Bataillon d'infanterie de marine et du Pacifique

Bataillon d'infanterie de marine et du Pacifique (BIMP)
Création 1942
Pays Drapeau de la France France
Branche armée de Terre
Type troupes de marine
Rôle infanterie
Fait partie de 1re division française libre
Anniversaire Bazeilles
Guerres Seconde Guerre mondiale
Batailles El Alamein
Tunisie
Italie
Provence
Vosges
Poche de Colmar
Authion
Décorations croix de guerre 1939-1945
Croix de la Libération
Commandant historique Roger Bouillon
Henri Magny

Le bataillon d'infanterie de marine et du Pacifique (BIMP) était une unité de l'armée française qui a participé à la Seconde Guerre mondiale.

Historique

À la suite des pertes subies par le 1er bataillon d'infanterie de marine (BIM) et le bataillon du Pacifique (B.P.1) durant le siège et la sortie de Bir Hakeim, le général Kœnig décida de fusionner les deux unités au sein du BIMP.

Le , les deux unités fusionnent pour former, à compter du , le bataillon d'infanterie de marine et du Pacifique.

Chefs de corps

  • -  : Eugène Alessandri, commandant provisoire du BIMP.
  • -  : commandant Roger Bouillon.
  • -  : commandant Henri Magny[1], tué au combat.
  • -  : capitaine Constant Roudaut (par intérim)
  • -  : commandant Edmond Magendie[2].

Historique des garnisons, combats et bataille du BIMP

Seconde Guerre mondiale

Fanion du bataillon

Décorations

Personnalités ayant servi au BIMP

En tant qu'unité militaire décorée de la croix de la Libération, Le BIMP a compté dans ses rangs 68 officiers, sous-officiers et hommes de troupe faits compagnons de la Libération à titre individuel parmi lesquels 21 sont morts pour la France[3].

Compagnons morts pour la France
Compagnons du BIMP originaires des DOM-TOM
Autres Compagnons du BIMP

Références

  1. « Henri MAGNY », sur Musée de l'Ordre de la Libération (consulté le ).
  2. « Edmond MAGENDIE », sur Musée de l'Ordre de la Libération (consulté le ).
  3. Le site de l'Ordre de la Libération donne 3 listes différentes pour les compagnons, une pour chacune des trois formations. De ce fait, 32 compagnons se retrouvent listés 2 fois et 2 compagnons sont listés 3 fois.
  4. C'est le dernier officier tué de la 1re DFL

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes