Circuit urbain de Puerto Madero
Circuit urbain de Puerto Madero | ||||
![]() Crédit image:
Cette image vectorielle SVG non W3C-spécifiée a été créée avec Inkscape . licence CC BY-SA 2.0 🛈 | ||||
Caractéristiques générales | ||||
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Lieu | Buenos Aires![]() |
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Type | Temporaire | |||
Coordonnées | 34° 36′ 53″ sud, 58° 21′ 27″ ouest | |||
Géolocalisation sur la carte : Buenos Aires
Géolocalisation sur la carte : province de Buenos Aires
Géolocalisation sur la carte : Argentine
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Ouverture | 2015 | |||
Architecte | Santiago Garcia Remohi | |||
Homologation | FIA Degré 3[1] | |||
Forme | Parallélogrammatique | |||
Sens | Anti-horaire | |||
Stands | Garages, temporaires | |||
Événements | ||||
ePrix de Buenos Aires | ||||
Dimensions | ||||
Nombre de virages | 12 | |||
Longueur | 2,480 km | |||
Meilleur tour (2017) | ||||
Temps | 1 min 09 s 467 | |||
Pilote | Felix Rosenqvist | |||
Écurie | Mahindra Racing | |||
Le circuit urbain de Puerto Madero est un circuit automobile temporaire empruntant les rues de la capitale de l’Argentine, Buenos Aires. Il a accueilli à trois reprises l’ePrix de Buenos Aires comptant pour le championnat de Formule E FIA.
Historique
La première course de Formule E a lieu lors de la saison inaugurale 2014-2015. Le pilote António Félix da Costa l'emporte le au terme d'une course animée[2]. Le ePrix 2016 est remporté par Sam Bird qui s'était élancé de la pole position[3], tandis que c'est le suisse Sébastien Buemi qui s'impose lors de la dernière épreuve en 2017[4]. Par ailleurs, il se tient pour la première fois en ouverture de cette édition une démonstration de Roborace, une compétition composée de voitures de course électriques autonomes.
Description
![Cliquez sur l'image pour voir les détails concernant l'auteur, la licence et la page d'origine de l'image](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/9e/Buenos_Aires_ePrix.jpg/220px-Buenos_Aires_ePrix.jpg)
Le circuit a été dessiné par Santiago Garcia Remohi et s'inscrit dans Puerto Madero, un quartier moderne comprenant de nombreux gratte-ciels de la capitale de l’Argentine Buenos Aires[5]. Tournant dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, il est long de 2,480 km et comprend douze virages[5]. Il alterne portions rapides et virages lents.
Il débute avec la ligne droite de départ/arrivée située sur l’avenue Tristán Achával Rodríguez . C'est la plus longue ligne droite du circuit et elle représente l'une des principales opportunités de dépassement[5]. Elle se trouve à proximité de la réserve écologique de Buenos Aires située à l'est. Après une épingle, le tracé s'oriente vers le sud en contournant tout d'abord les Torres El Faro et la Tour Alvear puis le Parc Micaela Bastidas . Après une nouvelle épingle, la piste continue de tourner autour d'autres parcs, puis s'engage sur l'avenue Elvira Rawson, altérée par une chicane, puis la quitte au niveau du Museo de Calcos y Escultura comparada . Reste alors deux virages qui longent la Fontaine des Néréides.
À propos du tracé, Patrick Carpentier, pilote automobile canadien, déclare que « c'est vraiment un circuit typique de ville […] Le tracé crée un effet d'entonnoir par endroits, ça serre, surtout le virage no 1 après la longue ligne droite »[6]. Il le rapproche aussi du circuit de Long Beach, autre circuit visité par la Formule E[6].
Galerie
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Crédit image:licence CC BY-SA 4.0 🛈
La grille de départ. -
Crédit image:licence CC BY-SA 4.0 🛈
Autre vue de la grille. -
Crédit image:licence CC BY-SA 4.0 🛈
Autre vue.
Notes et références
- (en) « LIST OF FIA LICENSED CIRCUITS » [PDF], (consulté le )
- Didier Laurent, « ePrix de Buenos Aires : Antonio Felix da Costa contre toute attente », sur autonews.fr, (consulté le ).
- Didier Laurent, « Formule E – Buenos Aires 2016 : Sam Bird offre une première victoire à DS », sur auto-moto.com, (consulté le ).
- Pierre Tassel, « eFormule e - Un coup du chapeau inédit pour Sébastien Buemi », sur autohebdo.fr, (consulté le ).
- « Formule E - Le tracé de Buenos Aires dévoilé », sur autohebdo.fr, (consulté le ).
- Sébastien Templier, « Formule E: un avant-goût de Montréal », sur auto.lapresse.ca, (consulté le ).