Icom
Icom | |
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Création | |
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Forme juridique | Société par actions |
Action | Bourse de Tokyo (6820) |
Siège social | Osaka |
Activité | Électronique |
Site web | www.icom.co.jp www.icomjapan.com |
ICOM est une entreprise internationale japonaise de matériel d’émission et réception radio. Fondée par Tokuzo Inoue en 1954, ses produits incluent des équipements pour radioamateurs, radio maritime, radio aéronautique, radio terrestre et scanner radio.
Géographie
Le siège est dans l'arrondissement Hirano-ku à Osaka, au Japon, avec des succursales régionales :
- États-Unis (Kirkland),
- Canada (Delta),
- Australie (Melbourne),
- Nouvelle-Zélande (Auckland),
- Royaume-Uni (Kent, Angleterre),
- France (Toulouse),
- Allemagne (Bad Soden),
- Espagne (Barcelone),
- Chine (Pékin).
Production radioamateur

Icom fabrique des émetteurs-récepteurs fixes (HF, VHF et UHF, SHF), ainsi que mobiles et portatifs (VHF et UHF).
C'est actuellement [Quand ?] le seul fabricant à proposer du matériel compatible D-STAR.
Historique
En 1998, elle livre 22 000 radios IC-F3S pour l'United States Army et à partir d'octobre 2000 13 000 talkies-walkies IC-4088 pour l'US Marine Corps[1]; en février 2005, un contrat de 40 millions de dollars américains pour la livraison de 20 000 talkies-walkies Icom F43G à l'United States Army est signé[2].
Le 18 septembre 2024, plusieurs centaines de talkies-walkies explosent au Liban tuant ou blessant des membres du Hezbollah qui les possédaient[3] ; il est possible qu'ils soient des modèles IC-V82 d'Icom, dont la batterie aurait été modifiée. L'entreprise dit avoir cessé de vendre ces appareils en 2014[4]. Il est également possible qu'il s'agisse de contrefaçons[5]. Le distributeur officiel d'Icom au Liban, la société Power Group, a déclaré ne pas avoir importé ce modèle et n'avoir subi aucun problème dans ses entrepôts[6].
Notes et références
- ↑ (en) « U.S. Marines choose ICOM for new communications », sur Icom,
- ↑ (en) « GROUND BREAKING DEAL SEALED AS U.S. MILITARY CHOOSE ICOM », sur Icom,
- ↑ « Explosions au Liban: le fabriquant japonais dit que ses talkies-walkies n'étaient plus produits depuis « une dizaine d'années » », sur L'Orient-Le Jour,
- ↑ (en) Kyodo, « Exploding walkie-talkies in Lebanon may be product of Japanese firm », Mainichi Daily News, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ (en) Matt O’Brien, « Walkie-talkie maker says exploded devices appear to have been knockoffs », sur AP News (consulté le )
- ↑ (en) Reuters, « Japanese company denies making Hezbollah's exploding walkie-talkies », The Asahi Shimbun,
Liens externes
- Sites officiels : (ja) www.icom.co.jp et (en) www.icomjapan.com
- ICOM Worldwide Communication Web
- ICOM (UK) Ltd
- ICOM-FRANCE S.A.S.(FR)