Georges Hillion
Georges Hillion | ||
Portrait du Capitaine Hillion FFI | ||
Surnom | "Capitaine Francis" ou "Le beau Georges" | |
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Nom de naissance | Georges, Paul, François, Marie | |
Naissance | Château de Locoyarn |
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Décès | (à 68 ans) Hôpital militaire de Lorient |
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Allégeance | Armée française | |
Arme | Armée Blindée Cavalerie | |
Unité | Spahis | |
Grade | Lieutenant-colonel | |
Commandement | Capitaine de la 1re Compagnie du 7e Bataillon FFI (Morbihan) | |
Conflits | Seconde Guerre mondiale, Guerre d'Indochine, Guerre d'Algérie | |
Faits d'armes | Bataille de France, Bataille de Hannut (Belgique), Poche de Lorient (France), Tay Ninh (Indochine) | |
Distinctions | Officier de la Légion d'honneur, Médaille Militaire
Médaille de la Résistance, Croix 39-45, Croix T.O.E |
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Hommages | Avenue Capitaine-Georges-Hillion à Hennebont | |
Autres fonctions | Haut-Fonctionnaire | |
Georges Hillion, né le [1] au château de Locoyarn à Hennebont dans le Morbihan et mort le [2] à Hôpital des armées Calmette de Lorient, est un officier de l'Armée Blindée et Cavalerie de carrière, qui s'est illustré au début de la Bataille de France puis dans la résistance morbihannaise (Forces françaises de l'intérieur) au cours de la Seconde Guerre mondiale.
Titulaire de 9 citations, blessé 28 fois, et a reçu à 3 reprises l'Onction des malades sur le champ de bataille. Engagé volontaire comme Brigadier-chef en 1930 il termine sa carrière militaire en 1962 en qualité de Lieutenant-colonel de Réserve.
Biographie
Enfance
Georges Hillion est né au château de Locoyarn chez sa tante maternelle. Il est issu d'une vielle famille de la bourgeoisie morbihannaise ayant fait fortune dans l'achat de plusieurs propriétés terriennes et foncières grâce aux commerces avec les Indes orientales au XVIIIe siècle. Un de ses aïeuls, Jean-François Roger armateur et négociant à la Compagnie française des Indes orientales, fut député royaliste et secrétaire de l'Assemblée générale des Colonies (île Maurice) pendant la Révolution française. Il est le fils du capitaine Francis Hillion[3],[4] du 160e Régiment d'infanterie Mort pour la France devant Baronville à la tête de sa compagnie à la bataille de Morhange le 20 août 1914[5]. Avec sa sœur Élisabeth née en 1904 et sa mère Marie-Louise Hillion née Roger, ils résident entre Paris, Nantes, Angers au château du Mélinais[6],[7] chez leurs grands-parents puis à Locoyarne dans la propriété familiale. Son oncle Paul Decq, polytechnicien, ancien capitaine d’artillerie, deviendra son tuteur. Il est le neveu du chanoine Louis Dedouvres (1848-1923) Doyen de la Faculté des Lettres de l'Université catholique d'Angers[8]. La famille Hillion est affiliée aux familles (Calmette, Stenfort, de Brossard, Dunot, Cuvillier de Cuverville, Sauvage, Mangin, Roger, Mocudé).
Il est le cousin du docteur Léonce Franco.
Formation
L’unique sœur de son père alors religieuse et économe générale des Dames de la Retraite d'Angers l’enverra en 1925 suivre une année d’étude à Londres. En 1930, il décide de s’engager pour trois ans au 3e spahis algériens basé à Batna en Algérie.
En 1939, il prépare le concours d’entrée à l’école de cavalerie de Saumur. Il se marie le [9] à la basilique Notre-Dame-de-Paradis. Trois semaines plus tard, la guerre éclate.
Il est père de 4 enfants. Ses deux fils suivront la tradition familiale au service de l'Armée[10].
Seconde Guerre mondiale
Début mai 1940, Georges Hillion est affecté au 2e cuirassiers de Saumur de la 3e DLM (division légère mécanisée) du général René Prioux, en tant que chef de peloton de chars avec le grade d’adjudant. Le 12 mai 1940[11] lors de la bataille de Hannut (Belgique) qui fut la première bataille de chars de la Seconde Guerre mondiale face à l’armée du général Erich Hoepner, son escadron de chars est décimé. Il est porté disparu le à Thisnes[12]. Il sera l'unique survivant de la bataille de chars, ce dernier était le Hotchkiss 88 / 40768[13].
Finalement, il est le seul rescapé avec 26 blessures[14],[15] Recueilli par une famille belge, il est transporté au Couvent de Hannut[16] ou le Père abbé accorde l'extrême onction aux nombreux blessés. Un grand écriteau est accroché autour de son cou « Grand Blessé à opérer d'urgence ». Transporté dans une ambulance de la croix rouge allemande, il sera opéré par des médecins anglais dans un hôpital de Liège. Georges Hillion racontera cette épopée longtemps après[17]. Il est rapatrié comme grand blessé de guerre au titre de la Croix Rouge Française en février 1941. Son courage lui valut l'attribution de la médaille militaire et la Croix de Guerre avec citation au nom de l'Armée. A la fin de l'année 1942 Georges Hillion à peine remis de ses blessures, est contacté par ses amis Jacques Grout de Beaufort et André de Neuville, tous les deux officiers de réserve, ils viennent le chercher pour entrer en résistance. Son château étant réquisitionné par l'occupant (3 officiers de la Gestapo) l'oblige à sortir discrètement les soirs, la cohabitation est restée « correcte »[18].
Georges Hillion[19] est nommé capitaine, membre de l'O.R.A[20],[21](Organisation Résistance Armée). Dès le courant du mois d'avril 1943[22], il est placé à la tête de la 1re Compagnie du 7e Bataillon FFI[23],[24],[25]du Morbihan. Le recrutement commence en avril et mai 1943 jusque à la fin juillet 1944. La compagnie est composée de 226 hommes[26]. Le bataillon est commandé par Paul Chenailler.
À la libération d’Hennebont[27], le capitaine Hillion fait la jonction avec les troupes américaines en ville[28],[29],[30] Le 7 aout 1944 vers 21H00, Le capitaine Hillion envoie 2 autocars pour secourir la population civile[31] en détresse sous le feu des batteries allemandes. Les troupes allemandes se rendent au lieu-dit « Kergomo », une tour s’y trouvait maintenant détruite, au sud d’Hennebont.
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Capitaine Georges Hillion, 1re Compagnie du 7e Bataillon.
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Capitaine Georges Hillion à la libération de Lorient (1945).
À la fin de la guerre, le capitaine Hillion est cité à l'ordre de la division[32],[33] par le Général Marcel Allard (1884-1966) Responsable de l'Armée Secrète en Bretagne.
Par la suite, il partira en occupation en Allemagne avec le 19e Dragons. Démobilisé le 15 février 1946, il se retire dans la propriété familiale du château de Locoyarn à Hennebont.
Guerre d'Indochine
Il repart le sur le bateau l’Oregon direction de l'Indochine[34]. Il est affecté au 5e Spahis marocain puis au 6 ème RSM puis est détaché au Service des Réfugiés du Nord Vietnam.
Le capitaine Hillion est blessé par éclats de mines le [35],[36]route de Loc-Ninh à Tây Ninh (ville) .
Avec ses cadres et des supplétifs Caodaïstes, il participe étant le seul officier français à le faire, activement au relogement de 50 000 réfugiés (Tay-Ninh, Hillion-ville) nord vietnamien fuyant l’avance des Communistes, grâce à sa maîtrise de l’anglais acquise jeune homme. Il participera aux premières rencontres avec les troupes américaines.
Le capitaine Hillion reçoit en outre la reddition du général Trình Minh Thế en 1955[37], opposant de Ho Chi Minh. Minh Thé sera assassiné à Saïgon en mai. Georges Hillion quitte l’Indochine le 10 septembre 1955 sur le bateau l’Édouard Branly. Il est inscrit au tableau avancement pour le grade de chef d'Escadron de Réserve en Algérie par décret du .
Guerre d'Algérie
Le chef d'Escadron est envoyé en tant qu'officier de la Section Administrative Spécialisée à Hammam Melouane [38],[39] et Aïn Taya [40] Il sera cité 2 fois à la l'Ordre de la Brigade. Lors des événements d'Algérie, son cousin le lieutenant Jean Franco fils de Léonce Franco, ancien élève de l'Académie militaire de Saint-Cyr Coëtquidan (promotion Maréchal de Lattre de Tassigny) trouve la mort à Sétif le 13 décembre 1960 dans la région de Pascal.
Promu lieutenant-colonel de Réserve à partir d'octobre 1962, il sera admis dans les cadres au Service du Ministère des Rapatriés. Il prendra la direction du Centre d'Orientation et de reclassement de Bougie puis du centre départemental de Sétif (Agence de Défense des Biens et Intérêts des rapatriés à Oran)[41].
Une avenue d'Hennebont porte son nom[42]
Grades
Brigadier-chef en 1930
Maréchal des logis en 1931
Maréchal des logis chef en 1938
Adjudant en 1940
Capitaine en avril 1945
Chef d'escadron en 1955
Lieutenant-colonel en 1962
Blessures de guerre
1- Plaies au sommet du crâne par éclats d’obus en 1940
2- Plaies multiples région temporale gauche en 1940
3- Cicatrice région mastoïdienne gauche en 1940
4- Éclatement du tympan gauche en 1940
5- Blessure par éclats du triceps en 1940
6- Blessé au deltoïde gauche par éclats d’obus en 1940
7- Blessures par éclat dans la région de l'espace rino-vertébral gauche en 1940
8- Multiples contusions à l’abdomen et intéressant le poumon en 1940
9- Fracture jambe gauche 1/3 moyen. Un char sous lui en 1940
10- Éclats d’obus et petites coupures paume et extrémité majeure main gauche en 1940
11- Éclatement du Tympan droit en 1955
12- Blessé au visage par éclats de mine en 1955
13- Typhus
convalescence
Hôpital des armées Calmette (Lorient) 1932
Hôpital militaire de Batna (Algérie) 1936
Hôpital militaire de Constantine (Algérie) 1937
Hôpital de Liège Abbaye Saint-Laurent de Liège (Belgique) 1940
Hôpital de Bedburg (Luxembourg belge) 1941
Hôpital Grall (Vietnam) 1955
Décorations et titre de guerre
- Chevalier de la Légion d'honneur Nommé en 1950 (9 avril 1952) [43],[44]
- Officier de la Légion d'honneur à titre "Exceptionnel" (11 décembre 1956)[45]
- Médaille militaire par décret du 9 juin 1940[46],[47]
- Croix de guerre –, palme de bronze[48]2 citations. 1 à l'Ordre de l' Armée (1940). 1 à l'Ordre de la Division (1945)[49]
- Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs 2 citations à Ordre de la Division (1953) (1954).
- Croix de la Valeur militaire 3 citations. 1 à l'Ordre de la Division (1958). 2 à l'Ordre de la Brigade (1960) (1962)
- Médaille de la Résistance française par décret du 6 septembre 1945[50]
- Insigne des blessés militaires (1940) 2 étoiles / 28 blessures de guerre[51]
- Médaille commémorative française de la guerre – agrafes « Libération / Allemagne »
- Croix du combattant volontaire de la Résistance[52](1954) (4478). Entre dans la Résistance intérieure française à la fin 1942. 871 jours de résistance homologués.
- Croix du combattant
- Croix du combattant. 1941
- Médaille commémorative de la campagne d'Indochine
- Médaille coloniale agrafe "Extrême Orient"
- Médaille commémorative des opérations de sécurité et de maintien de l'ordre
- Chevalier de l'ordre du Mérite militaire par décret du 11 aout 1960
- Croix de la bravoure vietnamienne (Vietnam) 1 citation à l’Ordre de la Division (1953)[53]
- Médaille des prisonniers civils, déportés et otage de la grandes guerre 1914-1918
- 1 Citation. Témoignage de satisfaction à l'Ordre du Corps d'Armée. Ordre Général no 27 du 18 janvier 1955 du général Paul Ély, Commandant en chef en Indochine.
-
Avis de funérailles d'Élisabeth Roger, tante maternelle de G. Hillion.
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Citation du Capitaine Georges Hillion pour ses actions dans la Libération de la Poche de Lorient (1945)
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Citation à l'Ordre de l'Armée de Georges Hillion. JORF. 1941.
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Avenue Georges-Hillion à Hennebont (Morbihan).
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Avis de décès du Lieutenant-colonel Georges Hillion (Ouest-France, 1977).
Notes et références
- « l'Ouest-Éclair », l'Ouest-Éclair, no 3804, , p. 4/6 (lire en ligne )
- Ouest-France, « Avis de Décès », Journal, , page 4
- « Nécropole nationale de Riche » [doc], sur Nécropole nationale de Riche (consulté en )
- Ministère des Armées, « Base des Mémoires des Hommes » [doc], sur Base des Mémoires des Hommes (consulté en )
- Ouest France, « Récit. Originaire d'Hennebont Georges Hillion, artisan de la Libération » , sur Ouest France, (consulté le )
- Inventaire général du patrimoine culturel, « François HILLION, Maison de maître dite Le Mélinais, Inventaire général du patrimoine culturel » , (consulté en )
- Ministère de la Culture, © Inventaire général, ADAGP, « Château du Mélinais » [doc], sur POP : la plateforme ouverte du patrimoine, (consulté en )
- Louis Dedouvres, Allocution prononcée à l'occasion du mariage de Francis Hillion et Mlle Louise Roger par le Chanoine Dedouvres, docteur es lettres, professeur aux facultés catholiques d'Angers. Dans l'église de Notre-Dame de Paradis d'Hennebont. (Arch.Fam) où il est fait mention des liens familiaux entre les jeunes époux et le curé, Presse d'Angers, Université d'Angers, .
- « [Etat-Civil] Promesse de mariage. Georges Hillion, s.pr., 18 rue du Lunain, à Paris (14e) et Monique Cazelle, s.pr., Château de Locoyarne, p 5/8 » [doc], sur Patrimoines et Archives, un service du département., (consulté en )
- « Hennebont. un officier de cavalerie droit dans ses bottes (Franck Hillion) par le Lt-Colonel Guy de Fombelle » [doc], sur Ma ville par Ouest-France, (consulté en )
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- « 40768 n°88 2e Régiment de Cuirassiers 4e Escadron 3e Peloton » , sur Char Français Net, (consulté en )
- « Inauguration d'une avenue "Capitaine Hillion 7e bataillon FFI" », Ouest-France,
- RICO Francis, Ceux de la Cavalerie 1939-1940, Paris, Archat, , 182 p., p. 158, 159, 160
- (nl) « BELGIQUE - Hannut - Couvent des Pères Croisiers - Carte Postale ancienne » [carte postale], sur Delcampe, (consulté en )
- Dominique Lormier, La bataille de France jour après jour mai-juin 1940, Le Cherche midi, , 614 p. (ISBN 978-2749116358), p. 128
- Panneau d'informations et cartes exposée dans la salle « Seconde Guerre Mondiale » du musée des Tours Broerec'h de la Ville d'Hennebont énumère les châteaux, manoirs et grandes maisons où doivent loger les Allemands (château du Bot, Locoyarne, Loguénolé, Kergars, Bois Joly, Kerscamp).
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- Ouest-France, « Deux anciens combattants ont été honorés », Journal,
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- LE BERD Jean, Lorient sous l'occupation, Rennes, Ouest-France, , 157 p. (ISBN 2 73730012 6), p. 127
- Ouest-France, « FFI à l'honneur, couac musical, tourisme », journal,
- Olivier Furon, Lorient, Joué-lès-Tours, Alan Sutton, coll. « Mémoire en Images », , 128 p. (ISBN 2-910444-90-2), p. 115-116
- d'après Jouan Yves Extrait des Cahiers d'histoire du Viel Hennebont, « Ouest France, Le 7 août 1944, les Américains libèrent Hennebont » [doc], (consulté en )
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- « Aout 1944, Hennebont, ville martyre », Ouest-France, 4-5 aout 2007
- « Aout 1944: une ville sous les décombres », Ouest-France, 2-3 aout 2008
- Magueres Virginie, Hennebont pendant la seconde guerre mondiale, Rennes, , 158 p. (ISBN 2-9502985-7-5), p. 113
- « Inauguration d'une avenue "Capitaine Hillion 7e bataillon FFI" "Officier énergique" titre de la partie consacrée au motif de la citation », Ouest-France,
- Gouvernement Provisoire de la République Française Citation à l'Ordre de la Division Le Général de Division ALLARD, cdt la XIe Région Militaire cite à l'Ordre de la Division le capitaine Hillion Georges Motif de la citation : Officier énergique intrépide et actif. Dès Avril 1943 a commencé et mené a bien la formation d'une Unité de Résistance et d'équipes de sabotages dont les actions répétées ont sérieusement entravé l'activité de guerre de l'ennemie et paralysé ses transports. A organisé sa compagnie sous l'occupation et a su l'animer d'un haut esprit combattif et discipliné. A dirigé personnellement des opérations de guérillas effectuée après le 3 aout et obtenu de brillants résultats dans l'attaque et la mise en déroute de nombreux convois et groupes allemands fortement armés. A Rennes, le 17 Fév. 1945 Le général Cdt la XIe Région signé: ALLARD
- « Hennebont, Le capitaine G. Hillion obtient une nouvelle citation », La Liberté du Morbihan, , p. 5 (lire en ligne )
- Blessé par éclats de mines no 758 au registre des constatations du 5° R.S.M en date du 25/10/53
- « Hennebont, Le capitaine G. Hillion obtient une nouvelle citation » , La Liberté du Morbihan, (consulté en )
- Il obtient un cessez-le-feu qui se solde par un témoignage de satisfaction à l’ordre de l’Armée daté du n•27, du Général Paul ELY, chef de l’armée française en Indochine.
- Cuny Claude, SCA/Algérie (service cinématographique des armées en Algérie), « La population du douar de Ain Taya rassemblé autour du commandant Hillion, officier d'action psychologique du SEAB, se voit inviter à interrompre la grève scolaire déclenchée le 6 décembre. » [photo], sur https://imagesdefense.gouv.fr/,
- Cuny Claude, « Groupe d'habitants d'Aïn Taya. La population du douar de Ain Taya rassemblée autour du commandant Hillion, officier d'action psychologique du SEAB, se voit inviter à interrompre la grève scolaire déclenchée le 6 décembre. » , sur https://imagesdefense.gouv.fr, (consulté en )
- Cuny Claude, Image Défense, « Groupe d'étudiants vivant à la SAS d'Hamman Melouane » , sur www.imagesdefense.gouv.fr, o4/01/1957 (consulté en )
- Archives nationales, Base de données Léonore. Cote/s: 19800035/1452/67951, « HILLION Georges. Dossier Individuel de la LH. date de Livret 28 avril 1965 (12 B, Front de Mer, Oran) » (consulté en )
- Ouest France, « Hennebont, Inauguration de l'Avenue Georges Hillion », Le Télégramme, , p. 7
- La Liberté du Morbihan, « Le Capitaine de Réserve Georges HILLION. Chevalier de la Légion d'Honneur. "On a apprit avec plaisir la nomination au grade de Chevalier de la Légion d'Honneur du Capitaine de Réserve Georges Hillion demeurant au château de Locoyarn [...] nos plus chaleureux compliments. » [doc], sur Bnf, Gallica, (consulté en )
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- Ministère des Armées, Sous-Direction des Bureaux du Cabinet, Bureaux des Décorations., « Lettre d'Avis - Ordre National de la Légion d'Honneur (Contingent spécial) » [doc], sur Base de donnée Léonore (Archives nationales), (consulté en )
- Archives nationales (Pierrefitte-sur-Seine), « Ministère de la Guerre, Médaille Militaire, Hillion Georges, page 20/28. » , sur Base de données Léonore (consulté en )
- Le Nouvelliste de Vannes, « Dans la gendarmerie, les gendarmes ont remis à M Georges Hillion du Château de Locoyarn ex adjudant au 2e Cuirassiers le brevet de la médaille militaire accordé par arrêter ministériel à compter du 9 juin 1940, Toutes nos Félicitations. » [doc], sur Archives du Morbihan, (consulté en )
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- Ouest France, « Récit. Originaire d'Hennebont, Georges Hillion artisan de la Libération » [doc], sur Ouest-France, (consulté en )
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- La Liberté du Morbihan, « Hennebont. Le Capitaine G. HILLION obtient une nouvelle citation » , sur RetroNews (Presse locale ancienne) Journaux numérisés., (consulté en )