Lycée privé Sainte-Geneviève
Devise | « Aimer servir », abrégée « Servir »[1] |
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Surnom | Ginette, BJ |
Fondation | 1854 |
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Type | Enseignement privé sous contrat |
Directrice | Isabelle Malbet |
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Formation | CPGE scientifiques et commerciales |
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Langue(s) des cours | Français |
Ville | Versailles |
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Pays | France |
Site web | www.bginette.com |
Coordonnées | 48° 48′ 13″ nord, 2° 09′ 19″ est |
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Le lycée Sainte-Geneviève est un établissement privé de classes préparatoires aux grandes écoles. Fondé en 1854 par la Compagnie de Jésus dans l'actuelle rue Lhomond à Paris, il déménage à Versailles en 1913 à la suite des décrets d'expulsion des congrégations et de la loi de séparation de l'Église et de l'État.
L'école, couramment surnommée « Ginette » ou encore « BJ » (pour « boîte à jèzes »), est réputée en raison du taux de réussite élevé de ses étudiants aux concours des grandes écoles d'ingénieurs et de commerce, notamment l'École polytechnique.
Histoire
Paris (1854-1913)
En avril 1854 est fondée à Paris par Frédéric Studer l'école Sainte-Geneviève, dans l’hôtel de Juigne, au 18 de la rue Lhomond, alors appelée rue des Postes[a], dans une maison où les jésuites avaient auparavant installé leur noviciat[2].
La loi Falloux du supprime le monopole universitaire sur l’enseignement secondaire, reconnaissant ainsi la liberté d'enseignement aux catholiques[3]. Le père Pierre-Jean Beckx, supérieur général de la Compagnie de Jésus, autorise alors l'ouverture de classes de mathématiques élémentaires ainsi que de classes préparatoires pour Saint-Cyr, Polytechnique et Centrale, encadrées par 27 jésuites[4]. Les jésuites cherchent alors à rechristianiser la société française en formant une élite militaire catholique. L’industrialisation du pays progressant, l’établissement s’oriente progressivement vers la formation des ingénieurs. Jusqu'en 1880, la direction et presque tout l'enseignement sont assurés par les seuls jésuites[2],[5].
Le premier recteur, le père Philippe Delvaux, ne veut pas d'uniforme pour les élèves ; il institue le système des « colles », entraînement régulier aux épreuves orales des concours d'entrée dans les grandes écoles, exemple qui sera suivi par les autres classes préparatoires. D'année en année, le nombre des élèves augmente : 48 en 1854, 85 en 1855, 110 en 1856, 202 en 1857, et plus de 300 dix ans après la fondation. Jusqu'en 1861, les « math élem » sont majoritaires, mais sont bientôt dépassés en nombre par les élèves de classes préparatoires[2].
Pendant la guerre franco-prussienne de 1870, l'établissement est transformé en service ambulancier, puis en caserne[4]. L'école est ensuite occupée pendant la Commune jusqu'au . Le recteur, le père Ducoudray est arrêté, ainsi que plusieurs autres pères et employés, et incarcéré comme otage. Le , au cours de la Semaine sanglante qui voit l'écrasement des insurgés par les Versaillais, il est fusillé en même temps que Mgr Darboy, archevêque de Paris[6],[2].
La rentrée d' a lieu au château d'Athis-Mons, où l'école a été momentanément transférée.
L'école faillit encore fermer définitivement en 1880 à cause d'un projet de loi interdisant l'enseignement aux membres de toute « congrégation religieuse non reconnue ». La loi est adoptée sans cette disposition, mais les décrets de Jules Ferry des 29 et la reprennent et imposent aux jésuites de se disperser et d'évacuer leurs communautés et établissements scolaires. Les pères jésuites sont expulsés de l'école en 1880. Ils reviennent à partir de 1887, mais la loi du interdit de nouveau l'enseignement aux membres des « congrégations non autorisées » et les jésuites quittent encore une fois la rue Lhomond. Des mesures sont prises pour assurer, sans les pères, la continuité de l'école. Le directeur est alors un laïc, Alfred Mativet, et de nombreux prêtres diocésains participent à la vie de l'institution. Le règlement est conservé mais certaines mesures sont prises pour l'assouplir. Afin de permettre aux élèves de participer aux œuvres sociales et apostoliques, la sortie du mercredi est transférée au jeudi. Des conférences tenues par des personnalités d'importance sont organisées. Cette double dimension sociale et culturelle est encore présente dans le projet éducatif de l'école[2].
Versailles (depuis 1913)
L'école est affectée par la loi de séparation, qui prévoit que les biens de l’Église reviennent à l’État. Afin de la contourner, les jésuites transfèrent leurs propriétés à des laïcs de confiance. La bataille devient ainsi judiciaire quand l’État cherche à démontrer que les titres de propriété exhibés par ces laïcs sont fictifs et que la congrégation demeure le réel propriétaire. Au terme d'une série de procès, l'école de la rue des Postes est confisquée le dans un contexte de guerre scolaire[7]. Le , l'institution déménage rue de la Vieille-Église à Versailles, dans la propriété dite du « Grand Montreuil », emplacement de la maison des sœurs du Cénacle évincées en 1911[2]. L'emplacement actuel comportait, en 1913, le bâtiment Notre-Dame, la chapelle et le bâtiment Saint-François Régis construits près du pavillon appartenant à Joséphine-Louise de Savoie, épouse du comte de Provence, frère du roi Louis XVI, futur roi Louis XVIII (pavillon Madame). Le bâtiment Sainte-Geneviève est construit pour pouvoir accueillir les internes qui y sont logés en chambres doubles ou individuelles, suivant la volonté d'Alfred Mativet, directeur de l’époque[4].
À cette époque, l'école innove sur beaucoup de points. Il y a environ 10 % de demi-pensionnaires, tous les internes sont en chambre particulière ou presque ; des douches modernes, tièdes, sont prévues une fois par semaine et le lever est retardé à 6 h 25… On reconnaît l'existence des responsables de classe, les Z dans le vocabulaire des prépas.
La Première Guerre mondiale verra les lieux successivement transformés en hôpital militaire, puis occupés par l'Institut catholique d'arts et métiers[4]. Après la guerre, la vie de l'école reprend et, à la suite de l'action de la ligue des Droits du religieux ancien combattant, les lois de 1901 s'assouplissent. À la rentrée 1931, le père Gabriel de Boissieu devient le premier recteur jésuite à Versailles[2].
Durant la Seconde Guerre mondiale, la scolarité est perturbée par les actions de la police allemande et les convocations pour le STO[4]. Un hôpital militaire est installé dans l'école. Une partie des élèves loge en ville. Le pain est rationné, une basse-cour installée, les pelouses transformées en potagers[2].
Un monument aux morts, restauré en 1995, rappelle que plus de 2 500 anciens élèves sont morts pour la France.
En 1953, la rue de la Vieille-Église de Versailles est rebaptisée rue de l’École des Postes, en souvenir des origines de l’école[4].
À la suite de la loi Debré de 1959, l'établissement signe un contrat d'association avec l'État en 1960. De ce fait, les professeurs sont payés par l’Éducation nationale[2].
Diverses réformes dans les années 1960 associent davantage les élèves à la vie de l'établissement. La première jeune fille, Élisabeth, est inscrite en 1970 ; un bâtiment de l'internat des filles porte aujourd'hui son nom[4]. Il y avait, lors de la rentrée scolaire 2010, 824 élèves dont 277 filles[8]. C'est un établissement accueillant des étudiants de cultures, de religions et d'horizons divers (un gros tiers des élèves vient de la région parisienne, la moitié de province, plus de 10 % de l'étranger — notamment Maroc, Tunisie et Liban)[9],[10],[11].
Organisation actuelle
Les classes préparatoires
Le lycée abrite des CPGE économiques et commerciales en voie scientifique (ECG), et scientifiques (MP, PC, PSI, PT, BCPST).
En 2019, L'Étudiant donnait le classement suivant pour les concours de 2018 :
Filière | Élèves admis dans une grande école* |
Taux d'admission* |
Classement national |
Évolution sur un an |
Taux moyen sur 5 ans |
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MP / MP* [12] | 85 / 112 élèves | 76% | 1re sur 126 |
2 | 72% (1re) |
PC / PC* [13] | 93 / 135 élèves | 69% | 1re sur 108 |
70% (1re) | |
PSI* [14] | 37 / 41 élèves | 90% | 2e sur 120 |
93% (1re) | |
PT* [15] | 28 / 31 élèves | 90% | 2e sur 64 |
85% (2e) | |
BCPST [16] | 34 / 38 élèves | 90% | 2e sur 55 |
92% (1re) | |
ECS [17] | 56 / 77 élèves | 73% | 5e sur 92 |
1 | 70% (3e) |
Source : Classement 2019 des prépas - L'Étudiant (Concours de 2018)[18]. * le taux d'admission dépend des grandes écoles retenues par l'étude. En filière ECS, ce sont HEC, ESSEC, et l'ESCP. En filières scientifiques, ce sont un panier de 11 à 17 écoles d'ingénieurs qui ont été retenus selon la filière (MP, PC, PSI, PT ou BCPST). |
Des préfets dirigent une ou plusieurs filières.
En première année (dite « sup »), les élèves de MPSI et PCSI font le choix de conserver ou non les sciences de l'ingénieur (SI). Ils intègrent alors une classe PSI*. Si ce n'est pas le cas, leur deuxième année (dite « spé ») s'effectue en classe MP/MP* ou PC/PC*.
S'ils jugent leurs résultats insatisfaisants lors des concours d'écoles d'ingénieur, ils ont la possibilité de redoubler et ainsi passer non pas deux mais trois années en classes préparatoires. On appelle ces élèves « cinq-demis » (l'intégrale de la fonction entre 2 et 3 valant 5/2 ; X faisant ici allusion à l'école Polytechnique).
Controverses
La question du bizutage
Avant 1995, l'intégration des nouveaux se traduisait par des bizutages qui, s'ils se voulaient ludiques et humoristiques, se révélaient également humiliants et éprouvants[b]. Ces bizutages étaient organisés par les redoublants de mathématiques spéciales (dits « cinq-demis ») sur les élèves de première année[c].
En 2006, un jeune enseignant ayant dénoncé des faits de bizutage datant de 2004, bien qu'interdits depuis 1998, est poussé à la sortie[19],[20],[21]. En 2007, une élève du lycée dénonce avoir subi un bizutage particulièrement violent en 2003[21].
ParcourSup
En 2021, Le Monde signale que le lycée, comme d'autres formations prestigieuses, demande aux candidats de fournir des pièces supplémentaires à celles de Parcoursup afin de postuler à l'internat[22].
Anciens élèves célèbres
- Source : Annuaire des anciens élèves de l'école Sainte-Geneviève, édition 2011.
Religieux
- Jacques Arnould O.P. (né en 1961), historien des sciences et théologien
- Saint Charles de Foucauld (1858-1916), explorateur et religieux français
- François Berlier de Vauplane S.J. (1883 - 1939), directeur de « Franklin », puis de « Ginette »
- Henri du Passage S.J. (1874-1963), ingénieur civil des Mines, directeur de la revue Études
- Jean-Marie Le Vert (né en 1959), ancien évêque de Quimper
- Jean-Marie Petitclerc S.D.B. (né en 1953), éducateur spécialisé, écrivain, expert des questions d'éducation dans les zones sensibles
Militaires
- Hubert Lyautey (1854-1934), maréchal de France
- Louis Franchet d'Espèrey (1858-1942), maréchal de France
- Jean de Lattre de Tassigny (1889-1952), maréchal de France
- Henry de Bournazel (1898-1933), capitaine de spahis et héros de l'épopée coloniale
- Honoré d'Estienne d'Orves (1901-1941), héros de la résistance
- Philippe de Hautecloque (1902-1947), résistant et maréchal de France (le maréchal Leclerc)
- Jean Lagarde (1908-2003), général d'armée
- Charles Bricogne (1913-1942), Compagnon de la Libération
- Alain de Boissieu (1914-2006), Compagnon de la Libération et général d'armée
- Tom Morel (1915-1944), Compagnon de la Libération, héros de la Résistance
- Hélie de Saint Marc (1921-2013), résistant, combattant en Indochine et Algérie
- Jean-Louis Battet (né en 1944), amiral, chef d'état major de la Marine de 2001 à 2005
- Édouard Guillaud (né en 1953), amiral, chef d'état-major des armées de 2010 à 2014
Chefs d'entreprises
- Victor de Metz (1902-1982), président-directeur général de la Compagnie française des pétroles de 1945 à 1971 et créateur de la marque Total
- Pierre Gadonneix (né en 1943), président-directeur général de Gaz de France de 1996 à 2004 puis président-directeur général d'EDF de 2004 à 2009
- Louis Gallois (né en 1944), président de la SNECMA puis d'EADS, de la SNCF et d'Airbus
- Marc Tessier (né en 1946), ancien président de France Télévision
- Jean-Martin Folz (né en 1947), ancien président de PSA Peugeot Citroën
- Xavier Fontanet (né en 1948), ancien président-directeur général d'Essilor
- Philippe Varin (né en 1953), président du conseil d’administration d'Areva. Ancien PDG de PSA Peugeot Citroën 2009-2013, ancien ZG[d] de la promotion 1972-1973
- Driss Benhima (né en 1954), ancien ministre marocain, ancien PDG de Royal Air Maroc
- Benoît Potier (né en 1957), président-directeur général d'Air liquide
- Tidjane Thiam (né en 1962), directeur général de Crédit Suisse
- Édouard Michelin (1963-2006), dirigeant de Michelin
- Guillaume Faury (né en 1968), président-directeur général du groupe Airbus[23]
- Patrice Caine (né en 1970), président-directeur général du groupe Thales
- Stéphane Bancel (né en 1973), président-directeur général de Moderna Therapeutics
Scientifiques
- Albert Ducrocq (1921-2001), scientifique (cybernéticien), journaliste et écrivain français
- Albert Jacquard (1925-2013), statisticien, généticien
- Xavier Le Pichon (né en 1937), géodynamicien, professeur au Collège de France, membre de l'Académie des Sciences
- Ivar Ekeland (né en 1944), mathématicien, président de l'université Paris-Dauphine de 1989 à 1994
- Stanislas Dehaene (né en 1965), mathématicien et cognitiviste, professeur au Collège de France, membre de l'Académie des Sciences
Personnalités politiques
- Jean-François Deniau (1928-2007), homme politique, écrivain, ambassadeur et membre de l'Académie française
- Charbel Nahas (né en 1954), ministre libanais
- Laurent Touvet (né en 1962), conseiller d'État, directeur des libertés publiques et des affaires juridiques au ministère de l'Intérieur
- Valérie Pécresse (née en 1967), ancienne ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, présidente du Conseil régional d'Île-de-France
- Amélie de Montchalin (née en 1985), ancienne ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires, représentante permanente de la France auprès de l'OCDE
- Othman Nasrou (né en 1987), vice-président de la région Île-de-France, secrétaire d'État chargé de la Citoyenneté et de la Lutte contre les discriminations depuis septembre 2024
Autres
- Pierre Savorgnan de Brazza (1852-1905), explorateur de la rive droite du fleuve Congo
- Fulgence Bienvenüe (1852-1936), inspecteur général des Ponts et Chaussées et père du métro de Paris avec Edmond Huet
- Antoine Béthouart (1889-1982), Compagnon de la Libération
- Yves du Manoir (1904-1928), capitaine de l'équipe de France de rugby, qui donna son nom à un challenge
- Pierre Segrétain (1909-1950), commandant du BEP
- Jean-Marie Bastien-Thiry (1927-1963), organisateur de l'attentat du Petit-Clamart
- Bernard Fresson (1931-2002), acteur de cinéma
- Philippe Sollers (1936-2023), écrivain
- Patrick Peugeot (né en 1937), président de la Cimade
- Jean-François Bizot (1944-2007), journaliste, écrivain, homme de radio et de cinéma
- Antoine Spire (né en 1946), journaliste de presse et de radio, intellectuel et éditeur
- Bernard Ramanantsoa (né en 1948), directeur général d'HEC de 1996 à 2015
- Bernard de Montmorillon (né en 1950), universitaire, président de l'Université Paris-Dauphine de 1999 à 2007
- Mac Lesggy (né en 1962), journaliste scientifique, présentateur de l'émission e=M6
- Elyès Jouini (né en 1965), économiste et universitaire tunisien, membre de l'Institut universitaire de France
- Emmanuelle Mignon (née en 1968), ancienne conseillère de la présidence de la République
- Julien Coupat (né en 1974), sociologue, cofondateur de la revue Tiqqun
Une amicale d’anciens élèves a été créée en 1875.
Liste des directeurs
- À partir de 1854 : Père Philippe Delvaux
- Père Léon Turquand
- Père Adolphe Pillon
- Jusqu'en 1871 : Père Léon Ducoudray
- 1871-1880 : Père Stanislas du Lac
- 1937-1939 : Père François Berlier de Vauplane
- 1992-2000 : Père Patrice de la Salle (SJ)
- 2000-2010 : Isabel Jubin
- 2010-2017 : Jean-Noël Dargnies
- 2017-2021 : Manuela Rousselot
- Depuis 2021 : Isabelle Malbet
Notes et références
Notes
- D'où l'ancien nom de l’établissement « École des Postes », qui a donné son nom à la rue à Versailles.
- Dans son livre Je suis morte et je n'ai rien appris, Solenn Colléter dénonçait la facilité avec laquelle des humains peuvent recourir à la manipulation mentale ou à des pressions psychologiques terribles. Elle racontait pour cela, en la romançant, sa propre expérience traumatisante de bizuth au lycée Sainte-Geneviève.
- Ainsi, ceux qui « intégraient » (réussissaient aux concours) dès la première fois, subissaient le bizutage sans avoir jamais l'occasion de l'infliger eux-mêmes.
- Représentant des élèves auprès de l'administration.
Références
- « Aimer Servir », sur bginette.com.
- Henri Madelin, « L’école Sainte-Geneviève, 150 ans d’histoire », Étvdes, vol. 4, t. 400, , p. 477-487 (DOI 10.3917/etu.004.0477, lire en ligne).
- Bruno Belhoste, « La préparation aux grandes écoles scientifiques au xixe siècle : établissements publics et institutions privées », Histoire de l'éducation, vol. 90, , p. 101-130 (DOI 10.4000/histoire-education.834).
- « Un peu d'histoire », sur bginette.com.
- Y. de la Brière, « L’École Sainte-Geneviève de la rue des Postes », Étvdes, no 136, , p. 386-413.
- Annuaire des anciens élèves de l'école Sainte-Geneviève, édition 2011, p. 5, (ISSN 0995-2446).
- Christian Bidard et Guido Erreygers, « La foi et l’économie : Maurice Potron, précurseur de l’analyse input-output », Cahiers d'économie Politique, vol. 2, no 71, , p. 91-125 (lire en ligne).
- Annuaire des anciens élèves de l'école Sainte-Geneviève, édition 2011, p. 10, (ISSN 0995-2446).
- Petite chronique des 150 ans de Ginette
- La promotion 2006-2007
- « D'où viennent les élèves ? », sur bginette.com.
- Classement 2019 des prépas MP
- Classement 2019 des prépas PC
- Classement 2019 des prépas PSI
- Classement 2019 des prépas PT
- Classement 2019 des prépas BCPST
- Classement 2019 des prépas ECS
- « Palmares : le classement 2019 des prépas », L'Étudiant_(magazine), (lire en ligne)
- « A "Ginette", dénoncer le bizutage n'est pas conseillé », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Par Charles de Saint Sauveur et Emmanuel DervilleLe 29 octobre 2005 à 00h00, « Un prof dénonce le bizutage à « Ginette » », sur leparisien.fr, (consulté le )
- Institut National de l’Audiovisuel- Ina.fr, « Le dossier de l'édition : le bizutage », sur Ina.fr (consulté le )
- Eléa Pommiers, « Ces prépas du privé qui s’arrangent avec les règles de Parcoursup », sur Le Monde, (consulté le ).
- Vincent Lamigeon, « Qui est Guillaume Faury, le patron de crise d'Airbus ? », Challenges, (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Henri Madelin, « L’école Sainte-Geneviève, 150 ans d’histoire », Étvdes, vol. 4, t. 400, , p. 477-487 (lire en ligne).