Saint-Pois
Saint-Pois | |
![]() L'église Saint-Louis. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Avranches |
Intercommunalité | Villedieu Intercom |
Maire Mandat |
Yves Lecourt 2020-2026 |
Code postal | 50670 |
Code commune | 50542 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Poisiens |
Population municipale |
462 hab. (2022 ![]() |
Densité | 59 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 44′ 58″ nord, 1° 04′ 01″ ouest |
Altitude | Min. 73 m Max. 289 m |
Superficie | 7,78 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Saint-Pois est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 462 habitants[Note 1].
Géographie
La commune est au nord-ouest du Mortainais. Son bourg est à 17 km au nord-ouest de Mortain, à 18 km au sud-est de Villedieu-les-Poêles, à 19 km au sud-ouest de Vire, à 23 km au nord de Saint-Hilaire-du-Harcouët et à 26 km au nord-est d'Avranches[1].
Hydrographie
La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le Glanon, le cours d'eau 05 de la commune de Saint-Michel-de-Montjoie[3], un bras du Glanon[4], le cours d'eau 04 de la commune de Saint-Michel-de-Montjoie[5], le cours d'eau 04 de la commune du Mesnil-Gilbert[6], le fossé 01 des Vezieres[7] et la Hartellerie[8],[9],[Carte 1].
Le Glanon, d'une longueur de 12 km, prend sa source dans la commune de Noues de Sienne et se jette dans la Sée à Cuves, après avoir traversé six communes[10].

Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[12]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d’ouest, et frais en raison de l’altitude[13].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 059 mm, avec 14,3 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-du-Harcouët à 19 km à vol d'oiseau[14], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 929,5 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].
Urbanisme
Typologie
Au , Saint-Pois est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[19] et hors attraction des villes[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,6 %), prairies (35,4 %), forêts (16,1 %), zones urbanisées (5 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme de S. Paterno en 1412[23].
Pois est une déformation[24] de Pair, appelé également Paterne, évêque d'Avranches au VIe siècle.
Saint Pair est en effet le patron de la paroisse. Dans le parler local, le r final ne se prononce pas. D'autre part, pois se dit peis. D'où la confusion des deux mots[25].
Homonymie, donc, avec Saint-Poix, Saint-Pair, Saint-Pair-sur-Mer, Saint-Pair-du-Mont, Saint-Paterne, Saint-Paterne-Racan, Saint-Paër et Saint-Pern.
Le gentilé est Saint-Poisien.
Histoire
Les origines : Les Seigneurs Servain
Vers la fin du IXe siècle, la contrée qui forme aujourd'hui les communes de Saint-Pois, Coulouvray, Montjoie (Saint-Michel), Gathemo, Lingeard et autres environnantes présentait encore l’aspect d'une vaste forêt dont quelques portions seulement étaient livrées à la culture, et les habitants n'étaient pas nombreux. Lorsque les Normands se fixèrent dans l'Avranchin et même dans presque toute la Basse-Neustrie (888), un de leurs chefs vint au milieu de ces bois, et y bâtit un manoir qui devient bientôt une place forte. S'étant l'un des premiers soumis à Rollon, il reçut de lui de vastes domaines aux pays de Lisieux ; mais il n’abandonna pas sa première résidence, ou il pouvait facilement se livrer au plaisir de la chasse. Les habitants du voisinage le nommèrent Sylvanus, c'est-à-dire le seigneur de la forêt ou des bois, nom qu'il accepta, et de là le nom de Sylvain et Servain que portèrent tous ses descendants jusqu'au XVe siècle. Le seigneur Servain bâtit une église, qui fut placée sous le vocable de saint Paterne, évêque d'Avranches, d'où le nom de saint Paterne ou saint Pair sous lequel on désigna la paroisse jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. Alors seulement elle prit le nom de Saint-Paix, Saint-Pouaix et enfin Saint-Pois qu'elle porte actuellement. Il existait également une chapelle située à un kilomètre environ, et dédiée sous le titre de Saint-Jacques, apôtre, elle était desservie par un clerc, et les fidèles s'y réunissaient pour le culte. Avait-elle échappé aux dévastions des Normands, ou bien avait-elle été bâtie après la conversion des seigneurs Servain, il n'est pas possible de le savoir, mais après la construction de l'église Saint-Paterne, elle fut abandonnée, tomba en ruines, et il n'en est fait aucune mention dans la suite. Elle était au-delà du Bas-bourg, près de l'ancienne route de Brécey; le souvenir s'en est conservé dans le Champ-de-la-Chapelle, le bois Saint-Jacques, la butte Saint-Jacques, le pont Saint-Jacques, jeté sur le Glanon, aux limites de Saint-Pois, Saint-Laurent-de-Cuves et Cuves. Les maisons qui se bâtirent près du manoir des Servain et de l'église furent l'origine du bourg actuel. La première mention authentique de Saint-Pois se trouve dans la charte de fondation de l'église collégiale de Mortain (1082) ; il y est dit que Robert, compte de Mortain, donna pour la prébende du Doyen, entre autres choses, la moitié de la dîme de la foire de Saint-Pair. Cette foire qui se tient tous les ans le jeudi d'après le 1er novembre, remonte comme on le voit, à une assez haute antiquité. Jadis c'était une des plus grandes foires du pays, mais elle a beaucoup perdu de son importance. Plusieurs des fils du seigneur Servain, Guillaume et Gauvin Servain prient la croix à la voix de l'évêque Turgis et partirent pour la Terre sainte en 1095. Mais s'il faut croire la tradition il y aurait eu trois seigneurs Servain à partir en même temps pour la croisade, et ce serait pour perpétuer le souvenir de ce fait qu'on aurait élevé trois croix dans le champ appelé le champ des Croix, situé entre le bourg et le château actuel, sur la route de Vire. Robert Servain, dernier seigneur de ce nom, refusa de se soumettre au roi Anglais Henri V en 1418. Ses biens furent confisqués et donnés à Henri V, qui resta possesseur de la baronnie de Saint-Pair jusqu'en 1463[26],[27].
Marquisat : la famille d'Auray
La baronnie de Saint-Pair-le-Servain fut remise à la famille d'Auray par un mariage puisque Robert Servain n'eut qu'une fille, Marguerite Servain. C'est ainsi que la famille d'Auray, très ancienne en Bretagne hérita de la baronnie de Saint-Pair-le-Servain. En 1470, vit Jehan d'Auray, conseiller et chambellan de Louis XI[28]. Dans les ancêtres des d'Auray nous retrouvons une personnalité importante, Pierre d'Auray conseiller du roi, lieutenant général du bailli de Mortain (1648-1683) fut un des seigneurs les plus distingués de son pays et de son temps.
Par lettres patentes de 1700, Louis XIV érigea en sa faveur la baronnie de Saint-Pois en marquisat d'Auray ; il y mourut en 1728.
Par ailleurs le château du début du XVIIIe siècle fut construit par la famille d'Auray. Il est actuellement inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [29],[27].
La révolution de 1790 : Saint-Pois chef-lieu de canton
La révolution de 1790 fit de Saint-Pois un chef-lieu de canton, qui se composa de Saint-Pois, Boisyvon, Coulouvray, Lingeard, Mesnil gilbert, Montjoie, Saint-Laurent-de-Cuves, Saint-Martin le-Bouillant, La Chapelle-Cécelin et Saint-Maur-des-Bois. Ces deux dernières communes étaient de l'ancien diocèse de Coutances.
Depuis 1800, l'aspect de Saint-Pois a beaucoup changé, cinq grandes routes ont été ouvertes, beaucoup de maisons nouvelles se sont construites au bourg, et la population s'est assez notablement accrue. Le site sans doute n'a pas changé et les beaux points de vue dont on y jouit aujourd'hui sont les mêmes qu'autrefois; mais les routes qui viennent aboutir en ce bourg, jadis de difficile accès, permettent d'en jouir plus facilement et de faire aux environs d'agréables promenades[27].
La Seconde Guerre mondiale : Saint-Pois occupé

Le , une première charge de la 3e division blindée américaine du général Rose ne parvient pas à libérer Saint-Pois de l'occupation allemande. Le , la 4e division d'infanterie américaine du général Barton libère entièrement Saint-Pois qui résiste à la contre-attaque allemande, jusqu'à l'arrivée, le de la 2e division blindée américaine du général E. Brooks qui enfonce le front allemand[30].
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et trois adjoints[36].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2022, la commune comptait 462 habitants[Note 3], en évolution de −9,23 % par rapport à 2016 (Manche : −0,31 %, France hors Mayotte : +2,11 %). Saint-Pois a compté jusqu'à 865 habitants en 1846.
Économie
Vie locale
Enseignement
Activité et manifestations
Sports
Le Football cantonal Saint-Pois fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[41].
Un club de rugby à XIII est créé dans la commune qui joue son premier match officiel contre Charenton en 2021[42]. Il est ensuite pleinement intégré dans le championnat de France : lors de la saison 2023-2024, le club dispute la « Nationale 3 » , dans la poule « Nord » , avec des équipes de l'ouest de la France comme Nantes et Vertou.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Saint-Pois des XVIIe – XVIIIe siècles (1719) avec pigeonnier, partiellement inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [29]. Le jardin et le parc sont inscrits à l'IGPC[43].
- Église Saint-Louis avec tour-porche reconstruite de 1876 à 1888, en remplaçant de l'ancienne église menaçant ruine. L'édifice, pavé de pierres tombales des XVIIe et XVIIIe siècles, abrite des burettes et leur plateau du XVIIIe classées au titre objet aux monuments historiques[44], ainsi qu'un bénitier en granit très ouvragé, une Vierge de pitié du XVe, les statues de saint Pair du XVIe, de saint Sébastien du XVIe, un tableau le Portement de croix du XIXe, une verrière d'Alberges et fils du XIXe et Paul Bony du XXe[28].
- Ancien presbytère en face de l'église et croix ancienne en granit.
- Croix de chemin dite croix des Vergées du XVIIIe siècle, croix du Bas du bourg du XVIIe siècle et de la Mocherie du XVIIe siècle.
- Villa Lemare située dans le bourg. Manoir construit par Émile Lemare, courtier en huile sur Paris, qui achète en 1882 un terrain au marquis d’Auray de Saint-Pois pour s'installer avec son épouse.
.Pour mémoire
- Ancienne église paroissiale Saint-Pair dont l'origine remonte au XIe siècle. La première église construite était une modeste chapelle qui, après quelques remaniements, perdurera jusqu’à la fin du XIXe siècle. Elle fut alors démolie pour que soit bâtie en 1880, au même endroit l'église actuelle. De l'ancien lieu de culte il subsiste entre autres, une pietà du XVe siècle et un bénitier en granit très ouvragé.
-
La nef de l'église. -
Pietà du XVe siècle. -
La villa Lemare. -
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Jean-François Graindorge (Saint-Pois, 1770 - 1810), général des armées de la République et de l'Empire, mort le , des suites de ses blessures reçues lors de la bataille de Buçaco (nom gravé sous l'Arc de Triomphe).
- Jean Gardin (Saint-Pois, 1941-), évêque d'Impfondo au Congo.
- Philippe Bas, homme politique, sénateur.
Héraldique
![]() |
Blason | Tiercé en pairle renversé; au 1 de gueules à deux léopards d'or, armés et lampassés d'azur l'un au-dessus de l'autre, au 2 d'or à un chêne de sinople, futé et fruité de tenné, au 3 d'azur à trois fasces ondées d'argent[45]. |
---|---|---|
Détails | Les deux léopards d'or rappellent les armoiries de la Normandie. Créé par JF Binon. Adopté le 14 mars 2019. |
Voir aussi
Bibliographie
- Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 223-224.
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 598.
Articles connexes
Liens externes
- Sites officiels : www.saintpois-bocagevuesurlemont.fr et www.stpois-50.fr
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
Notes
- ↑ Population municipale 2022.
- ↑ Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
- ↑ « Réseau hydrographique de Saint-Pois » sur Géoportail (consulté le 13 avril 2025).
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- ↑ Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
- ↑ « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- ↑ Sandre, « le cours d'eau 05 de la commune de Saint-Michel-de-Montjoie ».
- ↑ Sandre, « un bras du Glanon ».
- ↑ Sandre, « le cours d'eau 04 de la commune de Saint-Michel-de-Montjoie ».
- ↑ Sandre, « le cours d'eau 04 de la commune du Mesnil-Gilbert ».
- ↑ Sandre, « le fossé 01 des Vezieres ».
- ↑ Sandre, « la Hartellerie ».
- ↑ « Fiche communale de Saint-Pois », sur sigessn.brgm.fr (consulté le ).
- ↑ Sandre, « Le Glanon »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- ↑ GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
- ↑ « Orthodromie entre Saint-Pois et Saint-Hilaire-du-Harcouët », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Saint-Hilaire-du-H » (commune de Saint-Hilaire-du-Harcouët) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Saint-Hilaire-du-H » (commune de Saint-Hilaire-du-Harcouët) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Pois ».
- ↑ « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
- ↑ René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 240.
- ↑ Cahier des Annales de Normandie - René Lepelley - Les noms de communes de l'arrondissement d'Avranches (Manche) - page 563.
- ↑ « château de Saint-Pois, inscrit MH par arrêté du 24 mai 1974 », sur chateau-fort-manoir-chateau.eu (consulté le ).
- de littérature Société d'archéologie, « Mémoires de la Société d'archéologie, de littérature, sciences et arts d'Avranches », sur Gallica, (consulté le ).
- Gautier 2014, p. 598.
- « Château de Saint-Pois », notice no PA00110599, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ HD ARCHIVES, « MACHINE GUN FIRING ST,. POIS, FRANCE AUG 8 44 US INFANTRY FIRE MACHINE GUNS AT ST. POI - LMWWIIHD217 », sur Youtube.
- ↑ Dépouillement des registres de l'EC
- ↑ Pendant tout son magistère, c'est son adjoint Pierre François Esnault qui tiendra la plume (1766-1848).
- ↑ « Disparition de Raymond Datin, ancien maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- ↑ « Maire Casimir Lechevalier ne se représente pas », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- ↑ « Yves Lecourt élu nouveau maire dimanche », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- ↑ « Saint-Pois (50670) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – F. cantonal Saint-Pois » (consulté le ).
- ↑ « Saint-Pois. L'équipe de rugby est baptisée », sur lamanchelibre.fr, (consulté le ).
- ↑ « Jardin du château », notice no IA50000218, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Burettes et plateau », notice no PM50001071, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ Armorial de France, p. 20298.