Fadéla Hebbadj
Fadéla Hebbadj, née le , est une professeure de philosophie et romancière algérienne.
Biographie
Fadéla Hebbadj est une professeure de philosophie hantée par l'assassinat de sa mère et de sa sœur en 1972, exprimant sa douleur. Elle se voit comme la gardienne de l'égalité naturelle des morts[1].
Œuvres
- L'arbre d'ébène, Buchet-Chastel, (ISBN 978-2-283-02352-5)[2],[3].
- Les ensorcelés, Buchet-Chastel, (ISBN 978-2-283-02453-9)[1],[4].
Références
- Patricia Tourancheau, « Dans sa peine perdue »
, sur Libération, (consulté le )
- ↑ Valérie Marin La Meslée, « L'Arbre d'ébène de Fadela Hebbadj », Le Monde, (lire en ligne [archive du ]
, consulté le )
- ↑ Mustapha Harzoune, « Fadéla Hebbadj - L’Arbre d’ébène », Hommes & migrations. Revue française de référence sur les dynamiques migratoires, no 1277, , p. 148 (ISSN 1142-852X, DOI 10.4000/hommesmigrations.195, lire en ligne
, consulté le )
- ↑ « Un fait divers de 1972 devient une Å?uvre littéraire »
, sur leparisien.fr, (consulté le )