M'Jid El Guerrab

M'jid EL GUERRAB
Naissance (41 ans)
Aurillac (France)
Nationalité
* Drapeau de la France France* Drapeau du Maroc Maroc
Pays de résidence Casablanca (Maroc)
Diplôme
Profession

Parcours professionnel

M'jid EL GUERRAB est un collaborateur d'élus français spécialisé dans la communication qui se dit proche d'Emmanuel Macron.

Né à Aurillac, ville rurale moyenne d'Auvergne, de parents Marocains, il a grandi dans une famille nombreuse (5 frères et 2 sœurs). Son père était bucheron tandis que sa mère au foyer se consacrait à l'éducation de ses enfants. Son grand-père était « vendeur d'eau » à Aït Ishaq, dans les montagnes berbères du Maroc, c'était un « Guerrab »… D'où ce nom de famille : El Guerrab.

M'jid EL GUERRAB est actuellement chef du service de presse[1] à la Caisse des dépôts et consignations.

A la suite de ces études à l'Institut d'Etudes Politiques d'Aix-en-Provence (Diplôme obtenu en ), il a rejoint en le cabinet de Ségolène Royal à la Région Poitou-Charentes en tant que Conseiller en charge de la commination.

  •  : Lors de la campagne des élections présidentielles de 2007, il devient le Responsable de la cellule de riposte et de veille pour la candidate socialiste.
  •  : il est nommé coordinateur de la communication du Groupe socialiste du Sénat.
  •  : il intègre le cabinet de Jean-Pierre Bel à la présidence du Sénat lorsque la gauche arrive au pouvoir.
  •  : il rejoint le cabinet de Thierry Repentin, Ministre de la formation professionnelle et de l'apprentissage puis Ministre des Affaires Européennes.
  •  : il décide de créer son cabinet de conseils en France et au Maroc et travaille auprès de différentes personnalités politiques, institutionnelles et médiatiques nationales et internationales.


En parallèle, il enseigne à l'Institut d'Etudes Politiques d'Aix-en-Provence « le développement durable en Méditerranée » et intervient également dans différentes grandes écoles au Maroc.

Actualité

En Septembre , il co-signé l'appel des 41 « Nous, Français et musulmans, sommes prêts à assumer nos responsabilités »1.
Il a publié une tribune sur la création d'une Communauté euro-méditerranéenne pour la transition énergétique (CEMTER)2 dont les principaux co-signataires sont :

  • Jean-Louis Borloo, ancien députe-maire de Valenciennes et ancien ministre d'Etat, Président d'Energies pour l'Afrique.
  • Yann Arthus-Bertrand, réalisateur, Ambassadeur de bonne volonté du PNUE.
  • Philippe Douste-Blazy, ancien ministre, Secrétaire général adjoint des Nations-Unies.
  • Jean-Pierre Bel, ancien Président du Sénat, envoyé spécial du Président de la République française.
  • François Rebsamen, ancien ministre, Président-maire du Grand Dijon.
  • etc...

Il a co-signé avec plusieurs autres personnalités une tribune pour la mise en place d'un Parlement pour la paix en Méditerranée3

Campagne pour la députation des Français de l'étranger

Après avoir été membre du Parti Socialiste à la section de Paris pendant plusieurs années, ll décide de se porter candidat à l'investiture du PS[2] pour être député de la 9ème circonscription des Français établis à l'Etranger, celle couvrant le Maghreb et Afrique de l'Ouest[3]. Le poste est convoité par plusieurs autres personnalités. Les militants locaux du PS obtiennent l'organisation d'une primaire à laquelle il concourt au côté de Ali Soumaré, Chokri Ghattas et Didier Le Bret[4],[5] avant de se retirer mi novembre 2016, deux semaines avant le vote et de rejoindre le mouvement En Marche fin décembre. Dans son nouveau mouvement il sollicite l'investiture pour cette même circonscription et ne l'obtient pas au détriment de Augustin Augier, qui décline. Le parti La République En Marche désigne alors la sénatrice Leila Aïchi[6] comme sa candidate avant de se rétracter après une polémique sur les positions internationales de celle-ci; cependant, si le nom de Leila Aïchi n'a pas été rétabli sur le site de LREM[7], son affiche officielle sur laquelle figure « La REPUBLIQUE En Marche ! » a été validée par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères[8]. L'investiture du parti n'échoit donc pas à M'Jid El Guerrab et il décide de se présenter en candidat sans étiquette en tant que « Candidat de la Majorité Présidentielle »[9].

Références

Article publié sur Wikimonde Plus

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