Cerveteri
Cerveteri | ||||
![]() La nécropole antique de la Banditaccia | ||||
Administration | ||||
---|---|---|---|---|
Pays | ![]() |
|||
Région | ![]() |
|||
Ville métropolitaine | Rome Capitale | |||
Code postal | 00052 | |||
Code ISTAT | 058029 | |||
Code cadastral | C522 | |||
Préfixe tel. | 06 | |||
Démographie | ||||
Gentilé | cerveterani | |||
Population | 37 855 hab. (01-01-2023[1]) | |||
Densité | 283 hab./km2 | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 42° 00′ 00″ nord, 12° 06′ 00″ est | |||
Altitude | Min. 81 m Max. 81 m |
|||
Superficie | 13 400 ha = 134 km2 | |||
Divers | ||||
Saint patron | San Michele Arcangelo | |||
Fête patronale | 8 mai | |||
Localisation | ||||
![]() Localisation dans la ville métropolitaine de Rome Capitale. | ||||
Géolocalisation sur la carte : Italie
Géolocalisation sur la carte : Italie
Géolocalisation sur la carte : Latium
| ||||
Liens | ||||
Site web | www.comune.cerveteri.rm.it | |||
Cerveteri (/tʃer.ˈvɛː.te.ri/) est une commune de la ville métropolitaine de Rome Capitale dans le Latium en Italie.
C'est l'antique cité étrusque de Chisra ou Cisra (Cære pour les Romains). Elle est connue pour ses tombeaux étrusques, principalement regroupés dans la nécropole de Banditaccia – dont la remarquable « tombe des Reliefs ».
Géographie
Le centre de Cerveteri est situé à 45 km au nord-ouest du Colisée de Rome, à 16 km du lac de Bracciano, et à environ 6 km de la mer Tyrrhénienne[2].
À 13 km au nord-ouest de Cerveteri se trouve, en bord de mer, le site archéologique de Pyrgi, l'un des trois ports de Cisra/Cære.
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Des preuves archéologiques font remonter au début de l'âge du fer, vers le IXe siècle av. J.-C., la présence humaine sur le plateau de l'actuelle Cerveteri ; l'une des plus vieilles tombes de la nécropole de Banditaccia est une sépulture à incinération typique de la culture villanovienne (première phase de la culture étrusque) du IXe ou VIIIe siècle av. J.-C., avec petit puits cylindrique central destiné à contenir une urne cinéraire biconique en céramique, recouverte d'une jatte, le tout surmonté d'une grande dalle de tuf. C'est aussi à cette époque qu'apparaissent les premiers groupes de fosses d'inhumation simples qui accompagnent le début de l'essor de cette culture[3]. La disparition presque simultanée des implantations de l'âge du bronze aux alentours suggère que la ville fut fondée à la suite de phénomènes de centralisation de la population, pour des besoins économiques et défensifs[réf. nécessaire].

Selon la tradition historiographique, elle fut fondée par les Pélasges sous le nom d'Agylla, puis conquise par les Étrusques qui la renommèrent Cisra ou Chisra. L'auteur latin Strabon mentionne que les Romains l'appelaient Caere, et les Grecs Agylla[4].
« Anciennement, en effet, Cæré se nommait Agylla : c'étaient, à ce qu'on assure, des Pélasges venus de Thessalie qui l'avaient fondée. Mais les Lydiens (j'entends ceux qui prirent le nom de Tyrrhènes) ayant mis le siège devant Agylla, un des leurs, dit-on, s'approcha du rempart et demanda qu'on lui dit le nom de la ville, et comme, au lieu d'obtenir la réponse à sa question, il avait été salué par un Thessalien du haut du rempart du mot Χαῖρε (bonjour), les Tyrrhènes virent là un présage heureux et firent de ce mot un nom nouveau qu'ils donnèrent à la ville, quand ils l'eurent prise. Aujourd'hui, du reste, cette ville illustre et naguère si florissante, n'est plus que l'ombre d'elle-même, au point que les thermes qui se trouvent dans ses environs, les thermes dits de Cæré, sont en réalité infiniment plus peuplés qu'elle, vu l'affluence des gens qui s'y rendent pour raison de santé. »
— Strabon , Géographie,V, 2.
Elle était membre de la Dodécapole étrusque.
Vers 540-535 av. J.-C. ses navires participent à la bataille navale d'Alalia qui a lieu soit près des côtes de Corse orientale, soit au large des ports de Cisra : Alsium , Punicum (Santa Marinella) et Pyrgi[n 1].
Lorsque Brennos saccagea la ville de Rome en , Cisra soutint les Romains : elle reçut les vestales et la population fuyant l'invasion, puis attaqua en Sabine les Gaulois sur le chemin du retour, parvenant à récupérer le trésor volé aux Romains.
Vers 358-351 av. J.-C., alors que Rome était en guerre contre Tarquinia, Cisra noua une alliance avec les Romains [5]. Il semble qu'elle resta neutre et ne participa pas aux combats contre les Étrusques. Puis Cære fut intégrée aux possessions romaines vers le milieu du IVe siècle av. J.-C. en devenant le premier municipe sine suffragio[6]. Elle conserva ses institutions particulières qui sont encore attestées au IIe siècle de notre ère.
Compléments sur les périodes préhistoriques et antiques de Cisra / Caere
Depuis Cerveteri, on accède à la nécropole étrusque de Banditaccia, inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco avec celle de Monterozzi de Tarquinia depuis 2004[7].
Le Museo Nazionale Archeologico de Cerveteri et le Musée national étrusque de la Villa Giulia à Rome, exposent dans leurs vitrines des éléments des ensembles funéraires de ses tombes.
- La cité-État de Cisra
-
Crédit image:licence CC BY-SA 4.0 🛈
Fortifications de la métropole protohistorique de « Cisra ». -
Crédit image:Winston80 on WP.itlicence CC BY-SA 2.5 🛈
Les contreforts fortifiés de « Cisra »[n 2]. -
Crédit image:licence GFDL 1.2 🛈
- La nécropole de Banditaccia
-
Sépulture[n 4]. -
Vestiges d'infrastructure funéraire. -
Crédit image:Roberto Ferrari from Campogalliano (Modena), Italylicence CC BY-SA 2.0 🛈Sépulture : la Tomba dei Rilievi.
-
Crédit image:licence CC BY-SA 3.0 🛈
Vue panoramique. -
Crédit image:licence CC BY-SA 3.0 🛈
Tombes.
À l'instar de ses homologues urbaines toscanes, la cité-État de « Cisra » s'octroie d'un fait fondateur assigné au VIIIe siècle av. J.-C.[9]. Cette dernière est située en hauteur, prenant appui sur un large promontoire, lequel surplombe le littoral tyrrhénien. Par conséquent, en regard de ce cadre topographique particulier, on peut attribuer à la métropole étrusque une implantation géostratégique dite de castramétation. La ville, cooptant d'une surface au sol d'environ 150 hectares, est ceinte d'une massive fortification de pierre taillée[10]. D'autre part, dès le milieu du 1er âge du Fer, le complexe urbain étrusque semble disposer d'un statut de plaque tournante économique majeur[n 5][15]. Différents faits archéologiques, corroborées par plusieurs évocations littéraires antiques, mettent en évidence que celle-ci fait l'objet d'abondants échanges commerciaux, essentiellement avec les Chalcidiens, les Syrio-Phéniciens, et les Grecs de Méditerranée orientale[16]. Cette situation contribue à l'enrichissement de la cité protohistorique, notamment par le biais d'exportations massives de produits manufacturés étrusques de bronze et d'étain, mais également, et dans une moindre mesure, par la vente de vaisselle fine ouvragée en terre-cuite tels que des buccheri à vernis noir[17], ou encore des « pythoï » pourvus de dorures à la feuille[4],[18],[19].
En contre-point, les connaissances que l'on possède sur la cité de « Cisra » à l'époque villano-proto-étrusque et au début de la période orientalisante (du IXe siècle av. J.-C. jusqu'au début du VIIe siècle av. J.-C.) sont relativement faibles en regard de celles correspondant à la fin de cette dernière et à l'ensemble de l'époque archaïsante[20]. Toutefois, on peut objecter que le complexe funéraire auquel la métropole est associée nous fournit des éléments d'information matériels. La nécropole de Banditaccia, localisée à quelques centaines de mètres, est attestée dès le début du IXe siècle av. J.-C. Ces nombreuses tombes ont fait l'objet de multiples fouilles et découvertes archéologiques majeures[n 6],[22], elles révèlent des indices concrets sur le quotidien social, culturel et économique des citadins du complexe proto-urbain de « Cisra », au cours de la genèse de la civilisation étrusque[n 7][4],[18],[23].
Pour autant, les éléments archéologiques que l'on possède de cette métropole étrusque du Latium septentrional témoignent de l'existence probable d'un haut personnage, un « Zilath »[24],[25],[26],[27],[28],[29],[n 8] (l'équivalent du rex en Étrurie). Cette personnalité souveraine, connue sous le patronyme de « Thepharie Velanias »[33],[34],[35] (ou « Thebarie Velanias »[36] selon la traduction), aurait régné sur la cité de « Cisra » au cours du VIe siècle av. J.-C.[33].
En l'occurrence, une dédicace à vocation à la fois funéraire et religieuse[n 9], dont on a retranscrit la syntaxe apparaissant sur l'un des artéfacts épigraphiques du groupe dit lamelles de Pyrgi[n 10],[37], met en lumière certains faits et événements historiques associés au « zilath » de « Cisra ». La lamelle A de Pyrgi matérialise également les circonstances relatives à la mort du roi étrusque[38],[39],[40],[33],[37]. En voici la transcription littérale, établie en langue étrusque :
« ita . tmia . icac . he/ramaśva . vatieχe / unialastres . θemia/sa . meχ . θuta . θefa/rie{i} . velianas . sal / cluvenias . turu/ce . munistas . θuvas / tameresca . ilacve / tulerase . nac . ci . avi/l . curvar . teśiameit/ale . ilacve . als′ase/ nac . atranes . zilac/al . seleitala . acnaśv/ers . itanim . heram/ve . avil . eniaca . pul/umχva »
— Scuola Normale Superiore Laboratorio di Storia, Archeologia, Epigrafia, Tradizione dell'antico[n 11], Lamelle A de Pyrgi, 2008-2016[37].
Moyen Âge et ère moderne
Malgré la décadence généralisée des villes italiennes après la chute de Rome, Caere dut conserver une certaine importance puisque qu'elle fut un évêché jusqu'en 1029, avec huit évêques recencés ; mais la ville elle-même était directement gouvernée par la papauté.
Entre les XIIe et XIIIe siècles une partie de sa population dut s'installer dans une localité voisine, Cere Novum, aujourd'hui Ceri, distincte de Caere renommée Cere Vetere, qui au XIIIe siècle appartenait à une Famille seigneuriale romaine, les Normands (Normanni (famiglia) ). Le fief passa ensuite entre plusieurs mains, pour terminer entre celles des Ruspoli (Ruspoli family ) en 1674, jusqu'à l'abolition totale de la féodalité en Italie en 1870.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, deux aérodromes militaires furent opérationnels sur le territoire communal : "Cerveteri" et "Furbara" (Aeroporto di Furbara ). Sur ce dernier aérodrome, en 1938, Mussolini et Hitler assistèrent à une démonstration voulant démontrer l'efficacité de l'armée de l'air italienne.
Centre agricole, Cerveteri s'est tournée dans la deuxième moitié du XXe siècle vers le tourisme : en 1967 ouvre le Musée national archéologique de Cerveteri.
Administration
Hameaux
Plusieurs hameaux sont intégrés à la structure communale de Cerveteri : Sasso, Ceri, Valcanneto, Marina di Cerveteri, Cerenova, Campo di mare, San Martino, I Terzi, Due Casette.
Communes limitrophes
Anguillara Sabazia, Bracciano, Fiumicino, Ladispoli, Santa Marinella, Tolfa
Évolution démographique
Habitants recensés

Jumelages
Notes et références
Notes
- ↑ À défaut de connaître leurs noms étrusques, Alsium et Punicum portent leurs noms romains. Les prisonniers grecs faits lors de cette bataille auraient été menés jusqu'à Cisra et lapidés.
- ↑ Ce point de vue sur les contreforts fortifiés de « Cisra » souligne le dispositif technique mis en œuvre par les architectes et artisans étrusques. Noter l'utilisation de blocs de pierre taillés soumis dans une structure appareillée.
- ↑ Référence d'inventaire n° 301, exposition du musée Louvre-Lens Les Étrusques et la Méditerranée, Cerveteri, issue du Musée National Archéologique de Cérétain (Cerveteri, Toscane) inventaire numéro 2013.4.385[8].
- ↑ Laquelle est associée au complexe urbain étrusque de « Cisra ». Le caveau mortuaire étrusque est dénommé la Tomba Dei Capitelli.
- ↑ La cité « Cisra », se préemptait d'un emplacement légèrement en retrait par rapport par rapport à la côte tyrrhénienne ; toutefois on objecte que cette dernière possédait un débouché maritime, via le site portuaire étrusque de Pyrgi[11],[12],[13],[14].
- ↑ Le site funéraire est actuellement classé au patrimoine mondial de l'UNESCO[21], les artefacts mis au jour au sein de celui-ci conservés et exposés au Musée national archéologique de Cérétain à Cerveteri, Latium[8].
- ↑ L'environnement proto-urbain de « Cisra » se présentait sous la forme de petits villages régulièrement espacés au sein d'un zone spatiale ne dépassant pas 2 km2.
- ↑ Ou encore « Zilach », le suffixe « -ch- » étant parfois privilégié dans la transcription linguistitique par certains spécialistes de l'étrusque (ou étruscologues) tels que l'historien Alain Hus[30],[31],[32].
- ↑ L'inscription procède d'un cadre et d'un contexte religieux. Concrètement, cette dernière a été mise au jour lors des fouilles d'un temple étrusque dévolu à la déesse égyptienne étruscoïsée Astarté, à Pyrgi.
- ↑ Les lamelles de Pyrgi sont au nombre de trois.
- ↑ Laboratoire de l'École Normale Supérieure d'histoire, archéologie, épigraphie et tradition de l'antiquité.
Références
- ↑ D'après l'institut national de statistiques.
- ↑ « Cerveteri », carte, sur google.com/maps. Les distances se calculent avec l'outil "Directions".
- ↑ « Les Étrusques - Une civilisation mystérieuse de Méditerranée », programmée à la télévision le lundi 3 mars 2025 à 09:25. 90 minutes. Tombe des Reliefs : 41'00 - 43'53. Cerveteri : 8'40, présentée par Stéphane Verger. 9'00 : nécropole de Banditaccia. 9'35 : une des plus vieilles tombes de la nécropole, IXe ou VIIIe siècle av. J.-C., et les premiers groupes de fosses [vidéo], sur arte.tv, Arte, (consulté en ).
- Dominique Briquel, La civilisation étrusque, Paris, Fayard, , 353 p. (ISBN 2-213-60385-5, présentation en ligne).
- ↑ Victor Battaggion, « Les Étrusques. Rome leur doit tant », Historia Grand Angle, no 68 spécial, , p. 7 (ISBN 9791090956483, présentation en ligne).
- ↑ Michel Humbert, « L'incorporation de Caeré dans la Civitas Romana », Mélanges de l'École française de Rome, vol. 84, no 1, , p. 231-268.
- ↑ « Nécropoles étrusques de Cerveteri et de Tarquinia », sur unesco.org, UNESCO Convention du patrimoine mondial (consulté en ).
- (it) « Il Museo Nazionale Cerite »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur cerveteri.beniculturali.it, (consulté en ).
- ↑ Irollo 2010, p. 86.
- ↑ Irollo 2010, p. 87.
- ↑ Stéphane Bourdin, « Fréquentation ou intégration. Les présences allogènes dans les emporia étrusques et ligures (Ve – IVe siècles av. J.-C. », dans François Clément, John Tolan et Jérôme Wilgaux, Espaces d'échanges en Méditerranée, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, (lire en ligne [sur openedition.org]), p. 19-39.
- ↑ (it) « Pyrgi »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur museosantasevera.org (consulté en ).
- ↑ Irollo 2010, p. 70.
- ↑ (it) Laura Ambrosini, « Una lekanis etrusca a figure rosse. Significato ed uso della forma vascolare a Cerveteri e in Etruria », dans William Van Andringa, Archéologie et religion. Le sanctuaire dionysiaque de S. Abbondio à Pompéi, Varia, coll. « Mélanges de l'École française de Rome. Antiquité » (no 125-1), (ISBN 978-2-7283-1039-5, lire en ligne).
- ↑ Irollo 2010, p. 70, 72.
- ↑ Irollo 2010, p. 76-78.
- ↑ Irollo 2010, p. 140, 141.
- Massimo Pallottino, Les Étrusques et l'Europe (Exposition Galeries nationales du Grand Palais, Paris 15 septembre-14 décembre 1992, Altes Museum, Berlin 25 février-31 mai 1993), Éditions de la Réunion des musées nationaux, , 519 p. (présentation en ligne).
- ↑ Irollo 2010, p. 72, 74.
- ↑ Irollo 2010, p. 14, 38.
- ↑ « Rapport de l'UNESCO N° 1158 de 2004 sur l'état des sites de tombes de Monterozzi et de Cerveteri », « Etruscan Necropolises of Cerveteri and Tarquinia » [PDF], sur whc.unesco.org, UNESCO, (consulté en ).
- ↑ Irollo 2010, p. 144.
- ↑ Irollo 2010, p. 144, 145.
- ↑ André Chastagnol, « Jacques Heurgon, La vie quotidienne chez les Étrusques » (compte-rendu), Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, vol. 18, no 1, , p. 170-171 (lire en ligne [sur persee]).
- ↑ Jacques Heurgon, « L'elogium d'un magistrat étrusque découvert à Tarquinia », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 94, no 2, , p. 212-216 (voir p. 213) (DOI 10.3406/crai.1950.78534, lire en ligne [sur persee]).
- ↑ Françoise-Hélène Massa-Pairault, Recherches sur l'art et l'artisanat étrusco-italiques à l'époque hellénistique, vol. 257, Rome, École française de Rome, coll. « Bibliothèque des Écoles françaises d'Athènes et de Rome », , 358 p. (DOI 10.3406/befar.1985.1235, lire en ligne [sur persee]), p. 97.
- ↑ Françoise-Hélène Massa-Pairault, « Humanisme, étruscologie et dialogue de cultures », Bulletin de l'Association Guillaume Budé, no 2, , p. 112-126 (voir p. 117) (DOI 10.3406/bude.2010.2380, lire en ligne [sur persee]).
- ↑ (it) Koen Wylin, « Modi, tempi ed aspetti: un primo tentativo per una morfologia del verbo etrusco », Revue belge de philologie et d'histoire, t. 75, no 1 « Antiquite - Oudheid », , p. 7-9 (DOI 10.3406/rbph.1997.4161, lire en ligne [sur persee]).
- ↑ Dominique Briquel, « Philologie italique et latine », École pratique des hautes études. Section des sciences historiques et philologiques, vol. Livret-Annuaire 15. 1999-2000, , p. 111 (lire en ligne [sur persee]).
- ↑ Roger Lambrechts, « Alain Hus, Vulci étrusque et étrusco-romaine », L'antiquité classique, t. 42, no 1, , p. 371 (lire en ligne [sur persee]).
- ↑ (en) Guiliano Bonfante et Larissa Bonfante, The Etruscan Language. An Introduction, Manchester Press edition, 2002 (édition revue et corrigée), 226 p. (lire en ligne), p. 126.
- ↑ Jean-Paul Thuillier, Les Étrusques. Histoire d'un peuple, Armand Colin, coll. « Civilisations », , 240 p. (lire en ligne), p. 149-151.
- Irollo 2010, p. 95-96.
- ↑ (it) Robert Kruise, Lingua di Sangue, (lire en ligne), p. 17.
- ↑ (en) « Etruscan (Extinct) Language Sample », Encyclopédie des inscriptions étrusques, sur language-museum.com, Language Museum (consulté en ).
- ↑ Javier Teixidor, « Bulletin d'épigraphie sémitique », Syria, t. 44, nos 1-2, , p. 174 (DOI 10.3406/syria.1967.5915, lire en ligne [sur persee]).
- « Lamelle A de Pyrgi », galerie photographique, sur lila.sns.it, Mnamon - Les écritures anciennes de la Méditerranée. Guide critique des ressources électroniques (consulté en ).
- ↑ François Clément, John Tolan et Jérôme Wilgaux, Espaces d'échanges en Méditerranée. Antiquité et Moyen Âge, Presses universitaires de Rennes, , 268 p. (lire en ligne), p. 26-30.
- ↑ Edward Lipninsky, Dieux et déesses de l'univers phéniciens et puniques, Leuven, Uitgeverij Peeters & Departement Oosterse Studies, coll. « Orientalia Lovaniensa Analecta / Studia Phoenicia » (no 64 / 14), , 596 p. (lire en ligne), p. 140-150.
- ↑ Marie-Laurence Haack, L'espace et la mort : Épigraphie et nécropoles à l'époque pré-romaine, Publications de l'École française de Rome, (lire en ligne), p. 233-240.
Bibliographie
- [Irollo 2010] Jean-Marc Irollo, Histoire des Étrusques. L'antique civilisation toscane, VIIIe – Ier siècle av. J.-C., Paris, Perrin, coll. « Tempus » (no 313), , 212 p. (ISBN 978-2-262-02837-4).
.
- Françoise Gaultier, Laurent Haumesser L., Paola Santoro et al., Les Étrusques et la Méditerranée : la cité de Cerveteri (accompagne l'exposition Les Étrusques et la Méditerranée du 05 décembre 2013 au 10 mars 2014), Paris, Somogy, Musée du Louvre Lens, , 359 p. (ISBN 978-2-7572-0762-8 et 978-2-36838-015-4, présentation en ligne).
Voir aussi
Articles connexes
- Latium
- province de Rome
- Rome
- Étrusques
- Les Étrusques et la Méditerranée
- Dodécapole étrusque
- Site étrusque
- Maremme
- Mer Tyrrhénienne
- Nécropole de Banditaccia
- Liste des villes italiennes de plus de 25 000 habitants
Liens externes
- (it) Site officiel
- Ressource relative aux beaux-arts :
- Ressource relative à la musique :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :