Adam Nidzgorski

Naissance | |
---|---|
Décès |
(à 91 ans) Marseille |
Nationalité |
Polonaise et française |
Activité | |
Formation |
Académie d'éducation physique de Varsovie |
Mouvement |
Art brut, Art singulier, |
Mécène |
Alain Bouillet[1], Maître de conférence et grand collectionneur d'art brut |
Influencé par | |
A influencé |
Adam Nidzgorski, né le à Cormeilles-en-Parisis (près de Paris) est un peintre, de nationalité polonaise à sa naissance[2] et naturalisé français en 1971. Il est décédé le à Marseille.
Ses œuvres figurent dans des collections muséales permanentes du monde entier liées à l'Art brut et l'Art singulier : en France à Villeneuve d’Ascq au LaM L'Aracine, à Bègles au Musée de la Création Franche, à Nice au Musée international d'art naïf Anatole-Jakovsky ; à l'étranger, aux Pays-Bas au Musée de Stadshof de Zwolle, en Espagne au Musée de Navarre de Pampelune, en Italie dans le Cabinet d'Estampes de la bibliothèque Panizzi à Reggio d'Émilie, et chez d'innombrables particuliers et dans plusieurs musées de Pologne[3],[4],[5].
Vie privée
Son père Piotr Nidzgorski est né le 16 mai 1901 à Bonkowo[6] (près de Mlawa en Pologne), sa mère Jozefa Slotwinska est née le 27 mars 1906 à Krzywki-Bratki (également près de Mlawa). En 1927, ils émigrent en France, se fixant vers 1929-1930 à Cormeilles-en-Parisis où Piotr trouve un emploi à la carrière de gypse. C'est là que nait leur fils Adam, le 27 février 1933 dans la cité ouvrière Lambert. Il a une sœur, Monique[7].
Il fait ses études primaires à Cormeilles-en-Parisis et après l'obtention de son certificat d'études le maitre d'école encourage ses parents à le mettre au collège. Il y fait un an[8], ensuite il étudie au lycée polonais de Paris fondé par le diplomate polonais Zygmunt Zalewski . Un de ses professeurs de musique lui donne des cours de mandoline durant deux ans, mais Adam préfère le sport[9]. Il y obtient son baccalauréat en 1951[9]. C'est alors que la Pologne d'après-guerre lui offre une bourse d'études supérieures du sport, par les mains de son ambassadeur à Paris Jerzy Putrament. Il se rend à Varsovie, où jusqu'en 1954 il étudie à l'Académie d'éducation physique Józef Piłsudski . Il y découvre le yoga et le judo qu'il contribue à diffuser en Pologne.
Il reste en Pologne jusqu'en 1956, y vivant quelque temps de travaux de traductions. Il devient « un jeune homme à l'esprit trop libre pour un régime qui ne pouvait l'accepter comme tel. Ses diplômes, obtenus à Varsovie, ne sont pas reconnus dans une France dont il n'a pas encore acquis la nationalité, c'est vers la Tunisie, nouvellement indépendante, que l'oriente un solide réseau d'amis[10]. »
Après donc quelques mois passés en région parisienne, sans pouvoir y travailler du métier pour lequel il est formé, à partir de 1957 et pendant dix ans, il travaille comme professeur d'éducation physique à l'École normale supérieure d'éducation physique de Tunis[11].
Formé par Mikinosuke Kawaishi, maître japonais (7e dan) et Shozo Awazu (9e Dan), et dans leur sillage il contribue à la popularisation du judo et du ju-jitsu en France. Nidzgorski est appelé pour animer les master class, spectacles, tournois dans ce domaine avec son camarade du lycée polonais de Paris, Henryk Gielec[12].
Le 9 mai 2019 la Fédération polonaise de judo l'honore de l'insigne d'or de la Fédération (no 1121)[13].
Le 16 janvier 1960, il épouse Catherine Vincentelli, née à Sousse en Tunisie d'un père corse et d'une mère sicilienne[14]. Le couple n'ayant pas d'enfant, pourvoit aux besoins de trois enfants béninois, deux garçons et une fille[10].
Il revient en France en France en 1968, il se fixe en région parisienne où il exerce le métier de professeur d’éducation physique dans divers établissements scolaires parisiens[11] et il acquiert la nationalité française en 1971.
Après le décès de son épouse en 2005[15], très affecté par ce deuil et sur le conseil d'un ami, Hédi Bouraoui[16], il lui consacre un livre, Lettre à Catherine publié en 2024[17], traduit en plusieurs langues.
Carrière de peintre
Ses débuts
À Tunis, il rencontre Nicole Monaco, une amie de son épouse, tout juste diplômée de l'École des Beaux-Arts, grâce à laquelle il découvre la peinture[18].
À 30 ans, en 1963, sans avoir reçu aucune formation artistique, en véritable autodidacte, il commence à dessiner et à peindre, avec un ardent désir de création. « Dès le début de mon séjour dans ce pays nouveau et inconnu pour moi, me sentant dans une grande solitude, j’ai senti un besoin d’exprimer certaines souffrances de mon exil ; mais aussi il m’arrivait de percevoir chez les autres, comme par exemple chez ma femme, une vie personnelle difficile en même temps qu’une grande sensibilité. C’est alors que j’ai commencé à dessiner. Mes amis se moquaient de mes dessins, ils les trouvaient enfantins. Par contre Catherine ma femme m’a beaucoup encouragé à continuer, car ‘cela lui faisait beaucoup de bien’, disait-elle : elle me trouvait très sincère dans mes dessins[18]. ». À quelques rares exceptions près, son unique sujet est la figure humaine. Délaissant totalement leur environnement, il représente des personnages cernés de noir, aux têtes trop grandes pour des corps résumés à leurs vêtements très colorés et de grands yeux ronds très expressifs malgré leur simplicité[19].
Lors d'une interview donnée de nombreuses années plus tard, il revient sur les pas de son enfance à Cormeilles, il confie que rétrospectivement il réalise combien la grande tapisserie brodée par sa mère en 1935-36, représentant de façon naïve des motifs de son village polonais de Krzywki et fixée au mur de l'unique chambre où dormait toute la famille, l'a inconsciemment profondément marqué et été déterminante dans son orientation artistique[7]. Ses œuvres de début de carrière ne sont présentées qu'à Tunis où il expose en compagnie d'autres artistes.
L'épanouissement de son œuvre
Revenu en France dans l'effervescence des évènements de 1968 et des années qui suivent et à l'occasion de l'exposition collective organisée par des enseignants de l'Éducation nationale au centre universitaire Jean Sarrailh en 1969 à Paris à laquelle il participe, il se joint au groupe d'artistes Concordance réuni par Patrick Fauconnet et il enchaîne avec eux les expositions à Paris et sa banlieue et plusieurs villes de France[20] pendant quelques années, jusque vers 1972[21]. « Le groupe Concordance se réunissait très souvent, dans différents lieux, et nous débattions beaucoup sur l’art : qu’est-ce que l’art ?... Je ne savais pas où me situer, dans toutes ces nouvelles mouvances qui naissaient à ce moment-là en France : art singulier ? marginal ? art brut ? etc... Je ne comprenais pas très bien ce qui se passait, car déjà l’art officiel ne m’était pas familier. Enfin toutes ces discussions ne me concernaient pas... » dit-il à Hédi Bouraoui dans une interview en 2020[21]. Il multiplie les techniques : dessin, à la mine de plomb, au crayon de couleur, au stylo bille, à l’encre de Chine ; peinture, à la gouache, au pastel sec ou gras ; collage ; broderie en application et il diversifie les supports : papiers de diverses qualités et couleurs, serviette en papier, papier essuie-tout, papier d'emballage, papier cadeau, papier d'argile, papier journal, papier professionnels luxueux, boites d'allumettes, tissus[22],[23]... Il travaille aussi des panneaux textiles en collaboration avec son épouse et réalise des gravures[24].
Sa notoriété dépassant la région parisienne, entre art brut et art singulier, à partir de 1974 ses œuvres sont présentées partout en France et en Europe et jusqu’à New York[7].
Un tournant de son évolution artistique est la visite à Paris fin 1981 de l'exposition de Jean Dubuffet au Centre Georges Pompidou[25] qui le touche beaucoup[21]. Il décide de lire ses livres et, de 1982 à 1984, il entretient une correspondance jusqu'à peu de temps avant sa mort avec Jean Dubuffet, auquel il offre deux pastels et qui l'encourage très vivement[21]. Il va voir l'exposition d'un peintre dont Dubuffet parle, Gaston Chaissac. Il se trouve beaucoup d'affinités avec cet artiste, « une fraternité d’expression »[21].
Alain Bouillet[26], maître de conférences à l'Université de Montpellier est collectionneur d'art brut et admiratif des œuvres de Nidzgorki ; ensemble ils exposent et parcourent l'Europe[réf. nécessaire]. La critique d'art Jeanine Rivais publie de nombreux articles dans lesquels elle décrit Adam comme un grand coloriste[27].
En 1998, Adam qui a 65 ans, s’installe avec son épouse à Marseille qu'ils ne quitteront plus. Retraité depuis 1994 de son métier de professeur d'éducation physique, il se consacre désormais entièrement à l’art pictural[28].
Expositions hors Pologne
- 1965 : Galerie des Arts à Tunis,Tunisie, exposition avec Nicole Monaco et Marcel Ottavy[29],
- 1966 : Galerie Municipale de Tunis, Grande salle du palmarium, exposition collective de peintres tunisien[30],
- 1967 : Salon des Arts, de la galeriste Juliette Nahum à Tunis[31], exposition d'un mois en octobre avec, pour la première fois, vente de quatre de ses dessins[30],
- 1969 : Centre universitaire Jean Sarrailh, à Paris, France,
- 1969 : Avec le groupe Concordance, (dans plusieurs villes de France),
- 1970 : Centre Culturel de Neuilly-sur-Marne avec le groupe Concordance,
- 1971 : Centre Culturel de Bobigny, avec le groupe Concordance,
- 1972 : Centre Culturel de Fontenay-sous-Bois, avec le groupe Concordance,
- 1972 : Cercle culturel Plaisir de Connaître à Cormeilles-en-Parisis à l’invitation de Françoise Tribondeau[7],
- 1974 : Galerie Daberkow, à Francfort-sur-le-Main, Allemagne,
- 1992 : Biennale internationale du pastel à Saint-Quentin,
- 1992 : Musée de la Création Franche, à Bègles,
- 1993 : Galerie Aparté à Lausanne, en Suisse,
- 1993 : Galerie Hamer, à Amsterdam, aux Pays-Bas,
- 1995 : Stadhof Museum, à Zwolle, aux Pays-Bas,
- 1995 : Halle Saint-Pierre, à Paris,
- 1998 : Outsider Art Fair , à New York,aux États-Unis,
- 2002 : L'Athanor, ancienne halle aux grains, à Albi,
- 2002 : Atelier des Caves du Logis Neuf à Allauch[3],
- 2003 : Musée international d'art naïf, à Nice,
- 2003 : Galeries municipales de Sfax, (Tunisie),
- 2004 : Festival Art et Déchirure[32], à Rouen,
- 2004 : Exposition Collective Wladimir Jaroslaw, à Moscou et à Saint-Pétersbourg, Russie,
- 2006 : Atelier des Caves du Logis Neuf à Allauch[33],
- 2006 : International Guidance System Visionary Art Tour, (États-Unis),
- 2008 : Galerie Objet Trouvé, à Paris[34],
- 2008 : Musée de la Création Franche à Bègles du 15 février au 13 avril[35],
- 2011 : Atelier des Caves du Logis Neuf à Allauch[36],
- 2014 : Galerie Hédi Turki à Sidi Bou Saïd, du 4 au 17 octobre en Tunisie[37],
- 2014 : Musée-école de la Perrine à Laval[38],
- 2015 : Galerie Lamazière de Cormeilles en Parisis, sa ville natale du 19 septembre au 24 octobre[39],[7],
- 2016 : Bibliothèque Panizzi , du 24 janvier au 14 février à Reggio Emilia, en Italie[40],
- 2018 : Festival international de l'art marginal du Grand Baz'Art du 30 juin au 1er juillet à Gisors[41],
- 2018 : Galerie Rizomi, à Parme du 24 novembre au 15 décembre[42],
- 2020 : Galerie Polysemie à Marseille[43],
- 2022 : Maison des Arts de Bages du 2 au 23 décembre[44],
- 2023 : Villa Parry, au Grau-du-Roi, 9 mai au 3 juin, exposition collective d’œuvres collectées par Alain Bouillet, professeur honoraire de l'Université de Montpellier[45],
- 2023 : Chapelle Saint-Pierre, à Saint-Chamas en octobre[46],[47],
- 2023 : Galerie Alten Wiehrebahnhof, à Fribourg en Allemagne du 6 octobre au 5 novembre[48],
- 2023 : Galerie des Singuliers, à Brasparts du 13 au 15 et du 20 au 23 octobre[49],
- 2024 : Galerie Aux Docks d'Arles du 19 avril au 5 mai, en marge du Festival du dessin[50],
- 2024 : Vente aux enchères à l'Hôtel des ventes Drouot à Paris,
- 2024 : Hang-Art à Saffré du 19 octobre au 12 décembre 2024[51].
Expositions et présentations en Pologne
- 1973 : Première exposition des œuvres de Nidzgorski en Pologne préparée par le Club du mouvement international de la presse et du livre « Mur oriental» sans la présence du peintre,
- 2008 : Première exposition en Pologne avec la présence de Nidzgorski au Théâtre de marionnettes Białostocki Teatr Lalek de Bialystok,
- 2009 : Musée des terres de Cujavie et Dobrzyn à Wloclawek,
- 2009 : Galerie Oto ja à Plock,
- 2010 : Galerie Tak à Poznań,
- 2012 : Musée silésien de Katowice,
- 2013 : Galeria Rotunda à Poznań du 7 au 8 novembre[52],
- 2017 : Musée national d'ethnographie à Varsovie,
- 2019 : Centre de culture et d'art Themerson à Płock, du 1er au 30 juin[53],
- 2019 : Centre culturel de Cujavie-Poméranie à Bydgoszcz du 5 au 27 septembre[54],
- 2020 : Maison municipale de la culture à Giszowiec (près de Katowice) de 2 au 31 mars, exposition virtuelle dans le cadre du Festival de la francophonie[55],
- 2023 : Musée national d'ethnographie à Varsovie du 5 juillet au 10 septembre[56],
- 2024 : Dom Darmstadt à Plock du 5 octobre au 3 novembre[15].
Prix et distinctions
- En 1987, il devient Commandeur de l'ordre national du Mérite.
- En 1994, il reçoit le premier prix de la ville de Saint-Quentin en Picardie pour son travail au pastel à l'huile.
Notes et références
- ↑ Voir la recension de l'un de ses livres dans cet article : Marc Décimo, « Alain Bouillet, De l’humaine condition… : errances, escales et récollection : trajet d’un amateur d’Art Brut », Critique d’art, (DOI https://doi.org/10.4000/critiquedart.27415, lire en ligne, consulté le )
- ↑ Car ses deux parents étaient polonais. La loi du sol ne s'appliquait pas en 1933 lorsque les deux parents étaient étrangers, il fallait obligatoirement que l'un d'eux soit français. Voir « Historique du droit de la nationalité française », sur Ministère de l'Intérieur (consulté le )
- « Adam Nidzgorski- Peintre », sur Caves du Logis Neuf (consulté le )
- ↑ « Exposition personnelle Adam Nidzgorski », sur Centre national des arts plastiques CNAP (consulté le )
- ↑ (nl) « Nidzgorski, Adam », sur Collection de la Fondation Stadshof (consulté le )
- ↑ À une centaine de kilomètres au nord-ouest de Varsovie
- Vincent Farion, « Une enfance à la carrière Lambert », La lettre Blanche, no 53, , p. 2 (lire en ligne, consulté le )
- ↑ Hédi Bouraoui, « Dossier d’Artiste : Adam Nidzgorski », Revue CMC Review, vol. 6, no 2, , p. 2 (lire en ligne, consulté le )
- Hédi Bouraoui, « Dossier d’Artiste : Adam Nidzgorski », Revue CMC Review, vol. 6, no 2, , p. 2 (lire en ligne, consulté le )
- Quatrième de couverture de l'ouvrage Adam Nidzgorski (postface Jean-Paul Le Bihan), Lettres à Catherine, Paris, Pétra, coll. « Méandre », , 130 p. (ISBN 978-2-84743-328-9)
- « Nidzgorski, Adam (1933-2025) », sur Musée de la Création Franche à Bègles, (consulté le )
- ↑ « Henryk Gielec », sur Le lycée polonais Cyprian Norwid (consulté le )
- ↑ (pl) Jacek Skubis (trad. Absolwenci AWF W-wa w rozwoju Judo w Polsce), « Les diplômés de l'Université d'éducation physique de Varsovie dans le développement du judo en Pologne », sur Polskie Stowarzyszeny Treneróv Judo, Varsovie, (consulté le )
- ↑ Hédi Bouraoui, « Dossier d’Artiste : Adam Nidzgorski », Revue CMC Review, vol. 6, no 2, , p. 3 (lire en ligne, consulté le )
- (pl) « Niepewność Adama (L’incertitude d’Adam) », sur Znalezienie (Trouver), (consulté le )
- ↑ Hédi Bouraoui, « Dossier d’Artiste : Adam Nidzgorski », Revue CMC Review, vol. 6, no 2, , p. 8 (lire en ligne, consulté le )
- ↑ Adam Nidzgorski (postface Jean-Paul Le Bihan), Lettres à Catherine, Paris, Pétra, , 130 p. (ISBN 978-2-84743-328-9)
- Hédi Bouraoui, « Dossier d'artiste : Adam Nidzgorski », Revue CMC Review, vol. 6, no 2, , p. 3 (lire en ligne, consulté le )
- ↑ Alain Bouillet, « Adam NIDZGORSKI », sur Atelier des Caves du Logis Neuf, (consulté le )
- ↑ « Nidzgorski Adam », sur Artpulsion (consulté le )
- Hédi Bouraoui, « Dossier d'artiste : Adam Nidzgorski », Revue CMC Review, vol. 6, no 2, , p. 4 (lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Adam Nidzgorski Tapisseries et travaux textiles - Dossier de presse », sur Musées de Laval, (consulté le )
- ↑ Alain Bouillet, « Adam NIDZGORSKI », sur Atelier des Caves du Logis Neuf, (consulté le )
- ↑ « Nidzgorski, Adam (1933-2025) », sur Musée de la Création Franche, (consulté le )
- ↑ Voir les références du catalogue de cette exposition :« Jean Dubuffet : sites aux figurines et psycho-sites : Centre Georges Pompidou, Musée national d'art moderne, 23 septembre-23 novembre 1981 », sur Bibliothèques de Bordeaux (consulté le )
- ↑ Voir la recension de l'un ses livres Marc Décimo, « Alain Bouillet, De l’humaine condition… : errances, escales et récollection : trajet d’un amateur d’Art Brut », Critique d’art, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ Jeanine Rivais, « Adam Nidzgorsky nous a quittés(1933-2025) », sur Le site artistique de Jeanine Rivais, (consulté le )
- ↑ « Musée de la création franche Exposition personnelle Adam Nidzgorski », sur CNAP (consulté le )
- ↑ Hédi Bouraoui, « Dossier d’Artiste : Adam Nidzgorski », Revue CMC Review, vol. 6, no 2, , p. 3 (lire en ligne, consulté le )
- Hédi Bouraoui, « Dossier d’Artiste : Adam Nidzgorski », Revue CMC Review, vol. 6, no 2, , p. 4 (lire en ligne, consulté le )
- ↑ Hatem Bourial, « Mémoire culturelle : Il était une fois Juliette Nahum », sur Webdo, (consulté le )
- ↑ « Le projet : un musée d’art singulier », sur Art et déchirure (consulté le )
- ↑ « Adam Nidzgorski- Peintre », sur Caves du Logis Neuf (consulté le )
- ↑ Sabine Weiss, « Adam Nidzgorski », sur Paris Art, (consulté le )
- ↑ Dérouler cette page jusqu'à la 41e manifestation « Manifestations 2008 », sur Art Singulier (consulté le )
- ↑ « Adam Nidzgorski », sur Caves du Logis Neuf (consulté le )
- ↑ « Exposition collective La Tunisie au cœur », sur Out Tunisie (consulté le )
- ↑ « Adam Nidzgorski – Tapisseries et travaux textiles », sur Musées Laval (consulté le )
- ↑ Amélie Bouret, « Adam Nidzgorski : l'art du lâcher prise s'expose à Cormeilles-en-Parisis », sur Publik'Art, (consulté le )
- ↑ (it) « Prosegue alla Panizzi di Reggio Emilia la mostra dedicata all’Arte Irregolare », sur Modena 2000, (consulté le )
- ↑ « Adam NIDZGORSKI », sur Grand Baz'Art (consulté le )
- ↑ (it) « Adam Nidzgorski e la Création Franche », sur Exibart (consulté le )
- ↑ « Adam Nidzgorski avec une sélections des artistes de la galerie », sur Archives P.a.c. (consulté le )
- ↑ Sur cette page, descendre jusqu'à l'affiche correspondant à la date de décembre 2022 « La Maison des Arts », sur Bages (consulté le )
- ↑ Bien dérouler toute la page en cliquant sur « Continuer à lire »« Grau-du-Roi La Villa Parry expose l'art brut », sur Objectif Gard (consulté le )
- ↑ La photo de cet article date de son exposition à Saint-Chamas en 2023 : G.T., « Adam Nidzgorski a fait don d'une œuvre à la Ville », La Provence, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Saison culturelle 2023/24 à Saint-Chamas », sur Calaméo (consulté le ), p. 15
- ↑ (de) « 3. Edition „Kunstfestival Grenzgänger*innen“ », sur Kommunales Kino in alten Wiehrebahnhof (consulté le )
- ↑ « Exposition de Adam Nidzgorski », sur Serg Gicquel (consulté le )
- ↑ « Archives - 19 avril au 5 mai 2024 », sur Aux Docks d'Arles (consulté le )
- ↑ « Traçothèque - Expo35 », sur Hang-Art (consulté le )
- ↑ (pl) « AUTfestiwal 2013 », sur AutFestiwal (consulté le )
- ↑ (pl) « Wystawa malarstwa Adama Nidzgorskiego (Exposition de peintures d'Adam Nidzgorski) », sur Kalendarz Imprez Płock (consulté le )
- ↑ (pl) Bogumiła Wresiło, « „Sztuka poza normami” w KPCK w Bydgoszczy (« L'art au-delà des normes » au KPCK de Bydgoszcz) », Radio PIK, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ (pl) « Wirtualna wystawa – Adam Nidzgorski „Art Brut. Sztuka surowa” (Exposition virtuelle – Adam Nidzgorski - Art Brut) », sur MDK Katowice (consulté le )
- ↑ (pl) « Adam Nidzgorski. Malarstwo (Peinture) », sur Musée national d'ethnographie de Varsovie (consulté le )
Bibliographie
- Adam Nidzgorski-opinion, regard fixe, publication du Musée de Silésie à Katowice (ISBN 978-83-62593-23-1)[réf. incomplète]
- Adam Nidzgorski, peinture-peinture, publication de Galeria Oto Ja à Plock[réf. incomplète]
- Adam Nidzgorski, publication de Galeria Tak à Poznań[réf. incomplète]
- Adam Nidzgorski, Encre de Chine Au Calame, catalogue, 2016
- Adam Nidzgorski , Encres, catalogue, 2015-2016
- Alain Bouillet, Contexte (Adam Nidzgorski - primitiviste polonais contemporain), Varsovie : Institut d'art de l'Académie polonaise des sciences, 2011, p. 152.
Liens externes
- Ressources relatives aux beaux-arts :