Eric Bhat commence sa carrière professionnelle au début de l'année 1978 en tant que rédacteur à Auto Hebdo, magazinehebdomadaire spécialisé dans le sport automobile, créé en février 1976 . L'année suivante, il est nommé rédacteur en chef de Grand Prix International, nouveau magazine consacré à la Formule 1, dont il rédige tous les articles, tandis que le photographe Bernard Asset signe toutes les photos. À la même époque, il assure des reportages en direct pour Radio Monte-Carlo, et dirige en 1981 la rédaction du livre L'Année Automobile.
Mais il se lasse rapidement de ce métier et revient dans la presse automobile, où il est nommé rédacteur en chef adjoint d'Auto Hebdo. En même temps, il fait une incursion à la télévision lorsque La Cinq de Silvio Berlusconi lui confie la rédaction en chef de son émission de sport automobile.
Il devient en 1987 rédacteur en chef du magazine Auto-Défense, consacré à la défense des automobilistes, puis il est nommé directeur de la rédaction de L'Automobile magazine.
Les Éditions Mondiales l’embauchent pour lancer le magazine franco-allemand consacré à l'automobileAuto Plus, sur le modèle du magazine allemand Auto Bild (groupe Axel Springer), dont le premier numéro parait le — sous le nom de France Auto — qui devient rapidement le journal hebdomadaire le plus vendu de la presse automobile française. Il en assure la rédaction en chef pendant dix ans.
En 1999, il crée une société d’édition pour lancer Auto-30 jours, magazine automobile mensuel. L'aventure dure deux ans et prend fin à la suite de l'échec d'un accord avec la presse quotidienne régionale condamnant du même coup le mensuel à interrompre sa parution.
En avril 2002, Eric Bhat est embauché par Axel Ganz et participe à la relance de l'hebdomadaire VSD. Il est rédacteur en chef adjoint, et espère accéder à la rédaction en chef. Mais le poste convoité lui échappe, l'amenant à quitter le magazine.
De retour dans la presse automobile, il se retrouve à Auto Live, magazine qui publie une version papier et une version CD Rom vidéo (l'ancêtre des DVD et des sites internet). Ce projet trop ambitieux est un échec, l'amenant à se reconvertir dans le domaine de la moto : il accède à la rédaction en chef de Moto Journal, magazine mensuel traitant de divers sujets relatifs à la moto et au sport motocycliste. Enfin, au sein du groupe Profession politique, il est nommé rédacteur en chef d'Acteurs publics, édité par la Société d’édition publique (SEP), ainsi que de La Lettre des nominations et de La Lettre de la modernisation de l'État, avec trois nouvelles formules à mettre en place.
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À partir des années 1990, après plusieurs séjours en Inde, qui lui ont permis de découvrir l'ayurvéda, il abandonne progressivement ses activités dans la presse et s'attache à faire connaître cette médecine traditionnelle indienne encore peu connue en France. Il tient ainsi une chronique dans l'émission Viva l’ayurvéda sur Radio médecines douces. Il écrit des articles sur le sujet dans Les Nouvelles de l'Inde, magazine mensuel publié par l'ambassade de l'Inde à Paris. Il ouvre même un cabinet et devient praticien ayurvédique. Il fait la Une du magazine Profession : thérapeute. TF1 consacre un sujet à ses activités liées à l'ayurvéda dans son journal de 13 heures[1].
1980 : Rondeau, victoire au Mans, 95 pages, Société internationale de presse et d'édition (SIPE), Saint-Cloud
1981 : Le Programme politique d'un mec nommé Coluche (en collaboration avec Gérard Jean-Quentin), 95 pages, Société internationale de presse et d'édition (SIPE), Saint-Cloud
1989 : L’année Liberté, en partenariat avec Europe 1