Palais de 2007 à 2010[49].

Il est membre des comités scientifiques de divers établissements publics français, comme la Bibliothèque nationale de France (2016-2019)[50], l'École nationale des chartes (depuis 2017)[51], le Musée du Louvre (depuis 2017)[52], le Musée du Quai Branly-Jacques Chirac (depuis 2017)[53], le Centre Pompidou / Musée national d’art moderne (depuis 2020)[54], la Monnaie de Paris (depuis 2022)[55], le Centre de Création Contemporaine - Olivier Debré de Tours (depuis 2022)[56], et le Musée des arts décoratifs (depuis 2023).

Il est partisan du regroupement en un seul ministère de l'Éducation nationale et de la Culture[57].

Il intervient dans le documentaire La Face cachée de l'art américain (2019) de François Lévy-Kuentz.

Entre 2018 et 2024, il a publié une chronique mensuelle dans l'édition française de The Art Newspaper, abordant des questions d'actualité en histoire de l'art et en culture, toutes périodes et géographies confondues[59].

Publications

Ouvrages

Il a publié des essais sur l'art des XXe et XXIe siècles, parmi lesquels :

  • La Violence décorative : Matisse et les États-Unis, Nîmes, éditions Jacqueline Chambon, 1998
  • La Peinture efficace. Une histoire de l'abstraction aux États-Unis, 1910-1960, Paris, éditions Gallimard, 2001
  • Henri Matisse – Ellsworth Kelly – Dessins de plantes (en collaboration avec Rémi Labrusse), Paris, Gallimard et Centre Pompidou, 2002 Version américaine, Henri Matisse-Ellsworth Kelly-Plant Drawings, New York, Ginkgo Press, 2002.
    Une version remaniée du texte portant sur les dessins de Matisse a été publiée avec un résumé en letton (« Matiss, augi un dekorativisms ») dans Mākslas, vēsture & teorija, Riga, no 6-7, 2006, p. 27-32.
  • Pascal Pinaud, Transpainting, Genève, Mamco,
  • The Gilbert and Catherine Brownstone Collection : Hydraulic Muscles Pneumatic Smiles, Palm Beach, Norton Museum,
  • Eugène Leroy, autoportrait, Paris, Gallimard,
  • Platitudes. Une histoire de la photographie plate, Paris, éditions Gallimard,
  • Olivier Debré, monographie,
  • Marcia Hafif, catalogue raisonné de l'œuvre jusqu'en 1969,
  • Philippe Gronon,
  • Pour l’histoire de l’art, Arles, Actes Sud,
  • Vibration of Space. Heron, De Staël, Hartung, Soulages, Londres, Waddington Custot, , 124 p. (ISBN 978-0-95766-128-8)
  • L'abstraction avec ou sans raisons, Paris, Gallimard, coll. « Art et artistes », , 267 p. (ISBN 978-2-07-269334-2)
  • Après la fin : suspensions et reprises de la peinture dans les années 1960 et 1970, Paris/63-Clermont-Ferrand, Klincksieck, , 265 p. (ISBN 978-2-252-04099-7)

Articles

Expositions

Éric de Chassey a assuré le commissariat de nombreuses expositions, accompagnées de publications, dont :

  • « Abstraction-Abstractions : Géométries provisoires » (musée d’art moderne de Saint-Étienne, 1997, en collaboration avec Camille Morineau) »
  • « [Corps] Social » (Paris, École nationale supérieure des Beaux-Arts, 1999)
  • « Made in USA : L’art américain (1908-1948) » (Bordeaux, galerie des beaux-arts ; Rennes, musée des Beaux-Arts ; Montpellier, Musée des Beaux-Arts, ; 2001-2002)
  • « Kelly-Matisse, Dessins de plantes » (Paris, Centre Pompidou ; Saint Louis Art Museum ; 2002, en collaboration avec Rémi Labrusse)
  • « Stroll On ! Aspects de l’abstraction en Grande-Bretagne dans les années soixante, 1959-1967 » (Genève, MAMCO, 2005-2006)
  • « Repartir à zéro, comme si la peinture n’avait jamais existé, 1945-1949 » (musée des beaux-arts de Lyon, 2008-2009, en collaboration avec Sylvie Ramond)
  • « Alex Katz : An American Way of Seeing » (Sara Hilden Museum, Tampere ; musée des beaux-arts, Grenoble ; Museum Kurhaus, Kleve, 2009)
  • « Ils ont regardé Matisse. Réceptions abstraites de Matisse, 1948-1968 » (musée Matisse, Le Cateau-Cambrésis, 2009, en collaboration avec Émilie Ovaere)
  • « La pesanteur et la grâce, Abstractions et spiritualité » (Paris, Collège des Bernardins ; Rome, Académie de France à Rome - Villa Médicis, 2010-2011)
  • « Les mutants » (Rome, Académie de France à Rome – Villa Médicis, 2010)
  • « Jean-Auguste Dominique Ingres - Ellsworth Kelly » (Rome, Académie de France à Rome – Villa Médicis, 2010)
  • « Europunk. La culture visuelle punk en Europe, 1976-1980 » (Rome, Académie de France à Rome – Villa Médicis ; Genève, Mamco ; 2010-2011, en collaboration avec Fabrice Stroun)
  • « Images en lutte. La culture visuelle de l'extrême-gauche en France (1968-1974) » (Paris, Palais des Beaux-Arts, 2018, en collaboration avec Philippe Artières)

Organisation de colloques internationaux

  • « Autour de Supports/ Surfaces », Paris, Galerie nationale du Jeu de Paume, 1998
  • « Les utopies de l’abstraction », université François-Rabelais de Tours, 2005, en collaboration avec Pascal Rousseau
  • « Repartir à zéro, Arts, culture et politique dans l’immédiate après-Seconde Guerre mondiale » (1945-1949), musée des beaux-arts de Lyon, 2009, en collaboration avec Jean Kempf
  • « Pierre Soulages », Paris, Centre Pompidou, 2010

Distinctions

Décoration

Récompense

Notes et références

  1. Nécrologie de Benoît de Chassey, Le Progrès, 2 juin 2012.
  2. Marié à Jenna de Rosnay née Severson.
  3. Également animateur sur Radio Courtoisie, gérant de Contre-Info.com, de L’Héritage, des Éditions des Cimes et de la Librairie française à Paris.
    Voir Contre-Info.com, sur Conspiracy Watch.
  4. « Le vrai pouvoir des maristes à Lyon - Tribune de Lyon », sur tribunedelyon.fr (consulté le ).
  5. Éric de Chassey sur le site de l'InTRu.
  6. Biographie de l'université de Tours.
  7. La Violence décorative : Matisse et les États-Unis, Nîmes, éditions Jacqueline Chambon, 1998.
  8. « Éric de Chassey rend hommage à Ellsworth Kelly, disparu le 27 décembre », sur Le Quotidien de l'Art, (consulté le )
  9. Finch Mick, « Éric de Chassey on Simon Hantaï », Journal of Contemporary Painting,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. AHMADI (Bahram). L'enseignement de la peinture en Iran, genèse d'une discipline universitaire.- 2 vol. Tours, 2007. Dir. E. de Chassey. Master 2. (ART 10283)
  11. « Eric de Chassey : “La Villa Médicis est un lieu de formation par les pairs” », lesinrocks.com, 13 décembre 2013.
  12. « Eric de Chassey succède à Frédéric Mitterrand à la Villa Médicis », Le Monde, 7 septembre 2009.
  13. Décret de nomination du 4 septembre 2009.
  14. Julie Gayet favorise-t-elle ses amis auprès de François Hollande ?, closermag.fr, 28 février 2014
  15. Julie Gayet, privée de Villa Médicis, gala.fr, 15 janvier 2014
  16. Julie Gayet à la manœuvre des nominations à l'Élysée, closermag.fr, 5 mars 2015
  17. Julie Gayet a-t-elle pistonné l'un de ses amis ?, closermag.fr, 1er juillet 2015
  18. Le directeur des Beaux-Arts débarqué... et remplacé par un proche de Julie Gayet ?, closermag.fr, 3 juillet 2015
  19. « Julie Gayet nommée au jury de la Villa Médicis par la ministre de la Culture » sur lemonde.fr.
  20. Villa Médicis: après la polémique sur Julie Gayet, le site Internet modifie discrètement son communiqué de presse, huffingtonpost.fr, 15/01/2014, actualisé 05/10/2016
  21. Biographie sur France Inter.
  22. Décret de nomination du 17 septembre 2012.
  23. « Fleur Pellerin, Nicolas Bourriaud, Julie Gayet : la guerre est déclarée ? », valeursactuelles.com, 8 juillet 2015.
  24. « Beaux-Arts : un vaudeville où l'on croise Gayet, Holtz, Pellerin et bien d'autres », tempsreel.nouvelobs.com, 8 juillet 2015.
  25. Éric de Chassey, « L’Académie de France à Rome, Une mission patrimoniale renouvelée », Monumental,‎ 2011-2012, pp. 42 sq. (lire en ligne)
  26. Carole Blumenfeld, « Villa Médicis : le parcours de la visite s’enrichit », Le Quotidien de l’art, no n° 648,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  27. (en) « Claudio Parmiggiani in the Chamber of Jupiter’s Loves », sur Meessen (consulté en )
  28. Eric Dahan, « Magnifique villa en pension complete », Libération,‎ (lire en ligne)
  29. (it) Romeo Carlotta, « Autunno in Musica », sur Liricamente.it,
  30. Pierre Gervasoni, « La Villa Médicis s'essaie au hard-rock », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  31. Diane Lisarelli, « On y était : le festival Villa Aperta à Rome », Les Inrockuptibles,‎ (lire en ligne)
  32. « Carte blanche à Cinélatino à La Villa Medicis »,
  33. (it) « Cinema all'aperto ai Giardini di Villa Medici »,
  34. « Mauvais casting à la Villa Médicis », sur Libération,
  35. Sausset Damien, « Portrait : Éric de Chassey : le nouveau modèle de la Villa Médicis », sur artpress,
  36. « Éric de Chassey - Directeur de la Villa Médicis à Rome », sur Le Journal Des Arts
  37. (it) Alain Elkann, « « Eric de Chassey : La nostra è una cultura accogliente » », La Reppublica,‎ (lire en ligne)
  38. Décret du 5 juillet 2016 portant nomination du directeur général de l'Institut national d'histoire de l'art - M. de Chassey (Eric).
  39. Claire Gilly, « En images : Quand Napoléon inspire les artistes contemporains », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. (en) « Board »
  41. (en) « About RIHA »
  42. Voir sur lemonde.fr.
  43. Artpress, festival international du livre d'art et du film (FILAF), du 26 au 30 juin 2013, Perpignan, 1er juillet 2013.
  44. Voir sur sciencespo-artcontemporain.com.
  45. Bertrand Andriani, « Le Conseil d'Administration fait peau neuve ! », Keep Linked 2019,‎ , p. 20.
  46. « Arrêté du 28 février 2024 portant nomination au conseil d'administration de l'Institut national du patrimoine », sur Légifrance,
  47. « Arrêté du 20 décembre 2017 portant nomination au conseil d'administration de l'Institut national du patrimoine », sur Légifrance,
  48. « La Fondation Angladon-Dubrujeaud », sur Musée Angladon – Collection Jacques Doucet
  49. « Arrêté du 16 avril 2007 portant nomination au conseil d'administration de l'Etablissement public du Grand Palais des Champs-Elysées », sur Légifrance,
  50. Bibliothèque nationale de France, « Rapport d'activité 2017 » [PDF],
  51. « Nomination au conseil scientifique de l'École nationale des chartes »,
  52. « Porte des Arts Études et recherches Au Louvre » [PDF]
  53. « Nomination conseil d'orientation scientifique de l'établissement public du musée du quai Branly », sur Bulletin officiel du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche,
  54. « Bibliothèque Kandinsky, centre de recherche du Musée national d'art moderne », sur site de la bibliothèque Kandinsky Centre Pompidou
  55. « Rapport annuel 2022 » [PDF],
  56. « Olivier Debré - Catalogue raisonné »
  57. Voir sur video-streaming.orange.fr.
  58. Éric de Chassey,, « Conclusion », The Art Newspaper France, no numéro 63,‎ , p. 32 (lire en ligne)
  59. « Nomination ou promotion dans l'ordre des Arts et des Lettres janvier 2011 - Ministère de la Culture », sur culture.gouv.fr (consulté le )
  60. Après la fin - Éric de Chassey, Paris/63-Clermont-Ferrand, Klincksieck / Impr. la Source d'or, , 265 p. (ISBN 978-2-252-04099-7, lire en ligne).
  61. Admin montsoreau, « Prix François Morellet », sur Château de Montsoreau-Musée d'art contemporain (consulté le ).
  62. « Le prix Pierre Daix 2024 couronne « Donner à voir », d’Éric de Chassey », sur Le Point, (consulté le )
  63. « Le prix Pierre Daix 2024 récompense le livre d’Éric de Chassey sur la série Birkenau de Gerhard Richter », sur Le Figaro, (consulté le )

Liens externes