On demande un assassin
Réalisation | Ernst Neubach |
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Scénario |
Ernst Neubach d'après le roman de |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Pen Films Cinéma Films Production |
Pays de production | France |
Genre | Comédie |
Durée | 90 minutes |
Sortie | 1949 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
On demande un assassin est un film français réalisé par Ernst Neubach et sorti en 1949.
Résumé
Un fils de famille endetté, décide de mettre fin à ses jours et fait appel pour cela à un tueur professionnel, qui s'engage à le supprimer dans les quarante-huit heures. Cependant le lendemain, argent, chance et amour lui sourient à nouveau. Alors peut commencer un cache-cache infernal entre l'assassin et sa victime.
Fiche technique
- Titre : On demande un assassin
- Réalisation : Ernst Neubach
- Scénario : d'après le roman d'Ernst Neubach
- Adaptation et dialogues : André Tabet
- Assistant réalisateur : André Pergament
- Images : Raymond Clunie
- Son : Norbert Gernolle
- Montage : Leonide Azar, Marcelle Lioret
- Décors : Louis Le Barbenchon
- Photographe de plateau : Léo Mirkine
- Musique : Kurt Le Winnek
- Production : Pen Films - Cinéma Films Production
- Directeur de production : Adolphe Rosen
- Tournage du au
- Format : Son mono - Noir et blanc - 35 mm - 1,37:1
- Genre : Comédie
- Durée : 90 minutes
- Date de sortie : 21 octobre 1949
Distribution
- Fernandel : Bob Laurent, le fils de famille
- Noëlle Norman : Liliane
- Maurice Teynac : Le prince Orloff (ou Fréville)
- Guy Lou : Henri
- Félix Oudart : Mr Laurent, père
- Yves Deniaud : Tom
- Claude Chenard : Kiki
- Pierre Sergeol : Willy le boxeur
- Max Dalban : Rosse
- Henri Echourin : Le créancier
- Lucien Callamand : Le détective
- Zanie Aubie : L'actrice
- Denise Roux : La manucure
- Armand Bernard : Le représentant des pompes funèbres
- Jean-François Martial : Le garde
- Evelyne Salmon
- Félix Clément
- Louis Lions
Analyse
Le film joue la carte du cynisme et du mot cinglant, offrant part belle à Yves Deniaud (le Majordome omniprésent) et d'autres, ponctuelles celles-ci, au méconnu Armand Bernard (l'entrepreneur de pompes funèbres), abonné aux emplois de corbeau inquiet, à Félix Oudart (le père milliardaire qui n'aime son rejeton que lorsque celui-ci comble ses découverts) et l'élégant Maurice Teynac que l'on retrouvera face à Fernandel dans L'assassin est dans l'annuaire de Léo Joannon. Plus de dix ans séparent d'ailleurs ces deux œuvrettes, si proches par le titre, si distinctes par le style [réf. nécessaire].