Potentiel de Pöschl–Teller symétrique pour (courbe noir) et ses six valeurs propres (lignes rouges) .
Cependant, seules les fonctions pour tels que ou , où , sont dans [4] et donc des fonctions propres de l'opérateur de Pöschl–Teller symétrique. De plus, dans le cas , la fonction ne diffère de que par une constante multiplicative, il s'agit donc d'une seule et même fonction propre.
Par conséquent, l'opérateur de Pöschl–Teller symétrique n'admet des valeurs propres que pour et , où , et ces valeurs propres sont alors , avec les fonctions propres associées .
En outre, les données de diffusion à faible énergie peuvent être explicitement calculées[5].
Dans le cas particulier où est un entier naturel non nul[à vérifier], le potentiel est sans réflexion et de tels potentiels peuvent également être solutions N-solitons de l'équation de Korteweg–de Vries.
Potentiel de Rosen-Morse
Un potentiel lié, le potentiel de Rosen-Morse, possède un terme supplémentaire[6] :
↑En effet, les fonctions divergent en ou en — donc ne sont pas dans — pour tous les couples pour lesquelles elles sont définies sur . D'autre part, les fonctions sont non triviales tout en convergeant vers en uniquement pour les couples tels que ( et ) ou ( et ) où . Voir NIST Digital Library of Mathematical Functions, §14.8 Behavior at Singularities pour les limites en .
↑Pages 244–247 de (en) Siegfried Flügge, Practical Quantum Mechanics, Berlin, Heidelberg, Springer, , 1re éd., XV, 620 (ISBN 978-3-540-65035-5 et 978-3-642-61995-3, ISSN 1431-0821 et 2512-5257, DOI10.1007/978-3-642-61995-3).
↑(en) A. O. Barut, A. Inomata et R. Wilson, « Algebraic treatment of second Poschl-Teller, Morse-Rosen and Eckart equations », Journal of Physics A: Mathematical and General, vol. 20, no 13, , p. 4083 (ISSN 0305-4470, DOI10.1088/0305-4470/20/13/017, lire en ligne, consulté le ).