Francisco Bajén

Francisco Bajén
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Biographie
Naissance
Décès
(à 102 ans)
Albi
Sépulture
Cimetière de la Madeleine à Albi
Nom de naissance
Francisco Bajén Rubio
Surnom
Le peintre du silence
Nationalité
Activité
Période d'activité
1944-2006
Père
Antonio Bajén
Mère
Aurélia Rubio
Conjoint

Libertad Granja Vega alias Martine Vega (1937-1974)

Yvonne Keller
Autres informations
A travaillé pour
Banque, Barcelone, Espagne ; Les Acières, Saut du Tarn, Saint-Juéry, Tarn, France ; La Viscose, Albi, Tarn, France
Genre artistique

Francisco Bajén, né le à San Clémente (Espagne) et mort le [1],[2] à Albi (Tarn, France), est un peintre d’art contemporain.

Biographie

Début en Espagne

Né le 15 mai 1912 à San Clemente, situé dans l'actuelle région de la Castille-et-León[3], il est le fils unique d'Antonio Bajén et d'Aurelia Rubio.

Alors que Francisco est encore enfant, sa famille quitte la province de León pour s'installer en Catalogne. Dès son enfance, Bajén réalise des dessins et remplit des cahiers de bandes dessinées qu'il prend plaisir à créer. Il se lance dans des études d’économie et de français, malgré le souhait de ses parents de le voir intégrer l’école des beaux-arts. Ayant un bon niveau de français, ce dernier entre au service d’une banque barcelonaise comme interprète.

Il se marie à Barcelone en 1937 avec Libertad Grandja Vega, devenue plus tard Martine Vega, née au Pays basque espagnol en 1915[2].

Début en France

À la fin de la guerre civile, Francisco Bajén, officier de l’armée républicaine, prend la décision, avec sa femme, de s’exiler vers la France. Ils sont restés très discrets sur cet épisode de leur vie. C’est à Dourgne (Tarn), qu’ils arrivent le 30 janvier 1939. Parlant français, le couple n’a pas de mal à s’intégrer. Alors qu’il ne peint pas encore, Bajén exécute des dessins humoristiques légendés en français. Il étonne par une connaissance précise de la littérature, du cinéma, de la musique et des artistes peintres français.

Dès la déclaration de guerre, Francisco est requis aux aciéries du Saut du Tarn au service de l’industrie de guerre, entreprise de sidérurgie à Saint-Juéry (Tarn). Par la suite, il entre dans une usine de textile, La Viscose, usine installée à Albi (Tarn), dans laquelle il reste jusqu’à sa retraite.

En 1958, il vient habiter à Albi au 4 rue Puech Bérenguier. Son atelier est situé au 4e étage permettant ainsi d’avoir une vue sur la cathédrale Sainte-Cécile et sur le cloître de Saint-Salvy. Sa femme, Libertad, meurt le .

En 2001, à la suite d’une chute dans les escaliers, il part s’installer avec sa compagne Yvonne Keller, rue de la Crouzille[4].

Début artistique

Dès 1944, il intègre un groupe d’amis érudits composé de Jean Roques, professeur de lettres au lycée d’Albi, René Rouquier, instituteur et Jean Nectoux, professeur de lettres. À eux se joignent Talabot et Champeaux, ingénieurs au Saut du Tarn ; Leguevaque, avocat ; l’Abbé Nouvel, curé-adjoint de Saint-Juéry ; et Marcel Vedel peintre autodidacte, essentiellement influencé par le fauvisme de Vlaminck. Ils se réunissent une fois par semaine pour parler de littérature et d’art. Comme beaucoup d’artistes, Bajén gravite dans un cercle d’érudition qui va l’encourager dans sa voie artistique et nourrir ses créations.

Le point de départ de sa vocation d'artiste est dû à un service qu'il a rendu à une de ses amies, en 1944. Pour une œuvre caritative, elle réalise des poupées de chiffons et sollicite Bajén pour peindre leurs visages[5]. Muni d'une boîte d'aquarelle et de quelques pinceaux, il s'exécute. C'est à partir de cet événement que Bajén se met à réaliser ses premières peintures, dont deux aquarelles datées de 1944[6]. S'ensuivent des essais à la gouache jusqu'à ce que l'artiste se procure un nécessaire de peinture à l'huile, médium avec lequel il décide finalement de s'exprimer, particulièrement séduit par les effets de matière qu'il permet.

D’après ses propos, Bajén dit s'être préparé à peindre non de manière technique, mais bien de manière esthétique[7]. Il cherche dans la peinture, non pas un passe-temps agréable, mais un moyen de culture. Pour Francisco, la peinture est devenue une vertu.

Il n'a cependant jamais suivi d'enseignement artistique et c'est en autodidacte qu'il apprend à peindre. Avant de passer à la pratique, Francisco Bajén n'a côtoyé la peinture que par l'intermédiaire d’œuvres des grands maîtres lors de ses visites dans les musées. Visiteur assidu des grands musées d'Europe, il avoue volontiers son admiration pour Piero della Francesca, Rembrandt, Georges de La Tour, Matisse, Picasso, Vlaminck, Braque, Gromaire, mais aussi pour la sculpture égyptienne ou romane. Il aurait déclaré :

« Je crois pouvoir me définir comme un « homme de culture » en ce sens que j'ai effectivement été attiré, très jeune et de façon mystérieuse, par les grandes disciplines artistiques : littérature, poésie, musique, arts plastiques, cinéma. J'ai lu Shakespeare alors que j'étais adolescent et l'attirance que j'avais pour les grands classiques n'a jamais été déçue. Je n'étais point contraint par mes parents et je passais alors beaucoup de temps au contact des œuvres sans souci d'en tirer parti. C'était une sorte de jeu que je pratiquais en dilettante et dans lequel je puisais une nourriture culturelle et spirituelle . »

— « À cœur ouvert... Francisco Bajèn », propos recueillis par G. Carles, Le Tarn libre, , p. 35.

Sa vue diminuant, il arrête de peindre en 2006 et ne peut terminer La Femme à la crémaillère restée à l’état d’esquisse au fusain.

Il décède le à Albi à l’âge de 102 ans. Ses obsèques se déroulent à la cathédrale Sainte-Cécile d'Albi.

Son art

Dès 1944, il peint des aquarelles qu'il offre à ses amis. Par ailleurs, il s’essaye à la marqueterie avec l’œuvre Nativité et Triptyque des saisons (collections privées) et à la peinture sur bois (marouflage) avec Moisson appartenant également à une collection privée.

En 1946, il exécute des gouaches et des huiles sur toile, essentiellement des paysages. Il est influencé par plusieurs mouvements artistiques du début du XXe siècle : l’impressionnisme, le fauvisme et le cubisme. Au musée Bajén-Vega à Monestiés (Tarn, France), on retrouve une de ses œuvres de 1947, Portrait de Vega¸ représentant sa femme en suivant les codes du fauvisme, et qui laisse transparaître une possible influence d'une toile d’Henri Matisse (La raie verte, 1905, Statens Museum for Kunst, Copenhague). Il s’inspire également du mouvement cubiste comme avec ses œuvres Joueurs de carte 2 (1956, musée Bajén-Vega à Monestiés, Tarn, France) et Crucifixion (1956, musée Bajén-Vega à Monestiés, Tarn, France).

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Francisco Bajén, Joueurs de cartes 2, 1956, musée Bajén-Vega, Monestiés, Tarn, France ©Mairie de Monestiés
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Francisco Bajén, Portrait de Martine Vega, 1947, musée Bajén-Vega, Monestiés, Tarn, France, ©Mairie de Monestiés
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Francisco Bajén, Crucifixion, 1956, musée Bajén-Vega, Monestiés, Tarn, France ©Mairie de Monestiés


Courant 1960, un changement stylistique assez marqué se produit. Il abandonne le côté fauve et cubiste pour se concentrer sur une palette chromatique allant dans les rouges, les ocres, les jaunes avec parfois du blanc et du bleu. Ses figures sont marquées d’un fin cerne noir. Il conservera ce style jusqu’à sa mort.

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Le Pont Vieux sous la neige, 1977, musée Bajén-Vega.
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Cartes et Billards, 1984, musée Bajén-Vega.

Il s’exerce à la linogravure et propose des surfaces et des volumes à la fois stylisés et très composés. Francisco Bajén pratique beaucoup le dessin préparatoire, ce qui lui permet d’architecturer ses thèmes avec une grande solidité. Peignant seul, il ne montre jamais une toile en suspens, sauf exceptionnellement, en voie d'achèvement, à des êtres proches. Il propose aussi des perspectives citadines[5] aux allures médiévales comme avec Albi, Le pont vieux sous la neige (1977, musée Bajén-Vega à Monestiés, Tarn, France) ; parfois des sujets religieux[5] (Religieuse au cloître, 1976, musée Bajén-Vega à Monestiés, Tarn, France ; Diptyque Saint-Martin, 1996, musée Bajén-Vega à Monestiés, Tarn, France) et des sujets profanes[5]. Francisco Bajén est aussi peintre du quotidien. Il évoque le divertissement, les travaux agricoles et artisanaux[5] (Cartes et Billards, 1984, musée Bajén-Vega à Monestiés, Tarn, France ; Femme à la gerbe, 1985, musée Bajén-Vega à Monestiés, Tarn, France).

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Religieuse au cloître, 1976, musée Bajén-Vega.
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Diptyque Saint-Martin, 1996, musée Bajén-Vega.

L’un de ses sujets de prédilection est celui de la femme[5]. Elle est tour à tour séductrice, sensuelle, mère et femme au foyer. Parfois représentées nues (Nu sur fond bleu, musée Bajén-Vega à Monestiés, Tarn, France), parfois de façon maternelle et parfois en plein travail domestique ou agricole. C’est le cas avec le tableau Lavandière (musée Bajén-Vega à Monestiés, Tarn, France) datant de 1999. Les personnages de Francisco Bajén ont souvent les yeux clos ou mi-clos rappelant les représentations de l’art khmer[5]. Avec ce regard tourné vers l’intériorité, il ne souhaite pas transmettre une émotion particulière, mais évoquer une rêverie, une méditation ou même un vide.



Notoriété

Jean Cassou, écrivain et critique d’art, écrit : « Je tiens Bajén pour l’un des meilleurs peintres que l’Espagne en exil a forgés. Il a cette force et cette gravité des accents qui composent la langue plastique de son pays, cet amour du vrai et du noble… »[8]

Il expose dans de nombreuses villes. Dans un premier temps, Pierre Jalby, ami du couple, propose des expositions dans sa galerie et, par la suite, c’est L’association des amis de Francisco Bajén, Martine Vega et André Bonné, créée en 1992, qui les organise.

Listes des expositions

Bajén a été sollicité par de nombreuses galeries, notamment parisiennes : la Galerie Drouet où il expose en 1957 et 1959 et la Galerie Drouant dont il est peintre attitré de 1961 à 2003. Son succès prend une dimension internationale à la Galerie Léandro à Genève en Suisse où il expose de 1964 à 1989. Des collections publiques européennes et américaines possèdent plusieurs de ses toiles.

Autres événements

  • Création de l’affiche pour le congrès Marial à Albi du 9 au 13 juin 1954[61],[62].
  • Création de la brochure contenant le programme pour la soirée artistique U. F. O. L. E. A. au profit des colonies de vacances, du 15 au 18 avril 1959 au théâtre municipal[63].
  • Le jeudi 20 novembre 1980 le lycée Bellevue d’Albi organise une présentation visuelle des œuvres de Bajén.
  • Le vendredi 4 juin 1982, dans la salle A.-Jamme au lycée Bellevue à Albi, projection de deux films réalisés en hommage à Francisco Bajén[64],[65].
  • Le samedi 11 août 2018, pendant l’exposition de Dourgne, Claude Massé propose une conférence sur Bajén, abordant ses œuvres mais également sa vie de manière générale.

Prix, diplômes et distinction

  • 1961 – premier grand prix des richesses du Tarn, Réalmont, Tarn, France[66].
  • 1965 – grand prix des richesses du Tarn, dont les initiateurs sont Jean-Paul Taurine et Alain Catalo, président-fondateur de l'association des "Amis de Dom Robert".
  • 1981 – diplôme du mérite décerné par l’académie internationale Léonard de Vinci à Rome, Italie.
  • 1995 – peintre de la lumière – grand prix de la biennale internationale du gemmail d’art sacré à Lourdes, Hautes-Pyrénées, France.
  • 2000 – grand prix du gemmail à Tours, Indre-et-Loire, France.

Voir aussi

Bibliographie

  • BLANCOTTE Bernard, Regards sur Francisco Bajén, Revue du Tarn, Albi, 1980.
  • L’atelier Roger Malherbe Navarre, Le Gemmail, Art de Lumière, Expression du XXe siècle, Musée du Gemmail, non daté.
  • ROQUES Jean, Bajén ou la poésie du silence, Toulouse, Odyssée, 1999.
  • Les Amis de F. Bajén et M. Vega, Francisco Bajén / Martine Vega, Catalogue partiel du musée, Albi, 2014.

Webographie

Notes et références

  1. État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970
  2. a et b « Francisco Bajén le « peintre du silence » s'est tu, son musée reste », sur ladepeche.fr (consulté le )
  3. « Francisco Bajén le « peintre du silence » s'est tu, son musée reste », sur ladepeche.fr (consulté le )
  4. Interview donnée par Madame Yvonne Keller à la Mairie de Monestiés, 31 Mai 2023
  5. a b c d e f et g Jean Roques, Bajén ou la poésie du silence, Toulouse, Odyssée, , 141 p. (ISBN 9782909478098)
  6. La datation de ces deux aquarelles nous permet de situer l'événement de la poupée en 1944 et non en 1946 comme il a été écrit auparavant, entre autres par Jean Roques dans Bajén ou la poésie du silence.
  7. BAJÉN Francisco, « Voici comment et pourquoi je me suis décidé à peindre », Viscose, 1957.
  8. Critique faite par Jean Cassou, conservateur en chef du Musée d'Art Moderne à Paris, à la suite d'une exposition à la galerie Drouant à Paris en 1966, Archives municipales de Monestiés, Tarn, France.
  9. Le journal du Tarn, Novembre 1949.
  10. M. M., « La peinture. Le vernissage de l'Exposition Bajén », Le Sud-Ouest,‎
  11. Journal Sud-Ouest, Novembre 1955
  12. Jean Devoisins, « L'Artiste albigeois Bajén expose à Paris », La dépêche du Midi,‎
  13. Carton d'invitation au vernissage du 5 avril 1957, disponible à la médiathèque Pierre Amalric à Albi sous la cote CAP 1130.
  14. CALL et CALL, [Troisième] 3ème exposition des artistes espagnols : Palais des Beaux-Arts, du 24 juin au 3 juillet 1958, Ediciones CNT, (lire en ligne)
  15. M.-R. Schnir, « De Paris à Toulouse, amour des Arts dans la vie », La dépêche du Midi,‎
  16. M. M, « Ce soir, à l'atelier d'art Pierre-Jalby, Vernissage de l'Exposition Bajén », Le Sud-Ouest,‎
  17. La dépêche du Midi, édition de Toulouse, 1963
  18. R. Rouquier, « Albi, À l'atelier d'art », Le Tarn Libre,‎
  19. J. -L. Daval, « Peinture pour votre plaisir », Le Courrier,‎
  20. « À la Galerie Léandro, Bajén ou le peintre du silence », La Suisse,‎
  21. « La Bourse des peintres. Edith Richaud présente... Bajén », L'écho de la finance,‎
  22. F. V, « L'exposition Bajén à la Galerie Hamon », Paris Normandie,‎
  23. N. L, « Bajén à la Galerie Hamon », Le Havre Libre,‎
  24. René Barotte, « Au musée Galliera, Les Peintres témoins de leur temps ont mis la chanson en peinture », Sud-Ouest,‎
  25. « Dans le cadre de la campagne contre la faim, une remarquable exposition de peinture au lycée LaPérouse », Le Sud-Ouest,‎
  26. J. D., « À la salle Choiseul, M. le Maire a présidé au vernissage de l'exposition "Signatures" », La dépêche du Midi,‎
  27. Jean Devoisins, « À la galerie Pierre-Jalby, Belle exposition de Martine Vega », La dépêche du Midi,‎
  28. Jean Devoisins, « Francisco Bajén expose à Albi », La dépêche du Midi,‎
  29. Georgette Llopis, « Chronique artistique, Exposition Francisco Bajén à la Galerie Drouant », Républicain du Tarn,‎
  30. Ph. F, « Les Expositions », Journal de Monaco,‎ , p. 358
  31. Georgette Llopis, « Francisco Bajén expose à Paris », Républicain du Tarn,‎
  32. J. W, « Sur les cimaises », Le Figaro,‎
  33. Robert Barret, « La Vie des galeries », Panorama du médecin,‎
  34. Georgette Llopis, « Au musée Toulouse Lautrec : Une rétrospective Francisco Bajén », Républicain du Tarn,‎
  35. G. A., « Après l'exposition Bajén », La Croix du Tarn,‎
  36. D. Pacaud, « Exposition Francisco Bajén Musée Goya du 6 Décembre 1980 au 4 Janvier 1981 », Hebdomadaire local d'informations politiques et économiques 4e année n°168,‎
  37. « Francisco Bajén », Les Échos de Normandie,‎
  38. Aline Llareus-Dinier, « Les peintures d'Albi ce soir, à la galerie Dany Malet », La dépêche du Midi,‎
  39. Affiche disponible à la médiathèque Pierre Amalric à Albi sous la cote RES AFF.
  40. a et b Affiche présente dans les Archives municipales de la Mairie de Monestiés.
  41. « Une sacré exposition », La dépêche du Midi,‎
  42. « Exposition Bajén-Greschny », La Croix du Midi,‎
  43. « Au Collège Jean-Jaurès : Exposition "Verre l'avenir" », (journal local),‎
  44. Nathalie Roussel, « 2èmes Regard : toutes les promesses ont été tenues », La Vie du Tarn,‎ semaine du 18 au 24 juillet 1996
  45. Jean Roques, « Bajén en avant-première », La dépêche du Midi,‎
  46. C.B., « Francisco Bajén et Marine Vega atteignent le même but par des chemins opposés », Tarn Libre,‎
  47. Jean Roques, « "Autour de Marie", une exposition de F. Bajén et de M. Vega », La dépêche du Midi,‎
  48. Jean Roques, « Autour de Marie : les tableaux de Francisco Bajén et de Martine Vega », La dépêche du Midi,‎
  49. Jean Roques, « Martine Vega dans les collections privées », La dépêche du Midi,‎
  50. Carton d'invitation au vernissage de l'exposition des œuvres des artistes espagnols issus de l'exil républicain dans le Tarn, envoyé par Thierry Carcenac (président du Conseil général du Tarn) et par Jean Gasc (Conseiller général délégué à la culture), adressé à Madame Yvonne Keller, Archives municipales de la Mairie de Monestiés.
  51. A.-M. Meyssonnier, « Une expo d'artistes réfugiés espagnols », La dépêche du Midi,‎
  52. « Bajén et Vega au musée des Jacobins », La dépêche du Midi - Gaillac,‎
  53. E.-J.C, « Bajén-Vega : une belle rétrospective inédite », Tarn Libre n°07,‎
  54. E.-J.C., « Les activités de l'association des Amis de F. Bajén-M. Vega », La dépêche du Midi,‎
  55. « Francisco Bajén et Martine Vega : une exposition d'envergure au musée Urbain-Cabrol », La dépêche de l'Aveyron,‎
  56. E.-J.C., « Des inédits de Francisco Bajén à l'Espace Jules-Cavaillès », La dépêche du Midi,‎
  57. Carton d'invitation au vernissage de l'exposition Francisco Bajén par l'association des amis de F. Bajén et de M. Vega, à l'intention de Madame Yvonne Keller, Archives de la Mairie de Monestiés.
  58. « Des œuvres inédites de Francisco Bajén », Albi Mag n°199,‎
  59. « La 47e exposition inaugurée », La dépêche du Midi,‎
  60. « Vernissage de l'exposition Bajen à l'Hôtel Rochegude », sur Albi, (consulté le )
  61. Archives municipales de Monestiés, Tarn, France.
  62. Affiche disponible à la médiathèque Pierre Amalric à Albi sous la cote RES AFF 032.
  63. Brochure disponible à la médiathèque Pierre Amalric à Albi sous la cote CAP 1241.
  64. Le premier film est un court-métrage en noir et blanc tourné par Mopy, Mythologies de Bajén, et le second est en couleur Bajén aux frontières de l'invisible réalisé par Jean-Marc Attia et Jean-Louis Cros.
  65. « Informations F. O. L Service audiovisuel », La dépêche du Midi,‎
  66. M.-R. Schnir, « Nos artistes à Paris, Bajén chez Drouant », La dépêche du Midi,‎