VULOG

VULOG
Création 2006
Fondateurs Georges Gallais ; David Emsellem
Forme juridique Société par actions simplifiée
Siège social Nice
Drapeau de la France France
Activité Automobile
Produits Electronique embarquée et logiciels
Effectif 10
Site web [1],http://www.vulog.com

VULOG (Véhicule Urbain LOGiciel), PME française qui fournit des technologies d'autopartage et accompagne ainsi les opérateurs d'autopartage dans leurs projets. L'entreprise a été crée en 2006 par Georges Gallais, ancien checrcheur de l'Inria, après avoir remporté les premiers Galileo Masters[1], concours européen qui récompense les meilleures applications innovantes satellitaires[2].

Missions de l'entreprise

L'ambition de VULOG est d'accompagner, grâce à ses innovations, les opérateurs d'autopartage dans leurs projets d'amélioration de la mobilité urbaine et leurs efforts en matière de préservation de l'environnement.

Dans cette optique, VULOG propose des technologies embarquées pour les véhicules destinés à l'autopartage. L'entreprise fournit les ordinateurs de bord, le logiciel de gestion pour l'opérateur d'autopartage qui reçoit les informations sur le véhicule en temps réel, ainsi que le site-web et l'application smartphone destinés à l'utilisateur final.

Projets

L'autopartage public

VULOG contribue au déploiement de flottes de voitures autopartagée dans différentes communes en équipant les véhicules de sa technologie.

En 2007, la société a mis en place le premier service d'autopartage avec des véhicules électriques, en partenariat avec la ville d'Antibes. Cette expérimentation a pris fin en 2011[3].

En 2010, VULOG devient à titre expérimental opérateur d'un service d'autopartage innovant à Rueil-Malmaison: des voitures électriques en libre service intégral destinées à être utilisées par les habitants de la ville.Ce projet est soutenu par l'Ademe (Agence del'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie) et la ville de Rueil Malmaison, située en proche banlieue parisienne[4]. Ce projet permet à VULOG de mieux connaître l'ensemble des contraintes inhérentes à un service d'autopartage public et de développer une nouvelle version de sa technologie embarquée.

En 2011, VULOG équipe le service Yelomobile à La Rochelle 50 véhicules électriques en « One-Way »[5]. Cette même année, l'entreprise équipe aussi les voitures d'Auto Bleue, le service d'autopartage de la ville de Nice, 180 véhicules électriques en boucle (retour à la station de départ)[6].

En 2012, VULOG fournit la technologie nécessaire au service d'autopartage de la ville de Nancy, pour de l'autopartage sans station (Free Floating).

Fin 2013 et début 2014, VULOG équipe 140 véhicules de la flotte de voitures en autopartage de Belfort, qui est entièrement intégrée au réseau des transports, dans le cadre du programme Optymo[7].

Coopération avec les sociétés d'autopartage

VULOG fournit ses produits et services aux opérateurs d'autopartage et contribue ainsi au déploiement de leurs flottes.

En 2013, Sixt Leasing[8] choisit VULOG pour lancer un service de « Corporate CarSharing »

Cette même année, Communauto, opérateur d'autopartage au Canada, choisit d'équiper ses véhicules de la technologie VULOG pour tester son nouveau service de voiture électrique en libre service intégral[9].

Autres projets

En 2013, VULOG participe au projet Greenfeed, dont l'ambition, dans le cadre plus global de GIREVE, est de développer un ensemble de solutions logicielles et matérielles interopérables et universelles pour la recharge des véhicules, afin de faciliter la croissance des services d'électro-mobilité et de renforcer la multimodalité[10]. Dans ce cadre, VULOG fournit les équipement embarquées et l'API afin de développer un standard qui permet d'aller au-delà de la diffculté liée à la diversité des acteurs et équipements à interfacer.

En 2013 également, PSA choisit VULOG pour sa solution "groupe". Le constructeur automobile pré-équipera en option une partie de sa gamme avec la technologie embarquée de VULOG. Le produit VULOG devient alors le seul du marché à être homologué par un constructeur en 1e monte[11].

Financements

Fin 2008, le fonds Eco-mobilité Partenaires de la SNCF a investi dans la société VULOG reconnaissant ainsi les compétences technologiques et le positionnement de la société sur le marché de l'autopartage[12].

En 2013, l'entreprise obtient une nouvelle levée de fonds auprès d'un groupe d'investisseurs de la région PACA[13].

Récompenses

En 2013, VULOG remporte la 3e place du "Fleet Awards" pour sa solution de corporate carsharing lors de la 7e édition du Fleet Europe Forum. La solution VULOG consiste en un écran tactile embarqué paramétrable pour un déploiement de service d'autopartage facilité et accéléré[14].

Notes et références

  1. ↑ Galileo Masters, informations sur les Galileo Masters.
  2. ↑ VULOG gère les services d'autopartage, sur www.lesechos.fr.
  3. ↑ Fin des voitures électriques en libre service d'Antibes, sur le site de l'avem.fr.
  4. ↑ Des voitures électriques en libre service, sur le site du parisien.fr, en 2010, écrit par Florence HUBIN.
  5. ↑ Inauguration des citroën c-zero en libre service à La Rochelle, sur le site de l'Avem.fr.
  6. ↑ Auto-bleue Lancement le 9 avril, sur www.nicematin.com, paru en 2011.
  7. ↑ Bus, vélo, voiture : VULOG monte le 1er service d'autopartage intégré, sur le site webtimemedias.com, paru le 19 décembre 2013
  8. ↑ Vulog roule pour l'auto-partage connecté, 28 octobre 2013
  9. ↑ VULOG - Communauto Autopartage sans stations au Canada, sur le site www.automobile-propre.com, 2013.
  10. ↑ Informations sur Greenfeed, http://www.capenergies.fr/
  11. ↑ Nice : VuLog choisi par PSA pour sa technologie embarquée, sur le site webtimemedias.com, paru le 7 mai 2013
  12. ↑ Présentation VULOG, sur le site internet de VULOG.
  13. ↑ Autopartage – VULOG boucle une nouvelle levée de fonds, sur le site de l'Avem, paru le 8 octobre 2013
  14. ↑ Autopartage & entreprise – VULOG récompensé par un Fleet Europe Award, sur le site de l'Avem, paru le 28 novembre 2013

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