Chlorure de dichlorotétrakis(pyridine)rhodium(III)
Chlorure de dichlorotétrakis (pyridine)rhodium(III) | |
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Structure du chlorure de dichlorotétrakis(pyridine)rhodium(III) | |
Identification | |
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No CAS | |
No ECHA | 100.034.467 |
No CE | 237-929-8 |
PubChem | 140437 |
SMILES | |
InChI | |
Propriétés chimiques | |
Formule | C20H20Cl3N4Rh |
Masse molaire[1] | 525,664 ± 0,024 g/mol C 45,7 %, H 3,83 %, Cl 20,23 %, N 10,66 %, Rh 19,58 %, |
Unités du SI et CNTP, sauf indication contraire. | |
Le chlorure de dichlorotétrakis(pyridine)rhodium(III) est un composé chimique de formule [RhCl2(NC5H5)4]Cl. Il s'agit du sel de chlorure Cl− et du complexe dichlorotétrakis(pyridine)rhodium(III) [RhCl2Py4]+, où « Py » représente un ligand pyridine NC5H5. On en connaît divers hydrates, qui sont tous des solides jaunes. Le tétrahydrate cristallise à partir de l'eau[2]. Ce tétrahydrate donne le monohydrate par séchage sous vide à 100 °C.
Les hydrates de [RhCl2Py4]Cl sont obtenus en chauffant du chlorure de rhodium(III) RhCl3 avec un excès de pyridine en présence d'un réducteur en quantité catalytique[3].
Le complexe moléculaire RhCl3Py3 est un intermédiaire de la synthèse de [RhCl2Py4]Cl[4].
Notes et références
- ↑ Masse molaire calculée d’après « Atomic weights of the elements 2007 », sur www.chem.qmul.ac.uk.
- ↑ (en) D. B. Vasilchenko, I. A. Baidina, E. Yu. Filatov & S. V. Korenev, « Structure and thermal properties of [RhPy4Cl2]X complex salts (X = Cl−, ReO4−, ClO4−) », Journal of Structural Chemistry, vol. 50, no 2, , p. 335-342 (DOI 10.1007/s10947-009-0046-7, lire en ligne).
- ↑ (en) R. D. Gillard, G. Wilkinson et G. W. Parshall, « trans-Dichlorotetra(pyridine)Rhodium(III) Salts », Inorganic Syntheses, vol. 10, (DOI 10.1002/9780470132418.ch11, lire en ligne).
- ↑ (en) K. R. Acharya, S. S. Tavale et T. N. Guru Row, « Structure of mer-trichlorotris(pyridine)rhodium(III), [RhCl3(C5H5N)3] », Acta Crystallographica Section C, vol. 40, no 8, , p. 1327-1328 (DOI 10.1107/S0108270184007848, lire en ligne).