La Serre

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La Serre
La Serre
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La mairie de La Serre.
Blason de La Serre
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Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes Monts, Rance et Rougier
Maire
Mandat
Franck Couderc
2020-2026
Code postal 12380
Code commune 12269
Démographie
Gentilé Serrois(e)
Population
municipale
126 hab. (2021 en évolution de +7,69 % par rapport à 2015)
Densité 6,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 53′ 06″ nord, 2° 40′ 58″ est
Altitude Min. 398 m
Max. 668 m
Superficie 18,52 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Causses-Rougiers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Serre

La Serre est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Géographie

Généralités

Dans la moitié sud du département de l'Aveyron, dans le parc naturel régional des Grands Causses, la commune de La Serre s'étend sur 18,52 km2.

L'altitude minimale, 398 mètres, se trouve localisée au nord, là où le ruisseau de Goussilles quitte la commune et entre dans celle de Martrin. L'altitude maximale avec 668 mètres se situe à l'ouest entre les lieux-dits la Borie d'Alricie et Lestrade[1].

Traversé par la route départementale (RD) 151, le village d'Anglas — où est implantée la mairie de La Serre — est situé, en distances orthodromiques, dix-huit kilomètres au sud-ouest de Saint-Affrique.

La commune est également desservie par la RD 501.

Communes limitrophes

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Carte de La Serre et des communes avoisinantes.

La Serre est limitrophe de quatre autres communes.

À l'ouest, son territoire est distant de moins de quatre-cents mètres de celui de Coupiac.

Communes limitrophes de La Serre
Martrin Saint-Juéry
La Serre
Saint-Sernin-sur-Rance Combret

Villages

Anglas, Monteils et Saint-Christophe.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
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Réseaux hydrographique et routier de la La Serre.

La commune est drainée par le Merdanson, la Gravière, le ruisseau de Goussilles et par divers petits cours d'eau[2].

Elle est bordée au sud sur environ six kilomètres par le Merdanson, un affluent du Rance et au nord sur trois kilomètres par la Gravière, un affluent du Gos. Elle est également arrosée par le ruisseau de Goussilles, un autre affluent du Gos.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 036 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montlaur à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 705,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, qui s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[10],[11],[12].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de La Serre comprend une ZNIEFF de type 2[Note 1],[13], le « Rougier de Camarès » (56 714 ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[14].

Urbanisme

Typologie

Au , La Serre est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols

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Infrastructures et occupation des sols de la commune de La Serre.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (77,5 %), forêts (22,5 %)[18].

Planification

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes Monts, Rance et Rougier, dont la commune est membre[19].

La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[20].

Risques majeurs

Le territoire de la commune de La Serre est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers, les risques radon et minier[21],[22].

Risques naturels

Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[23].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[21], conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[24]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[25]

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

Risques particuliers

La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[27].

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de La Serre est classée à risque moyen à élevé[28]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[29] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].

Toponymie

Histoire

Créée à la Révolution, la commune de Monteils fusionne en 1833 avec celle de Saint-Sernin-sur-Rance. En 1880, la commune de La Serre est créée depuis le territoire de Saint-Sernin-sur-Rance[31].

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de La Serre est membre de la communauté de communes Monts, Rance et Rougier[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Belmont-sur-Rance. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[32].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 1]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Causses-Rougiers pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015, et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[33].

Élections municipales et communautaires

Élections de 2020

Le conseil municipal de Serre, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[34] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[35]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[36] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 75,4 %[37]. Franck Couderc, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [38].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[39]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Monts, Rance et Rougier[40].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2008
(réélu en mai 2020)
En cours Franck Couderc[41],[42] DVD Professeur, profession scientifique

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

En 2021, la commune comptait 126 habitants[Note 2], en évolution de +7,69 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
118120516505507481510420415
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
404362344329311337345326259
1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021
204176140144139129118126126
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Emploi

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 2] 4,7 % 6,8 % 5,1 %
Département[I 3] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 4] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 76 personnes, parmi lesquelles on compte 76,9 % d'actifs (71,8 % ayant un emploi et 5,1 % de chômeurs) et 23,1 % d'inactifs[Note 3],[I 2]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 5]. Elle compte 40 emplois en 2018, contre 42 en 2013 et 42 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 56, soit un indicateur de concentration d'emploi de 71,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,5 %[I 6].

Sur ces 56 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 54 % des habitants[I 7]. Pour se rendre au travail, 68,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 17,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 8].

Activités hors agriculture

7 établissements[Note 4] sont implantés à la Serre au [I 9]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 42,9 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 7 entreprises implantées à la La Serre), contre 13 % au niveau départemental[I 10].

Agriculture

La commune est dans les Monts de Lacaune, une petite région agricole occupant le sud du département de l'Aveyron[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 5] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 35 26 19 23
SAU[Note 6] (ha) 1 304 1 222 1 166 1 329

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 35 lors du recensement agricole de 1988[Note 7] à 26 en 2000 puis à 19 en 2010[48] et enfin à 23 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 34 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[49],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 304 ha en 1988 à 1 329 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 37 à 58 ha[48].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de La Serre
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Blason
D’azur, à deux pals d’argent, chargés en fasce d'une croix de Malte de gueules; au chef de sinople, chargé d’une tête de Méduse accostée de deux statues menhir, le tout d’argent.
Détails
L’azur symbolise les cours d’eau communaux qui sont au nombre de trois: La Gravière, le ruisseau de Goucille et le Merdanson.

La commune actuelle est le résultat du regroupement de trois anciennes paroisses: Monteils, Anglas et Saint-Christophe. Ils sont également représentés par chacune des parties azur.

L’argent et la croix de Malte proviennent des armes des chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem qui dirigeaient la commanderie de Monteils. La reprise intégrale des armes de famille étant interdite pour les municipalités, il suffit d'en emprunter un ou plusieurs éléments.

Le chef qui symbolise la hauteur permet de traduire le nom du village; il est de sinople pour indiquer la présence de vastes pâturages propices à l’élevage surtout ovin.

Les deux statues menhir représentent celles qui ont été trouvées à Anglas et à Monteils.

La tête de Méduse symbolise le sanctuaire gallo romain découvert au Fraysse. Il était dédié à Minerve, la déesse de la guerre, de la sagesse et des arts. Dans l'antiquité elle était représentée en guerrière avec une chouette, un bouclier sur lequel figure la tête de Méduse, puissante divinité qui transformait instantanément en pierre quiconque la regardait.

Les ornements sont deux gerbes de blé d'or, mises en sautoir par la pointe et liées d'azur pour honorer l'activité agricole.

Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

Bibliographie

  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel, Sent-Sarnin : Balaguièr, Brasc, Combret, Copiac, La Bastida-Solatges, La Sèrra, La Val-Ròca-Cesièira, Martrinh, Montclar, Montfranc, Plasença, Postòmis, Sant-Jòri / Christian-Pierre Bedel et les habitants del canton de Sent-Sarnin, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 232 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-10-6, ISSN 1151-8375, BNF 35529736)

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  4. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  5. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  6. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  7. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
  8. 43° 53′ 34″ N, 2° 37′ 50″ E. Ne pas confondre avec la commune de Monteils à l'ouest du département.
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

Autres sources

  1. « 668 » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2019)..
  2. « Fiche communale de la Serre », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  7. « Station Météo-France « Montlaur » (commune de Montlaur) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  53. Antoine du Bourg, Ordre de Malte : Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, lire en ligne sur Gallica
    Monteils et Sainte-Eulalie ne faisaient pas partie du grand prieuré de Toulouse mais les archives de certaines commanderies du grand prieuré de Saint-Gilles se trouvaient à Toulouse dont celles de Sainte-Eulalie.