La Résistance royaliste
Les royalistes ont toujours résisté, que ce soit les Chouans lors de la Révolution française de 1789, pendant le coup d'Etat de Napoléon ou encore lors des diverses invasions allemandes qui ont eu lieu depuis la naissance de la République en France.
La Révolution française
Guerre de Vendée
Premiers faits d'armes et organisation
Au départ, cette insurrection ne diffère guère des autres insurrections qui se développent en France au printemps et à l'été 1793. La différence, c'est que, partout ailleurs, les troupes viennent à bout des émeutes. En Vendée, au contraire, une colonne armée de soldats de métier est défaite le 19 mars au Pont-Charrault, entraînant la région d'un affrontement limité vers une guerre civile[1]. Au nord de la Loire, les mouvements insurrectionnels sont réprimés brutalement mais efficacement en un mois[2].
Le dimanche 3 mars, à Cholet, des jeunes gens du canton réunis par le district « pour prendre connaissance des modalités du recrutement du contingent local pour la levée des 300 000 hommes » manifestent leur refus de partir[3].
Le dimanche 10 mars, « la protestation s'étend. La Loire-Inférieure se soulève massivement, acculant les Nantais à l'impuissance devant la multiplicité des interventions nécessaires ». Durant la première semaine, les sites de la protestation sont extrêmement éparpillés. Le 11 mars, Machecoul est envahi par des attroupements de protestataires venus des communes voisines, qui se livrent à des massacres, et ce jusqu'en avril[4]. Parmi les habitants emprisonnés, puis massacrés, on compte des prêtres jureurs. Le nombre des morts est évalué, selon les auteurs, entre une centaine et 800 ; Jean-Clément Martin en a recensé, pour sa part, au moins 160[1]. Parmi les émeutiers se trouvent Charette, qui ne fait rien pour arrêter les massacres, Souchu, son ancien procureur fiscal, leur chef, et l'abbé Prioul, qui célèbre une messe à côté des cadavres[5].
Ailleurs, dans le pays de Retz, d'autres bandes se choisissent des chefs roturiers : le chirurgien Jean-Baptiste Joly, ancien sergent de l'armée royale, le marchand d'œufs Louis Guérin, le colporteur Pajot, ou encore le perruquier Gaston Bourdic[6].
Le 12, la garde nationale tire sur les manifestants pour dégager les abords de Paimbœuf, menacé par des paysans venus de 32 communes proches de la petite ville ; le noble qui les conduit est capturé et guillotiné à Nantes. Le même jour, en revanche, Savenay tombe aux mains des insurgés. De même, les protestataires des paroisses aux abords de Nantes, sur la rive droite de la Loire, se retrouvent aux portes de la ville, sous le commandement de Gaudin-Berillais, un noble, « qui n'ose pas attaquer la ville et se borne à lui envoyer une proclamation où il énumère en quinze points les revendications des paysans en vue d'une négociation » ; sont réclamés : la fin des levées d'hommes, le départ des seuls volontaires, la nécessité du consentement des paroisses aux impôts, la fin des perquisitions et réquisitions, la liberté du culte, la liberté de pensée et d'écrire. Aucune réponse ne venant, Gaudin-Berillais est destitué et la plupart des attroupés rentrent chez eux, le restant, qui veut marcher sur la ville, étant dispersé par les Nantais. « L'épisode est révélateur du sentiment profond d'une paysannerie qui refuse une solidarité nationale qu'elle ne comprend pas et revendique au contraire le droit de la moduler selon ses intérêts immédiats »[7].
À Chanzeaux, une échauffourée entre jeunes gens du village et gendarmes conduit à la mort d'un de ces derniers. La croix du gendarme située dans le parc du château de Chanzeaux témoigne de cet événement.
Plus au nord, le même jour, 600 paysans se rassemblent vers Saint-Florent-le-Vieil pour s'opposer au tirage au sort. Ils mettent en fuite 500 gardes nationaux qui leur barrent le passage, pillent les maisons des Bleus et les caisses du district, puis dépensent le butin dans les auberges du bourg et des alentours.
Le lendemain, le marquis de Bonchamps arrive au bourg et organise la troupe, l'empêchant de se disperser. D'anciens soldats, comme le caporal Perdriault, sont placés à la tête des bandes, enseignant leur savoir aux autres.
Cultivateur et colporteur au Pin-en-Mauges, Cathelineau « rassemble quelques voisins, fait sonner le tocsin, demande au prêtre réfractaire de bénir sa petite troupe, abat le drapeau tricolore qui flottait sur l'église et court rejoindre le gros des insurgés ». Le même jour, 500 paysans du canton, commandés par Perdriault et Cathelineau, s'emparent du bourg de Jallais, repoussant 150 gardes nationaux, et d'un vieux canon.
Le 14 mars, la bande de Cathelineau en rencontre une autre, emmenée par Stofflet, ancien caporal et alors garde-chasse d'un château à Maulévrier. Sous la conduite du second, la troupe, forte de 15 000 hommes, attaque Cholet, une ville d'environ 7 000 habitants, gardée par 500 gardes nationaux, 80 cavaliers et une dizaine de canons. Encerclés par les insurgés, 300 républicains trouvent la mort, « soit la quasi-totalité du bataillon des volontaires des Deux-Sèvres », contre une quarantaine d'insurgés. Entrés dans la ville, ces derniers « saccagent les locaux de la municipalité et des administrations, pillent quelques habitations des patriotes les plus en vue et célèbrent dans les auberges une victoire péremptoire. En cinq jours, les insurgés se sont rendus maîtres des Mauges, c'est-à-dire de la moitié méridionale, située au sud de la Loire, du département du Maine-et-Loire ». Sur l'autre rive, les gardes nationaux l'emportent et font une trentaine de prisonniers (une vingtaine sont guillotinés à Angers).
Dans le département de Vendée, les insurgés chassent la garde nationale de Palluau, entre le 12 et le 14 mars, et s'emparent du Marais breton ; les notables patriotes de Saint-Gilles et de Challans s'enfuient vers les Sables-d'Olonne. À l'intérieur des terres, dans le Bocage, la plupart des petites villes sont prises d'assaut ou par surprise le 12 mars. Le lendemain, la garde nationale du chef-lieu du département, Fontenay-le-Comte, est victime d'une embuscade au carrefour des routes de Nantes à La Rochelle et des Sables-d'Olonne à Saumur[8].
Une armée contre-révolutionnaire
Les jours suivants, 35 000 hommes se réunissent à Chemillé pour tenter de s'organiser en une véritable armée. Plusieurs nobles, souvent d'anciens officiers, les ont rejoints : Charette, d'Elbée, Lescure, La Rochejaquelein. Ces chefs issus de la petite noblesse ne se sont pas imposés de leur propre initiative à ces bandes de villageois. D’une foi religieuse généralement peu intense, ayant pu conserver tous leurs biens depuis 1789 et s'étant même matériellement enrichis par l'achat important de biens nationaux provoqués par la Révolution, ils ne sentent pas spontanément responsables de ces bandes insurgées. Ce n'est que plus tard qu'ils sauront récupérer la colère populaire pour lui donner un tour nettement catholique et royaliste.
Le but de la nouvelle armée est de s'emparer de Chalonnes, avant-garde d'Angers. Comprenant l'intérêt stratégique de le défendre, les républicains ont concentré 4 000 hommes et 5 canons. Le 22, malgré l'avis du maire et des officiers de la garde nationale, les municipaux et la foule se rendent aux Blancs ; les gardes nationaux se replient vers Angers en jetant leurs canons dans la Loire. Alors qu'Angers s'attend à un assaut imminent, l'armée se dissout et les combattants rentrent dans leurs foyers. « On s'était soulevé pour éviter d'être soldat et il n'était pas question de le devenir pour rétablir la monarchie dans la capitale. Plus qu'un soulèvement contre-révolutionnaire, la rébellion demeurait encore une jacquerie contre les exigences jugées intolérables de la nation »[9].
Les républicains tentent de reprendre l'avantage. Sous les ordres du général Marcé, chargé par la Convention de mater la rébellion, une colonne de 2 200 soldats, 100 cavaliers, dotée de 8 canons, cherche à traverser la zone insurgée de La Rochelle à Nantes. Le 17 mars, à Chantonnay, la colonne met en fuite les paysans, qui abandonnent une quarantaine de morts et 3 canons. Le soir du 19, alors qu'elle s'apprête à bivouaquer dans un fond de vallée, dans le Bocage vendéen, elle est prise dans une fusillade. Se débandant, la colonne fuit vers La Rochelle, qu'elle rejoint en une nuit. À son arrivée, Marcé est destitué et arrêté.
La capacité offensive des forces républicaines a été anéantie. Les gros attroupements des jours précédents se développent encore, sous le commandement d'une poignée de nobles comme Royrand et Sapinaud. Toutefois, les bandes du Marais breton et du bas Bocage, soit 10 000 hommes, sous les ordres de Jean-Baptiste Joly, un ancien sergent de l'armée royale, échouent par deux fois dans leur tentative de s'emparer des Sables-d'Olonne, les 24 et 27 mars (ce jour-là, ils perdent 300 hommes, contre 2 pour les républicains).
Napoléon
Après que Bonaparte eut étendu son influence sur la Suisse (qui met alors en place les institutions décentralisées actuelles) et sur l’Allemagne, une dispute à propos de Malte sert de prétexte aux Britanniques pour déclarer une nouvelle fois la guerre à la France en 1803, et pour soutenir l’opposition royaliste à Bonaparte. Des agents royalistes, dont Jean-Charles Pichegru,
sont débarqués clandestinement en France et se mettent en rapport avec Georges Cadoudal et Jean-Victor Moreau. Le complot est rapidement éventé et ses membres arrêtés. Pichegru meurt mystérieusement étranglé dans sa cellule ; les autres sont jugés et condamnés. Cadoudal est exécuté, Moreau banni. Mais le complot fait aussi une victime collatérale : le duc d’Enghien, prince Bourbon. Le Premier consul le fait enlever en territoire étranger, juger sommairement par une commission militaire et exécuter,
suite à des déclarations recueillies auprès de Cadoudal après son arrestation et probablement mal interprétées. L’exécution qui se déroule à Vincennes ne suscite pas d’autres protestations que celles du Royaume-Uni, de la Russie et de l’Autriche qui s’en tiennent à quelques timides reproches. C'est cependant cet acte qui assoit la réputation de « Robespierre à cheval » de Napoléon. Après ce gage donné aux républicains, dans la mesure où le Premier consul réitère le geste des régicides, celui-ci se couronne Empereur le 2 décembre 1804.
1e guerre mondiale
2e guerre mondiale
L'action des gens de droite et en particulier des royalistes est méconnue mais certains ouvrages, entre autres ceux du Colonel de Danville, de Gabriel Jeantet, de François-Marin Fleutot, de Jean Eschbach, de Julien Dungler, etc., informent sur le caractère résistant de l'Action française.
Parmi les premiers et principaux résistants, on cite volontiers Jacques Renouvin, le colonel Rémy, Guillain de Bénouville, Honoré d'Estienne d'Orves... Mais on oublie souvent deux maréchaux de la France libre (de Lattre de Tassigny et Leclerc de Hauteclocque), l'un des premiers FFI envoyé en France occupée (Saint-Jacques), le premier émissaire d'un réseau de résistance vers Londres (abbé de Dartein). On oublie, volontairement ou non, la part que les royalistes ont prise dans les combats de la Libération et dans le débarquement en Algérie.
Les patriotes de l'Action Française ont été nombreux dans certains réseaux[10], par exemple le réseau Hector où les Camelots et ligueurs de Bretagne ont joué un rôle déterminant[10] et parmi eux Luc Robet[10], chef adjoint des Camelots de Bretagne, qui a été arrêté et déporté. Il est revenu, atteint physiquement, mais ayant gardé son énergie, sa foi et sa fidélité à l'Action française. Il fut élu maire de Poullan-sur-Mer pendant dix-huit ans et le papier à lettre de la mairie n'a jamais, sous sa magistrature, porté le nom de « République française »[10].
Vichy
Lorsqu’en 1940, après la débâcle de l’armée française, l’Alsace et la Moselle furent à nouveau annexées par l’Allemagne, c’est un homme d’Action française qui entreprit d’organiser la résistance alsacienne. Paul Dungler, un industriel du textile établi à Thann, entreprit alors de constituer un réseau à partir de ses relations d’AF[11] alors que Jacques Denizane, Paul Ambruster et Jean Eschbach venaient de lancer l'Action Française en Alsace. Dans ses Souvenirs de la guerre de 1939/1945, Paul Dungler écrit :
- « Les Allemands vont perdre la guerre. [...] Lorsqu'ils auront un certain nombre de revers, le régime va s'effondrer intérieurement [...]; il faut que nous, nous nous organisions pour remplacer les Allemands à leur effondrement par une organisation qui tiendra tout le pays pour éviter le jeu communiste[12]. », extrait repris depuis par l'historienne Bénédicte Vergez-Chaignon dans Le Docteur Ménétrel.
Ainsi, le 1e septembre, il fonde la 7e colonne d'Alsace, ou réseau Martial. Paul Dungler fonde dès ce moment, sur place, un fort groupe de Camelots du Roi[10]. L'activité de l'Action française était importante dans la province[11] et Léon Daudet avait déclaré, après un voyage en Alsace : « Paul Dungler, ce jeune alsacien, ira loin car il a le feu qui entraîne et la précision qui fixe[11] ». Animé d’une foi profonde, très patriote, attaché à sa terre alsacienne, c’est un homme résolu qui possède le sens de l’organisation et son franc-parler. Il est persuadé dès l’été 1940 de la défaite future de l’Allemagne et entend préparer dans l’ombre des combattants qui résisteront à l’emprise de l’occupant. Le réseau Martial fonctionnera selon un cloisonnement rigoureux, avec des gens absolument sûrs[13]. Il ne se livrera pas à un terrorisme tout juste bon à provoquer des représailles allemandes sur des innocents. Il organisera en profondeur la résistance, assurant la protection des prisonniers évadés et des jeunes Alsaciens qui fuient la conscription dans l’armée allemande, transmettant des informations au maréchal Pétain[14], lequel les adressera ensuite, via l’amiral Leahy, ambassadeur des États-Unis à Vichy, au président Roosevelt[14]. Voici ce qu'il raconte dans ses mémoires :
- « Je venais une fois par semaine passer une journée à Vichy. Et dès que j'avais quelques chose d'important, j'allais me présenter à Ménétrel qui chaque fois me recevait immédiatement »[15].
Paul Dungler a aussi une importante relation parmi les Allemands opposants à Hitler. Il apprendra ainsi, dès la fin de 1940, qu’Hitler a l’intention d’attaquer l’URSS au printemps 1941. L’information, transmise à Washington par le Maréchal, sera pour Roosevelt une révélation[14].
Grâce à l’entremise de son ami Gabriel Jeantet qu’il a connu à la Cagoule, Paul Dungler est reçu à Vichy par le maréchal Pétain qu’il informe de ses activités clandestines[13]. Le chef de l’État l’encourage et lui donne un sauf-conduit pour faciliter ses déplacements[14]. Il le met en relations avec l'Organisation de résistance de l'armée (ORA) commandée par le général Frère[14]. Celui-ci lui déléguera le colonel d’Ornant pour assister le réseau Martial[13].
Selon l'historienne Bénédicte Vergez-Chaignon :
- « L'agenda, assez fragmentaire, de Bernard Ménétrel, indique par exemple des rendez-vous les 4 mars et 26 avril. Dans tous les cas, on dépasse la simple collecte d'information encouragée par Ménétrel pour remédier à l'absence de renseignements fournis au Maréchal. Il approuve ou aide des entreprises qui travaillent à favoriser la défaite allemande »[16].
Au printemps 1942, Dungler organise l’évasion[14], via l’Alsace et la Suisse, du général Giraud détenu par les Allemands dans une enceinte fortifiée. La plupart des intervenants dans cette opération seront des hommes d’Action française. En 1943, Paul Dungler est chargé par le Maréchal — qui l’a convoqué à Vichy et le décorera de la Francisque (même promotion que François Mitterrand) — de prendre contact avec les généraux Giraud et De Gaulle[14] qui, pour un temps, se partagent le pouvoir à Alger. Il est porteur d’un message destiné à permettre la réconciliation des Français par-delà les options divergentes choisies depuis 1940[14],[13]. Mais De Gaulle l’éconduit et rejette la main tendue par le Maréchal. Paul Dungler, à ses yeux, a en outre commis une faute impardonnable en voulant préserver l’autonomie de son réseau et en refusant de s’inféoder au Conseil national de la Résistance[13].
Ayant repris contact avec Vichy, il participe à des rencontres[14] avec des représentants de l’Abwehr (contre-espionnage allemand) qui méditent l’élimination de Hitler. Dans cette hypothèse, l’armée allemande pourrait se retirer de France à la suite d’un armistice avec les Anglo-saxons. Des combats sur le sol français seraient évités...
En attendant, Paul Dungler continue d’organiser les groupes mobiles d’Alsace (G.M.A.), du Sud, des Vosges et de Suisse. Le premier d’entre eux deviendra la Brigade Alsace-Lorraine d’André Malraux qui, comme Dungler, avait été marqué par l’Action française quand il avait écrit en 1922 une préface très élogieuse pour l’ouvrage de Maurras L’Avenir de l’intelligence.
Concernant Charles Maurras, on lit dans l'ouvrage de Jean Eschbach que « [son action] était la bête noire d’Otto Abetz (représentant d’Hitler à Vichy) qui considérait que c’était son principal opposant en zone libre ». Maurras, établi avec l’Action française à Lyon, ne cessait de dénoncer la presse collaborationniste de Paris. En somme, Dungler et lui résistaient sur des plans différents mais complémentaires.
Les royalistes et De Gaulle
La guerre d'Algérie
L'OAS
Bibliographie
- Michel Leymarie et Jacques Prévotat, L'Action française : culture, société, politique, Presses Universitaires Septentrion, 2008 - 434 pages
- Simon Epstein, Les Deyfusards sous l'Occupation, 2001 et du même auteur, Un paradoxe français: Antiracistes dans la collaboration, antisémites dans la résistance, Albin Michel, coll. « Bibliothèque Albin Michel Histoire », 2008
- François-Marin Fleutot, Des royalistes dans la Résistance, Flammarion, 2000, 514 p., (ISBN 2080678094)
- Limore Yagil, Chrétiens et Juifs sous Vichy (1940-1944) - Sauvetage et désobéissance civile, Préfacé par Yehuda Bauer, Collection « Cerf Histoire », 766 p., mars 2005
Références
- ↑ 1,0 et 1,1 Jean-Clément Martin, « La Révolution a coupé la France en deux », dans L'Histoire, n°311
- ↑ Jean-Clément Martin, Violence et Révolution, Essai sur la naissance d'un mythe national, éditions du Seuil, 2006
- ↑ Roger Dupuy, La République jacobine, Terreur, guerre et gouvernement révolutionnaire, 1792-1794, tome 2 de la Nouvelle histoire de la France contemporaine, éditions du Seuil, collection Points, 2005, p. 101
- ↑ Roger Dupuy, La République jacobine, Terreur, guerre et gouvernement révolutionnaire, 1792-1794, tome 2 de la Nouvelle histoire de la France contemporaine, éditions du Seuil, collection Points, 2005, p. 101
- ↑ Albert Soboul (dir.), Dictionnaire historique de la Révolution française, Quadrige/PUF, 1989, p 697-698, entrée « Machecoul » de Claude Petitfrère
- ↑ Gaston Bourdic deviendra populaire parmi les insurgés, sans doute pour avoir revêtu l'uniforme d'un colonel républicain qu'il avait tué- et s'être accaparé le titre de général.
- ↑ Roger Dupuy, La République jacobine, Terreur, guerre et gouvernement révolutionnaire, 1792-1794, tome 2 de la Nouvelle histoire de la France contemporaine, éditions du Seuil, collection Points, 2005, p. 102
- ↑ Roger Dupuy, La République jacobine, Terreur, guerre et gouvernement révolutionnaire, 1792-1794, tome 2 de la Nouvelle histoire de la France contemporaine, éditions du Seuil, collection Points, 2005, p. 102-104
- ↑ Roger Dupuy, La République jacobine, Terreur, guerre et gouvernement révolutionnaire, 1792-1794, tome 2 de la Nouvelle histoire de la France contemporaine, éditions du Seuil, collection Points, 2005, p. 104
- ↑ 10,0 10,1 10,2 10,3 et 10,4 L'Action Française dans la résistance en Alsace, article écrit par Guy Steinbach sur le site de La Restauration Nationale
- ↑ 11,0 11,1 et 11,2 Jean Eschbach, La résistance alsacienne, le combat de Paul DUNGLER, Jérôme Do Bentzigier, Editeur,, 332 p.
- ↑ Paul Dungler, Souvenirs de la guerre de 1939/1945, p. 11
- ↑ 13,0 13,1 13,2 13,3 et 13,4 « Des hommes d’Action française dans la Résistance alsacienne, Le combat de Paul Dungler » dans l'Action française 2000 du 19 juin 2003 par Pierre Pujo.
- ↑ 14,0 14,1 14,2 14,3 14,4 14,5 14,6 14,7 et 14,8
- ↑ Paul Dungler, Souvenirs de la guerre de 1939/1945, p. 31
- ↑ Bénédicte Vergez-Chaignon, Le Docteur Ménétrel, Perrin, 2001, p. 159
Article publié sur Wikimonde Plus
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