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Premier Empire
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Dans les révolutions, il y a deux sortes de gens : ceux qui les font et ceux qui en profitent.
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— Napoléon Bonaparte |
Ce portail traite de la période qui va du Consulat au Premier Empire, période essentiellement tournée autour d'un personnage important : Napoléon Ier.
Il couvre l'histoire de France et d'une partie de l'Europe depuis le coup d'État du 18 brumaire an VIII (9 novembre 1799) jusqu'à la seconde abdication de Napoléon (24 juin 1815). Son domaine inclut également les articles liés à l'épopée napoléonienne, et donc ceux liés à ses exils et aux Cent-Jours.

Les Tartares lituaniens étaient des combattants musulmans regroupés en une unité de cavalerie légère de la Garde impériale, créée par Napoléon Ier et ayant servi dans l'armée française de 1812 à 1814. Descendants de familles tatares originaires de Crimée, ils furent organisés en un escadron (qui comptait dans ses rangs un imam) au début de la campagne de Russie à laquelle ils prirent part sous les ordres du chef d'escadron Achmatowicz. À la suite de la mort de ce dernier à Vilna, le capitaine Ulan prit le commandement de ce corps à l'existence plutôt éphémère, qui participa ensuite aux campagnes d'Allemagne et de France avant d'être dissous à la Première Restauration.
Du fait de leur petit effectif, les cavaliers tartares combattaient souvent au sein de régiments plus importants, tels que le 1er régiment de lanciers polonais de la Garde impériale. L'uniforme, en particulier celui des trompettes, n'est connu que grâce aux documents du « manuscrit de Marckolsheim » publié en 1960. Au début, la tenue était principalement verte (couleur importante pour les musulmans), mais cette teinte distinctive ne fut ensuite arborée que sur la flamme du bonnet ; ce dernier présentait également des insignes religieux, à savoir un croissant surmonté d'étoiles en cuivre.
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« La Garde meurt mais ne se rend pas ». Cette phrase aurait été prononcée par Cambronne, commandant le dernier carré de la Vieille Garde à Waterloo, enjoint à se rendre par les Britanniques. Leur insistance lui aurait fait répondre « M... », son fameux mot. Il sera finalement blessé et fait prisonnier.
Cambronne niera toute sa vie n'avoir jamais prononcé ni la phrase ni le mot : « Je n'ai pas pu dire « la Garde meurt mais ne se rend pas », puisque je ne suis pas mort et que je me suis rendu ».
Les descendants de Pierre Cambronne eurent même droit à un procès intenté par les descendants du général Michel au sujet de la paternité de la phrase.


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